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11 octobre 2015 7 11 /10 /octobre /2015 22:25
DOMINIQUEV REYNIE, UNE CALAMITE BIEN PENSANTE DE L'AUBERGE ESPAGNOLE "LES REPUBLICAINS" !

~~ http://www.bvoltaire.fr/gabrielrobin/dominique-reynie-troisieme-candidat-socialiste,211487?utm_source=La+Gazette+de+Boulevard+Voltaire&utm_campaign=db80dd6d11-RSS_EMAIL_CAMPAIGN&utm_medium=email&utm_term=0_71d6b02183-db80dd6d11-30425677&mc_cid=db80dd6d11&mc_eid=58ff097ba7

Dominique Reynié, le troisième candidat socialiste

Dominique Reynié est ce qui se fait de pire dans la classe politique française. Gabriel Robin Juriste SG du Collectif Culture, Libertés et Création du RBM Najat Vallaud-Belkacem assassine l’école publique françaiseQui connaît Christophe Rambour, torturé et séquestré durant des semaines ?Va-t-on devoir subir des débordements à chaque match de l’Algérie ? 140 SHARESFacebookTwitter

Dominique Reynié ne s’est pas fait que des amis depuis sa désignation comme tête de liste des « Républicains » pour les élections régionales de la future entité fusionnant le Midi-Pyrénées et le Languedoc-Roussillon. Ses méthodes autoritaires et expéditives ne sont pas au goût des militants historiques du parti, ainsi que de nombreux cadres locaux. Quant à sa ligne politique, beaucoup plus proche du centre-gauche que du gaullisme, elle est loin de faire l’unanimité. Le « politologue » a heurté bon nombre de patriotes de convictions au cours des années, par ses déclarations tranchées en faveur de l’immigration de masse, de la gestation pour autrui, ou du transfert de souveraineté aux institutions européennes. Comment peut-il aujourd’hui penser prendre au piège les électeurs de droite de la région Midi-Pyrénées-Languedoc-Roussillon ? Son programme est connu, il l’a écrit dans son pensum anti-peuple paru en 2011. Le titre est évocateur : « Populismes : la pente dangereuse ». Quelle différence y-a-t-il entre cet homme et Carole Delga, la tête de liste PS ? Aucune. Leurs objectifs sont les mêmes : plus d’Europe et moins de souveraineté nationale, moins de démocratie directe et plus de traités supranationaux, plus de migrants dans les campagnes et moins de logements pour les Français. En 2009, Dominique Reynié déclarait par exemple dans la revue Controverses que « la souveraineté nationale ne devrait plus être en droit d’interférer avec la construction européenne », montrant par là son mépris de la France et des valeurs démocratiques qui l’irriguent. Il a aussi avancé que l’immigration massive était une « chance pour la France ».

Je doute que les Ruthénois seraient heureux que Dominique Reynié ne transforme leur charmante ville en un Calais du Sud-Ouest dans les années à venir… Lire aussi : Le vent du nord souffle sur Marine En somme, Dominique Reynié est ce qui se fait de pire dans la classe politique française. Il est consubstantiellement anti-France, car il pense que l’histoire est finie. C’est un mondialiste patenté, un multiculturaliste convaincu, une créature médiatique. Nicolas Sarkozy l’a désigné pour deux raisons : la mention « intello vu à la télé » lui a plu car il ne jure que par l’image ; en outre, dépourvu de colonne vertébrale idéologique, le très opportuniste président des « Républicains », croit que l’élection présidentielle nécessite un « recentrage ». Le prédécesseur de François Hollande a pourtant négligé une donnée essentielle, Dominique Reynié est tout aussi mégalomane que lui. Il n’est pas un politique, et n’a aucune discipline de parti. En conséquence, il s’est affranchi des règles les plus élémentaires lorsque l’on débarque dans un endroit inhospitalier. Quarante-huit heures avant les commissions nationales d’investiture, le journaliste de C Dans L’Air a annoncé ses listes. Problème, il a désigné des personnes qui n’avaient pas été choisies par les instances du parti. « Ce sont mes listes, c’est moi qui vais les conduire », a dit l’ersatz de Jacques Attali

. Parmi ses choix, figurent sans surprise des membres de l’UDI et du Modem. Les « Républicains » sont devenus une véritable auberge espagnole. Les anciens soutiens de Nicolas Sarkozy, comme Nadine Morano, sont débarqués, alors que de nouveaux arrivants idéologiquement très éloignés des militants de la base peuvent tout se permettre. Les électeurs de gauche auront l’embarras du choix en Midi-Pyrénées Languedoc-Roussillon : Carole Delga, Philippe Saurel, Gérar Onesta, et Dominique Reynié. Les patriotes n’auront qu’un choix : Louis Aliot.

Gabriel Robin

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