ON NE FAIT PAS LA GUERRE AU TERRORISME ET A L'INVASION MIGRATOIRE EN DENTELLES ET AVEC DES FLEURS !

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LES NOUVEAUX FOUS D'ALLAH La dureté nécessaire

Bernard Plouvier

le 09/10/2015 Depuis un peu plus de deux années, les nouveaux fous d’Allah, les fanatiques djihadistes de « l’islam radical » (si tant est que ces deux mots ne forment pas un pléonasme), soit les membres de divers groupes dont le pire semble être, au moins pour l’heure, celui d’Abou Bakr II, sultan-calife de l’État islamique, se sont lancés dans une nouvelle forme de terrorisme, touchant à la fois des musulmans calmes et des « infidèles ». Par l’utilisation de moyens inédits et très spectaculaires - décapitation filmées, enfants et femmes kamikazes, vandalisme architectural, maniement en virtuose de tous les moyens de communication -, ils ont créé l’enthousiasme meurtrier des moins accessibles au raisonnement : les jeunes gens à la fois obsessionnels, incultes et mal insérés dans la société.

Face à l’irruption de la violence, parfaitement incontrôlable par les moyens classiques, les gouvernements occidentaux réagissent de la pire façon qui soit. On prône le « dialogue interculturel », on prononce moult discours en invoquant les fausses pucelles démocratie et liberté, on espère même une « rééducation » de « déviants, mal informés », au nom d’un humanisme que l’on saluerait volontiers d’utopique si la tournure des événements ne forçait à le qualifier de grotesque, tant il est inadapté à la situation. Face au terrorisme aveugle (c’est-à-dire non ciblé), face à la pure haine religieuse et raciale, ce n’est pas de paroles qu’ont besoin les peuples d’Europe occidentale. Ce n’est même pas du renforcement des polices, de la gendarmerie ou de l’armée, dont l’inefficacité ne s’est avérée que trop évidente ces trente dernières années, où se sont multipliées les cités de non-droit et les émeutes raciales, en France, en Belgique, en Grande-Bretagne aussi bien qu’aux USA (le pays des responsables de ce gâchis, qu’en d’autres temps des individus mal embouchés eussent appelé « un merdier ») que ces peuples sont en droit d’espérer le salut.

Les populations – si elles sont encore en mesure d’être secourues par des gouvernements inaptes ou ineptes, en plus d’être trop souvent corrompus – ont besoin d’être protégées par de très puissantes branches action des services secrets. Tout activiste présumé doit être suivi quelques jours pour repérer d’éventuels contacts, puis il doit être arrêté, interrogé sans ménagement, enfin discrètement éliminé… car il est absurde de croire récupérable un idéaliste qui a fait, avant même de passer à l’action violente, le sacrifice de sa vie, dans l’espoir de gagner sa place au mythique paradis du dieu que son cerveau a imaginé ou s’est laissé imposer par l’effet d’un bourrage de crânes.

Pour obtenir ce résultat de Salut Public, il faut répudier, aussi longtemps que nécessaire – soit jusqu’à éradication de l’hydre terroriste -, les notions, si délicates à manier en temps de guerre ou de guérilla, de droits de la défense des individus. Seul compte, en ces temps de feu et de sang, la protection de la majorité honnête et laborieuse des populations. C’est le fondement même du pacte social. On ne doit plus voir décapité au couteau à céramique un honnête citoyen

. On ne doit plus voir exploser, au sein d’une foule, une voiture piégée ni un kamikaze dément. On ne doit plus assister à l’attaque aux armes automatiques, aux roquettes et aux mortiers, de commissariats et de gendarmeries. L’action des « forces de l’Ordre » doit être préventive, menée rudement et secrètement, soit à l’abri de l’hystérie médiatique et de la démagogie politicienne. Si les maîtres de l’État ne sont pas capables de protéger les honnêtes citoyens, alors il incombe à la fraction la moins timorée, la plus active de la Nation d’organiser elle-même sa défense