Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
22 juillet 2016 5 22 /07 /juillet /2016 15:53
LES IMAGES NON MEDIATISEES DES ENFANTS MORTS A NICE PLUS FORTES QUE CELLES D'AYLAN! HONTE AUX MEDIAS, AUX TRAITRES, A L'UMPS, A LA CEDH !

HONTE A HOLLANDE QUI ENVOIE DES ARTILLEURS EN IRAK POUR” NOYER LE POISSON”, SANS DEFENDRE LES FRANCAIS AVEC DES MESURES COURAGEUSES ANTI-IMMIGRATION,ANTI-ISLAM,ANTI-TERRORISTES! !

HONTE AUX TRAITRES, AUX LACHES, AUX CRETINS, A TOUS CEUX QUI CONTINUENT DE PLEURNICHER SANS REAGIR EN NOUS” BASSINANT “AVEC LEURS VEULERIES UMPS ET DES PROPOS LENIFIANTS DU POLITIQUEMENT CORRECT ! !

http://www.polemia.com/les-francais-ne-sont-pas-dans-leur-majorite-des-londoniens-ils-ne-sont-pas-stoiques-dans-ladversite-mais-apathiques/?utm_source=La+Lettre+de+Pol%C3%A9mia&utm_campaign=0c8c298594-lettre_de_polemia&utm_medium=email&utm_term=0_e536e3990e-0c8c298594-55412265

Français ne sont pas, dans leur majorité, des Londoniens : ils ne sont pas stoïques dans l’adversité mais apathiques

Juil 19

Les Français ne sont pas, dans leur majorité, des Londoniens : ils ne sont pas stoïques dans l’adversité mais apathiques

19 juillet 2016 | Exclusivité Polémia

Michel Geoffroy, essayiste.

♦ Question : Combien faudra-t-il de victimes d’attentats terroristes islamistes dans notre pays pour que les Français se réveillent ? Dans l’état actuel des choses on ne connaît pas de réponse à cette interrogation.

La majorité des Français préfère allumer des bougies, déposer des gerbes ou mettre un petit drapeau tricolore à leurs fenêtres (1). Il paraît même que prendre un pot à une terrasse de café serait désormais un acte de résistance bobo…

Les Français dans leur ensemble ne réclament pas vengeance ; ils ne se révoltent pas. Ils acceptent tout. Ils préparent déjà leur soumission. Seule une petite minorité, comme toujours dans l’histoire, ne s’y résout pas.
Les Français gobent tout

Chaque attentat islamiste voit les médias de propagande déverser leurs mensonges habituels destinés à excuser par avance les terroristes et à justifier l’inefficacité du pouvoir : c’étaient des « isolés » ou des « déséquilibrés », qui se sont « radicalisés », les pauvres : donc « pas d’amalgame » ! Mais la majorité des Français ne réagit pas : ils continuent de passer 4 heures par jour en moyenne devant les téléviseurs à ingurgiter ces inepties et de payer leur redevance télé sans sourciller.

Chaque attentat sert de nouveau prétexte à la restriction de la liberté des seuls Français autochtones : on ne compte plus les lois destinées, paraît-il, à lutter contre le terrorisme, mais en réalité à surveiller toujours plus la population qui n’a rien à se reprocher, à réduire ses possibilités d’utiliser de l’argent liquide, ou à l’empêcher de se défendre (2).

Toutes mesures manifestement inutiles, puisqu’on connaît la plupart des terroristes car ils ont commencé dans le banditisme et sont souvent « fichés S » : mais cela ne les empêche nullement d’acheter des kalachnikovs et de commettre leurs crimes.

Les Français ne descendent pas pour autant dans la rue pour réclamer la démission du ministre de l’Intérieur.

La France algérienne

Le gouvernement prolonge l’état d’urgence sans que personne ne s’en émeuve, sinon les figurants d’extrême gauche. Au train où vont les choses les élections présidentielles de 2017 se dérouleront donc sous l’œil des militaires, comme dans la plupart des pays africains.

Les Français trouvent manifestement normal de vivre comme au temps de la Guerre d’Algérie et de croiser dans les rues des femmes voilées et des militaires en armes, en attendant le prochain attentat que les barbouzes – qui chassent en priorité « l’extrême droite » (3) – ne sauront pas empêcher.

Valls a raison

Le premier ministre Manuel Valls déclare que désormais « les jeunes Français doivent s’habituer à vivre durablement avec la menace d’attentats » (4). Personne ne réagit à cet aveu cynique d’impuissance. Imagine-t-on un médecin dire à son patient : « Il faut vous habituer à vivre avec la maladie » ? Il perdrait rapidement sa clientèle…

Mais Manuel Valls a malheureusement raison à sa façon car la majorité des Français s’habitue à tout : au chômage de masse, à la corruption des politiciens, au saccage de leur environnement, à la repentance, à l’explosion de la délinquance et du fiscalisme, à la déconstruction de leur système social, à l’invasion migratoire ou à l’islamisation de leur pays.

Alors pourquoi ne s’habitueraient-ils pas aussi au terrorisme ?

Les Français sont sourds

Cela fait plus de 40 ans que la droite nationale met la France en garde contre les conséquences de l’immigration incontrôlée et du chaos étatsunien au Moyen-Orient ; ou contre l’Europe libre-échangiste et cosmopolite de Maastricht ; ou contre les dangers de l’atlantisme ; ou contre une classe politique corrompue car soumise à des intérêts étrangers.

Mais les Français dans leur majorité n’ont pas voulu entendre ces avertissements. Ils ont donné le pouvoir aux Chirac, Sarkozy et Hollande.

Nos concitoyens semblent se défouler dans les sondages : ils se déclarent alors contre l’immigration, contre la bureaucratie bruxelloise, contre le laxisme pénal, contre les impôts ou contre l’islamisation.

Mais aux élections ils s’empressent de voter en majorité pour… les politiciens qui font tout le contraire. Dans les sondages la cote de François Hollande est aujourd’hui catastrophique : mais gageons que s’il s’y prenait bien il pourrait être réélu en 2017 !

Les Français ne sont pas des Londoniens

Les Français ne sont pas stoïques comme les Londoniens pendant le Blitz des années 1940. Ils ne font pas preuve de courage et de résistance devant le terrorisme mais d’apathie, de légèreté et d’aveuglement.

Les Français sont en majorité apathiques parce qu’ils ont peur, non pas du terrorisme, mais par avance des efforts qu’il faudra faire pour inverser le processus de notre décadence ; des efforts qui menaceraient leur petit train-train : partir en vacances, pianoter sur leur portable et faire du vélo. Alors ils préfèrent déclarer forfait et feindre de croire les mensonges lénifiants du pouvoir.

La propagande ou la post-démocratie n’expliquent pas tout. Les Français, dans leur majorité, ont perdu leurs antiques vertus.

Mais…

Le réveil

Il ne faut pas se cacher que ceux qui se réveillent, ceux qui manifestent contre l’islamisation ou contre la GPA, ceux qui refusent ostensiblement de serrer la main du président de la République ou ceux qui sifflent et conspuent le premier ministre en déplacement à Nice après l’attentat, ne sont qu’une minorité.

Mais il ne sert à rien de le regretter : l’histoire est faite par les minorités conscientes, pas par les majorités apathiques. En France comme ailleurs.

Michel Geoffroy
18/07/2016

Notes :

  1. Encore qu’on fait cela aussi pour soutenir les Bleus lors de l’Euro de foot.
  2. On nous explique sans rire que l’Union européenne veut encore durcir la réglementation applicable aux… chasseurs.
  3. « Ce qui nous menace, c’est la montée des populismes » : François Hollande le 14 juillet 2016 (soit peu avant l’attentat islamiste de Nice).
  4. LeFigaro.fr du 23 janvier 2015.

Correspondance Polémia – 19/07/2016

Image : l’exécutif, énergique et fier de l’être !!!!!!!
(http://www.je-suis-stupide-j-ai-vote-hollande.fr/blog/ :« Serrer les coudes. Comme après chaque attentat, le trio Hollande-Valls-Cazeneuve a joué une partition bien connue : le Premier ministre multipliant les interventions pendant que le ministre de l’Intérieur donnait chaque jour des éléments sur l’enquête et le profil de l’auteur de l’attentat, Mohamed Lahouaiej Bouhlel, qui se serait « radicalisé » subitement ces dernières semaines. En mars dernier, après l’attentat contre l’aéroport de Bruxelles, deux ministres belges (Intérieur et Justice) avaient remis leur démission au Premier ministre après des révélations sur des ratés dans la surveillance des kamikazes. Ici, le gouvernement se serre les coudes, dans une communication millimétrée. » 17/07/2016)

http://www.polemia.com/le-mauvais-role-gta-nice-djihad-edition/?utm_source=La+Lettre+de+Pol%C3%A9mia&utm_campaign=0c8c298594-lettre_de_polemia&utm_medium=email&utm_term=0_e536e3990e-0c8c298594-55412265

Accueil / Articles / Le mauvais rôle. GTA Nice, djihâd-édition

Juil 21

Le mauvais rôle. GTA Nice, djihâd-édition

21 juillet 2016 | Exclusivité Polémia

Ulysse, intellectuel dissident.

♦ Bien connu sur les réseaux sociaux et sur la twittosphere Ulysse est philosophe de son état. Et c’est d’un point de vue philosophique qu’il analyse l’attentat de Nice. Et surtout l’absence totale de réaction vitale de la part de la société attaquée.

Pour Ulysse nous n’avons gardé des principes de notre civilisation que ce qui lui interdit de se défendre. Un article à lire et à méditer. Polémia

A l’heure où la France entière se transmue en un GTA Nice djihâd-édition, où les débris humains d’enfants jonchent les rues, où l’actualité devient un torture-porn dont vous êtes tantôt le voyeur complaisant et tantôt la proie apeurée, nous savons bien qu’il n’y a rien à attendre de nos institutions traîtresses. Ce sont elles qui ont favorisé, par leur folle politique migratoire et leur humanisme abstrait, les conditions de possibilité d’une submersion démographique qui n’est que l’autre nom de ce que les historiens de l’an 3000 appelleront sans doute la colonisation arabe du continent européen. Dans cette invasion, c’est Raqqa qui recrute certes, mais ce sont Paris et Berlin qui donnent les visas et les allocations. C’est l’E.I qui menace chacun au nom d’Allah, mais c’est bien Bruxelles qui promet l’asile à tous au nom de l’Homme. Le fanatisme mahométan et le progressisme technocratique fonctionnent en contrepoint parce qu’ils sont chacun idolâtres, l’un d’un Dieu inhumain, l’autre d’un homme qui se rêve en parodie de Dieu. Rien à attendre donc de ces androïdes interchangeables, Hollande, Valls, Sarkozy, Merkel, Juncker qui ânonnent du matin au soir leurs considérations techno-humanisto-économiques sur les « plans de relance », les « taux d’intérêt », les « lois cadres », l’« émancipation des individus » et les « points de croissance ». Chômage, tri sélectif, lutte contre les discriminations, empreinte carbone, pardon ? « Excusez-moi je vous entends mal, il y a un trente-six-tonnes qui passe à côté… » Ces élites sans culture ni génie ne sont que les agents de maintenance du désastre, les complices objectifs de la disparition de notre civilisation. Elles ne tiennent pas le couteau certes. Elles aiguisent la lame et vérifient que sa longueur et son matériau sont bien conformes aux normes écologiques européennes. Leurs complaintes post-attentat ressemblent aux rires enregistrés d’une sitcom.

De ce point de vue-là le crime de guerre de Nice ne présente aucun caractère original. Il était parfaitement prévisible (et d’ailleurs était prévu), tout comme les réactions qui s’ensuivirent : énième appel à l’unité républicaine, énième incantation grotesque de « valeurs » dont personne ne se met jamais en peine de déterminer le contenu, bougies, peluches, crayons, ballons et marche blanche, énième procédure médiatique d’occultation des traits les plus dérangeants du crime, énièmes pleurnicheries obscènes de hyènes qui trouvent le moyen comme Bernard Cazeneuve (samedi 16 juillet) de vanter la valeur de leur « bilan » quand, dans tout autre pays, l’intéressé se serait déjà tranché les veines de honte ou aurait, au moins (ce qui vaut bien un réel suicide pour des individus aussi ivres de puissance), démissionné. Le bal des innocents recommence. La ronde des justifications ineptes aussi. Apprenant que l’individu Mohamed Bouhlel s’était « récemment radicalisé », que « ses liens avec l’E.I ne sont pas établis », qu’il n’était « pas musulman pratiquant », qu’il « vivait mal son divorce », et que les institutions ne pouvaient malheureusement pas anticiper son acte, nous sommes désormais heureux de savoir que tous les Français sans exception sont donc, de l’aveu même de l’Etat, des terroristes en puissance et qu’un carnage n’est somme toute qu’un drame de la vie conjugale.

Mais nous sommes habitués à ces obscénités intellectuelles.

Sous le soleil idiot du progressisme pleureur, rien de nouveau.

La politesse tue

L’inédit est peut-être ailleurs. Il tient dans l’hébétude proprement inouïe de la population française de souche, celle qui est la gardienne historique de l’identité de notre nation. Le fait qu’il n’y ait eu aucune réaction populaire d’envergure, aucun soulèvement, pacifique ou non, pour demander immédiatement des comptes à ce gouvernement de traîtres, pour investir telle ou telle cité que l’on sait être pourrie jusqu’à l’os par le salafisme et les trafics mafieux, terreaux monstrueux donnant naissance à ces djihadistes hors-sol qui nous frappent, qu’il n’y ait eu aucune opération de représailles contre ceux qui ont favorisé cette situation, ceux d’en-haut comme ceux d’en bas, est le symptôme calamiteux d’un défaut de force vive, d’un abandon torpide à l’invasion, d’un consentement, il faut bien le dire, à la disparition de la nation française. A Nice, des enfants ont été pulvérisés. Le djihadisme tue, la politesse aussi. Et si le premier est ignoble, la seconde, soumise au premier, est honteuse. Comme le notait récemment Renaud Camus, l’ironie terrible est que notre époque, incapable de produire aucun art, aucune pensée, aucune spiritualité authentique, aucune chose remarquable qui donne son prix à la vie des peuples, ne conserve de l’exigence de la civilisation que ce qui lui interdit précisément de la protéger. La dernière forme prise par l’esprit européen est en effet, dans une volte insensée, cela même qui rend impossible qu’il se défende contre les forces qui veulent son anéantissement. Ce qui nous reste du Jardin d’Academos, de la cultura animi des Tusculanes et du De Trinitate, c’est le privilège précieux de nous faire massacrer par le premier salafiste venu auquel nous aurons préalablement permis de construire sa mosquée, de faire douze enfants, de mettre sa femme sous un éteignoir, d’envoyer tout son argent à un pays étranger et de vivre sur le dos de notre système de protection sociale. Le djihadisme est barbare c’est entendu – un peuple qui ne conserve de sa vérité profonde que les outils pour se détruire lui-même, qui utilise les moyens de la civilisation contre les fins de la civilisation ne l’est pas moins. Notre xénophilie et notre alterolâtrie ne sont que des modulations de la haine de soi et les miroirs de la haine que les islamistes nous vouent. Si l’on ne pouvait pas être surpris qu’après le massacre de Nice, nos élites continuent de répéter mécaniquement les mêmes mantras déculpabilisants, l’on peut toutefois s’étonner que le peuple, lui, n’ait pas eu le ressort pour engager le moindre mouvement de révolte ou même, modeste, de simple contestation des institutions ayant rendu réellement possible un tel carnage.

Le peuple et les généraux

Au fond, c’est l’esprit déconstructionniste de 68 qui a gagné la partie et les Lumières qui continuent de propager jusqu’à la folie contradictoire leurs dernières lueurs : quand des peuples entiers nous envahissent et nous tuent, nous voyons des personnes qui migrent et des cas psychiatriques (l’éternel retour médiatique du « déséquilibré » l’atteste). Du côté de nos persécuteurs la chose est pourtant entendue : ils se savent appartenir à des communautés religieuses, morales et ethniques qui transcendent leur particularité là où nous pensons qu’une communauté, quelle qu’elle soit, résulte de l’addition de particularités. C’est le concept même de « peuple » comme condition déterminante de l’advenue des personnes qui est devenu inintelligible au plus grand nombre. Mais de la même façon qu’on ne peut pas combattre une abstraction universelle comme le « terrorisme » (autant déclarer la guerre à la mélancolie ou faire l’amour à la tristesse), on ne peut pas non plus faire la guerre à des singularités comme des « individus ». Encore une évidence systématiquement désapprise à nos compatriotes : il n’y a de guerre que contre des généraux… Si on fait la guerre, c’est qu’on assume de considérer les personnes comme les émanations d’un « groupe » dont elles sont les instances ponctuelles et relatives, bref, qu’on assume, le temps du combat, de les priver de leur spécificité personnelle, ce qui ne les déshumanise que pour autant que l’on rêve niaisement que l’humanité tient tout entière dans la subjectivité personnelle et non pas aussi, toujours, dans les cadres objectifs, naturels et culturellement appropriés, d’apparition de cette subjectivité. Quel pilote de l’armée enverrait la moindre bombe s’il pensait qu’il va tuer des « personnes » au sens strict ? Quel fantassin tirerait si, avant de voir l’uniforme ennemi, il voyait les yeux de celui qui le porte ? Quel douanier empêcherait une famille de franchir une frontière s’il pensait sérieusement à l’eccéité insubstituable de chacun de ses membres ? Nous autres Français, figurants de cet ignoble GTA Nice où un Momo standard comme-vous-et-moi conduit le camion, nous en sommes là, nous sommes ces douaniers fous, ces pilotes de chasse sentimentaux : avant même que de penser à bondir pour échapper au 36 tonnes qui nous fonce dessus, nous imaginons que nous regardons droit dans les yeux de son conducteur et que derrière ces yeux il y a peut-être le cœur qui bat d’un brave type. Et quand bien même il tuerait nos enfants devant nous (ce qui est le cas), nous reconnaissons en lui quelqu’un là où, si nous voulions survivre, il faudrait détruire un pur et simple ennemi. Combien il faut ignorer pour agir, disait Valéry… Nous périssons aujourd’hui de faire mine de ne pas ignorer l’humanité potentielle de ces êtres qui pourtant, en acte, se conduisent comme des monstres. La dialectique grinçante de la situation est d’ailleurs ici : c’est qu’agissant de la sorte, non seulement nous nous comportons nous-mêmes en monstres, mais qu’en plus nous ne faisons preuve d’aucun respect vis-à-vis de ces criminels que nous voudrions, contre eux-mêmes, sauver d’eux-mêmes… L’authentique humanisme face à des hommes qui sont prêts à écraser des enfants avec un camion c’est une balle de neuf millimètres, pas une cellule de neuf mètres carrés.

Il est donc inutile et presque obscène de blâmer les « Français de papier » qui méprisent ce pays si nous ne sommes que des Français de papier-mâché qui l’aiment si peu qu’ils n’osent le défendre. L’avenir dira si nous ne sommes que les dernières feuilles mortes éparpillées d’un arbre, qui n’est peut-être en effet plus qu’une simple souche.

Le mauvais rôle

L’absence coupable de réactions après l’horreur de Nice signifie donc la chose suivante : non que les djihadistes ont gagné, mais que nos élites déviantes ont gagné. Elles peuvent être fières, elles ont si bien neutralisé les défenses morales du peuple, brisé son instinct de survie, son sens de l’enracinement, terrestre comme céleste, qu’il se vit désormais comme un agrégat hasardeux d’individus prêts à endurer n’importe quoi. Que dire d’un homme qui laisse sans réagir ses enfants se faire démembrer ? Nous savons tous qu’il ne mérite que des crachats. Au lendemain de ce 14 juillet 2016, le peuple français est mort, non de peur, mais de la version niaise et débilitante de l’amour, la grimace d’une charité de belle âme qui se croit noble de laisser croître en son sein une vilénie qu’elle ne fait strictement rien pour combattre, parce qu’elle redoute de se salir les mains. A ce rythme-là, dans vingt ans, ce territoire sans âme qui laisse ses enfants mourir sera un pays musulman comme les autres. Et nous aurons alors le dernier droit que le vainqueur de la guerre laisse à son opposant défait, le dernier droit de l’homme qui est aussi le premier droit des animaux : celui de devenir esclave. L’on verra alors si l’explication par le drame conjugal sera toujours d’actualité.

Il est désormais vain de croire que la France puisse survivre, elle est morte avec ces enfants déshonorés. Il ne fait sens que d’espérer qu’un jour elle renaisse. Mais ce ne pourra être qu’à la condition que ce qui reste du peuple historique fasse décisivement sécession d’avec les institutions qui ont usurpé son nom et surtout, qu’il cesse de craindre d’avoir le mauvais rôle.

Parce que par lâcheté il a trop longtemps attendu, c’est, de toute manière, le seul qui lui reste.

Ulysse
18/07/2016

Source : @ULYSSEimmortal

Voir aussi : du même auteur,
Rape me ! En France, c’est tous les jours le Nouvel An

Correspondance Polémia – 21/08/2016

http://www.bvoltaire.fr/xavierscot/un-peuple-dont-on-ecrase-les-enfants-et-qui-ne-bouge-pas-merite-de-disparaitre,272742?mc_cid=e9a403a310&mc_eid=58ff097ba7

Un peuple dont on écrase les enfants et qui ne bouge pas mérite de disparaître

Aujourd'hui

image: http://cdn.bvoltaire.fr/media/2013/02/paresseux.jpg

Un ennemi a réussi lors de notre fête nationale à nous faire comprendre à quel point nous sommes fragiles, faibles, lâches et à sa merci.

image: http://0.gravatar.com/avatar/9d6c184542529994260d5e9e3c61896a?s=320&d=mm&r=g

Xavier Scott

FacebookTwitter

Depuis l’attaque de Charlie Hebdo et de l’Hyper Cacher, la France a subi une attaque terroriste tous les deux mois.

D’après Valls, cela devrait continuer pour au moins deux décennies. En somme, notre avenir se résume à continuer à tolérer que nos enfants se fassent écraser, tout en continuant à travailler afin de rembourser notre dette… Quand un peuple se refuse de réagir, même face à des enfants écrabouillés par un camion de 19 tonnes, alors ce même peuple ne mérite que de disparaître.

Dans mon tout premier article publié sur Boulevard Voltaire, je disais que « nous sommes la première génération qui n’a jamais eu à se battre pour sa liberté, et cela se voit ». Ceci est toujours vrai… Nous avons été éduqués à croire que nous étions invincibles et que nous ne pourrions jamais être conquis. Et pourtant, un ennemi que nous jugions insignifiant a réussi, lors de notre fête nationale, à nous faire comprendre à quel point nous sommes fragiles, faibles, lâches et à sa merci.

Un sondage du Pew Research Center indiquait qu’en 2007, 35 % des musulmans français soutenaient les attentats-suicides, et ce chiffre montait à 42 % lorsqu’on interrogeait les moins de 30 ans. Ce qu’il faut comprendre – si cela restait encore à prouver – est que de nombreux musulmans se savent déjà en guerre contre nous et sont prêts à payer le prix du sang pour la gagner. Leur détermination est telle qu’ils sont même prêts à accepter des « dégâts collatéraux » auprès de la population musulmane, comme ce fut le cas à Nice.

Outre leur fermeté, les islamistes sont en train de gagner cette guerre parce qu’ils sont protégés par une gauche opportuniste n’ayant jamais caché son dégoût pour la civilisation occidentale. Même après que Hollande a enfin réussi à mettre dans la même phrase les mots « terrorisme » et « islamisme », nos médias, eux, sont toujours en plein syndrome de Stockholm et continuent de nous servir notre dose quotidienne de « cepasalislam » tout en refusant de montrer les corps des enfants morts à Nice alors qu’ils l’avaient fait sans scrupules et à outrance pour celui d’Aylan.

Nous sommes en guerre, une guerre que je pense même être mondiale, comme évoqué dans un autre article. Cependant, nombreux sont ceux qui continuent à vivre comme si nous étions encore en paix. Nos plus hauts faits de résistance se résument à des hashtags, des filtres Facebook et des câlins… Démontrant que, malheureusement, il ne nous reste que trop peu de combativité.

Dans une récente vidéo, Julien Rochedy explique pourquoi nous allons perdre cette guerre. Toutes les guerres, et surtout celles qui sont liées au terrorisme, nécessitent, pour les gagner, d’assumer une politique injuste. En somme, avoir des politiques similaires à celles d’Israël, la Russie ou encore les USA. Par exemple, en France, nombreux sont ceux qui souhaitent une remigration des musulmans de France. Néanmoins, cette politique expulsera des innocents qui n’auront rien à voir avec les attentats islamistes. La question est donc : sommes-nous prêts à mener des injustices afin de gagner la guerre ?


En savoir plus sur http://www.bvoltaire.fr/xavierscot/un-peuple-dont-on-ecrase-les-enfants-et-qui-ne-bouge-pas-merite-de-disparaitre,272742#4JpCBHqkjc9YxPTE.99

Un peuple dont on écrase les enfants et qui ne bouge pas mérite de disparaître

image: http://cdn.bvoltaire.fr/media/2013/02/paresseux.jpg

Un ennemi a réussi lors de notre fête nationale à nous faire comprendre à quel point nous sommes fragiles, faibles, lâches et à sa merci.

%3D

FacebookTwitter

Depuis l’attaque de Charlie Hebdo et de l’Hyper Cacher, la France a subi une attaque terroriste tous les deux mois.

D’après Valls, cela devrait continuer pour au moins deux décennies. En somme, notre avenir se résume à continuer à tolérer que nos enfants se fassent écraser, tout en continuant à travailler afin de rembourser notre dette… Quand un peuple se refuse de réagir, même face à des enfants écrabouillés par un camion de 19 tonnes, alors ce même peuple ne mérite que de disparaître.

Dans mon tout premier article publié sur Boulevard Voltaire, je disais que « nous sommes la première génération qui n’a jamais eu à se battre pour sa liberté, et cela se voit ». Ceci est toujours vrai… Nous avons été éduqués à croire que nous étions invincibles et que nous ne pourrions jamais être conquis. Et pourtant, un ennemi que nous jugions insignifiant a réussi, lors de notre fête nationale, à nous faire comprendre à quel point nous sommes fragiles, faibles, lâches et à sa merci.

Un sondage du Pew Research Center indiquait qu’en 2007, 35 % des musulmans français soutenaient les attentats-suicides, et ce chiffre montait à 42 % lorsqu’on interrogeait les moins de 30 ans. Ce qu’il faut comprendre – si cela restait encore à prouver – est que de nombreux musulmans se savent déjà en guerre contre nous et sont prêts à payer le prix du sang pour la gagner. Leur détermination est telle qu’ils sont même prêts à accepter des « dégâts collatéraux » auprès de la population musulmane, comme ce fut le cas à Nice.

Outre leur fermeté, les islamistes sont en train de gagner cette guerre parce qu’ils sont protégés par une gauche opportuniste n’ayant jamais caché son dégoût pour la civilisation occidentale. Même après que Hollande a enfin réussi à mettre dans la même phrase les mots « terrorisme » et « islamisme », nos médias, eux, sont toujours en plein syndrome de Stockholm et continuent de nous servir notre dose quotidienne de « cepasalislam » tout en refusant de montrer les corps des enfants morts à Nice alors qu’ils l’avaient fait sans scrupules et à outrance pour celui d’Aylan.

Nous sommes en guerre, une guerre que je pense même être mondiale, comme évoqué dans un autre article. Cependant, nombreux sont ceux qui continuent à vivre comme si nous étions encore en paix. Nos plus hauts faits de résistance se résument à des hashtags, des filtres Facebook et des câlins… Démontrant que, malheureusement, il ne nous reste que trop peu de combativité.

Dans une récente vidéo, Julien Rochedy explique pourquoi nous allons perdre cette guerre. Toutes les guerres, et surtout celles qui sont liées au terrorisme, nécessitent, pour les gagner, d’assumer une politique injuste. En somme, avoir des politiques similaires à celles d’Israël, la Russie ou encore les USA. Par exemple, en France, nombreux sont ceux qui souhaitent une remigration des musulmans de France. Néanmoins, cette politique expulsera des innocents qui n’auront rien à voir avec les attentats islamistes. La question est donc : sommes-nous prêts à mener des injustices afin de gagner la guerre ?

http://www.bvoltaire.fr/olivierdamien/attentat-de-nice-et-souverainete-nationale,272770?mc_cid=e9a403a310&mc_eid=58ff097ba7

Attentat de Nice et souveraineté nationale

Aujourd'hui

image: http://cdn.bvoltaire.fr/media/2015/01/marianne-france.jpg

Il devient de la plus haute importance de reprendre en main notre destin.

image: http://2.gravatar.com/avatar/5dcd8ecbbdc1ba1c14ea1f1f0f86979d?s=320&d=mm&r=g

Olivier Damien


Docteur en droit – Commissaire divisionnaire honoraire

FacebookTwitter

Chaque lendemain d’attentat – et ils deviennent nombreux – renvoie immanquablement la classe politique à ses erreurs, ses mensonges et, lorsqu’elle gouverne, son incapacité à trouver des solutions efficaces pour combattre le terrorisme qui ronge notre pays. Celui perpétré à Nice ne déroge pas à la règle. Et on aura beau rechercher toutes les explications rationnelles voulues, les faits resteront, injustes, horribles et cruels.

Pris à leurs propres pièges, et face à leur incapacité à régler ce terrible problème qui fait des ravages parmi les Français, nos responsables politiques en sont réduits à des faux-fuyants, de vagues justifications, et maintenant de faux procès pour masquer une inefficacité qui fait froid dans le dos. En vérité, ceux qui occupent aujourd’hui les plus hautes responsabilités de l’État donnent une image pitoyable d’eux-mêmes et de notre pays.

Et, pourtant, des solutions existent. Mais elles nécessiteraient de sortir de cette aporie, qui voit s’opposer le devoir qu’ont les gouvernants de protéger les populations dont ils ont la responsabilité et leur obligation de respecter les directives et les injonctions qui émanent d’institutions et de juridictions supranationales représentées par Bruxelles et Strasbourg. Car c’est bien cet état de soumission, auquel les Britanniques ont osé tourner le dos, qui paralyse notre pays dans son action contre le terrorisme. Liée par un nombre considérable de conventions et de traités, la France, comme beaucoup d’autres nations en Europe, a perdu toutes ses marges de manœuvre. Chaque initiative nationale, quel qu’en soit le domaine, est aussitôt analysée, décortiquée et parfois même jugée par des fonctionnaires étrangers qui ont le pouvoir de dire ce qui est bon ou pas pour un pays, dont ils ne connaissent le plus souvent ni les mœurs, ni l’histoire, ni la culture.

Dès lors, prétendre vouloir lutter contre le terrorisme avec les seuls moyens dont on dispose encore est devenu illusoire. Les États ne sont même plus maîtres de leur droit interne puisque la primauté du droit européen s’impose aux droits nationaux. Ce principe est même absolu, ce qui signifie qu’aucune réforme interne ne peut intervenir si elle ne respecte pas les règles fixées par Bruxelles. Devant cet état de fait, aucune mesure en profondeur ne peut donc être adoptée. Seules quelques mesurettes dépourvues d’intérêt, et auxquelles nul ne croit plus, peuvent (mais pour combien de temps encore) donner le change.

Pour combattre le fléau qui nous mine, et avant qu’il ne soit vraiment trop tard, il devient de la plus haute importance de reprendre en main notre destin. Au nom de notre souveraineté nationale, et dans l’intérêt supérieur des Français, il faut, face aux périls qui menacent, prendre nos distances, au moins pour un temps, avec des institutions européennes qui font le lit du terrorisme. Tout discours ou toute proposition de responsable politique qui ne posera pas ce préalable pourra, sans risque, être qualifié de mensonge.


En savoir plus sur http://www.bvoltaire.fr/olivierdamien/attentat-de-nice-et-souverainete-nationale,272770#4cfbTZlmZK7aD92P.99

Partager cet article

Repost0

commentaires