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16 mars 2021 2 16 /03 /mars /2021 06:48

1974, on nous disait que c’était la crise du pétrole

1974, c’est la crise, l’apocalypse, il n’y a bientôt plus de pétrole, du moins, c’est ce qu’on nous disait.

Si cette affirmation avait eu à l’époque une once de vérité, a fortiori devrait-on en avoir une confirmation éclatante aujourd’hui en 2021, presque 50 ans plus tard.

Or pas du tout, des centaines de millions d’automobilistes Chinois, Indiens, Sud-américain ou Russes sont venus s’ajouter aux automobilistes Américains et Européens, et chez ces derniers,  il y a pratiquement une automobile par habitant alors qu’en 1973, chaque famille en avait une au mieux.

De nos jours, les gens prennent l’avion pour un oui ou pou un non, vers Ténériffe, Djerba ou Phuket, des destinations totalement inconnues à l’époque. Et pourtant, les cours du pétrole chutent parce que la demande est trop faible par rapport à l’offre, la guerre au Koweït, ou entre l’Arabie Saoudite et le Yémen, les embargos sur l’Irak, l’Iran, ou le Venezuela n’ont aucun effet sur les cours.

Si donc à l’époque quelqu’un avait dit qu’il n’y avait pas de crise du pétrole réelle, qu’on cherchait simplement à provoquer artificiellement une crise économique majeure, avec une  inflation galopante et un chômage massif, dans le but de précariser l’avenir des jeunes, de les empêcher de fonder une famille, de détruire les nations blanches et ainsi faire de la place pour une immigration de remplacement africaine et asiatique, ce quelqu’un serait passé pour un complotiste. Et pourtant, c’est exactement ce qui s’est passé avec en prime une politique absolument volontariste de délocalisation et de transfert de technologie vers les nations non blanches.

En plus de nous dire qu’il n’y avait plus de pétrole, on nous expliquait que Mai-68 était une remise en cause de la société de consommation, là encore, une énorme stupidité destinée à faire culpabiliser les jeunes blancs. Cela faisait à peine une dizaine d’années que pour la première fois de son histoire l’humanité sortait la tête de l’eau pour bénéficier d’un peu de confort et de bonheur matériel, et déjà, on lui disait qu’elle péchait ? Là-encore, si l’accusation de surconsommation avait eu à l’époque une once de vérité, on devrait l’avoir démontré aujourd’hui en ayant réduit notre consommation : quelle blague!

Outre ce qu’on a déjà dit de la voiture et de l’avion, on doit encore ajouter qu’il n’y avait à l’époque qu’une télévision par foyer au maximum, pas d’émission avant 13 heures et après 23 heures ; un seul téléphone par foyer, au mieux une seule chaîne hi-fi, bien sûr pas d’ordinateur ; généralement pas de lave-vaisselle, personne ne buvait d’eau minérale ni de jus d’orange, les frigos n’étaient pas pleins de sodas en tous genres, il y avait juste des yaourts nature et des petits-suisses ; au goûter c’était une barre de chocolat ou une pâte de fruits ou une vache qui rit ; on se lavait avec du savon, pas d’eau de toilette à tout va, surtout pas pour les hommes ; pas de salle de gym, pas toute cette industrie du loisir, dans la famille on se passait les fringues entre ainés et benjamins etc., etc., on pourrait allonger indéfiniment la liste.

Pas de crise du pétrole ou de la consommation, mais une crise du sens et de l’essence. Aujourd’hui, l’aspect général de la population en France après 50 ans de pilule, de pornographie, d’avortement, de divorce, de chômage, de féminisme, d’homosexualisme, d’immigration et de métissage est d’une horreur absolument effrayante.

Et il y a plus grave, ce qui est en train de se passer est impossible à placer dans la continuité d’une Histoire de l’humanité 100% blanche depuis 2 500 ans. Or, l’Histoire est censée devoir témoigner d’une volonté divine, d’un dessein supérieur, mais au lieu de cela, nous devrions constater aujourd’hui que l’homme blanc n’est pas le sommet de l’évolution, tout simplement parce qu’il n’y a jamais eu ni d’évolution ni de flèche du progrès, rien qu’un éternel  marécage.

Ce constat est pourtant impossible à faire, car s’il n’y a ni Dieu ni évolution, ni histoire ni progrès, ni beauté, alors, nous n’avons aucune valeur ni aucune obligation morale.

Devons-nous alors supporter ce choc sanitaire qu’on nous impose aujourd’hui et qui paraît manifestement tout aussi factice que le choc pétrolier? Mais pour aller où? Pour aller plonger dans quel nouveau tréfond? C’était déjà assez pénible de souffrir dans la montée, il nous faudrait maintenant souffrir pour descendre toujours plus bas dans la laideur ?

Mon Dieu, c’est révoltant, où est passée la France ?

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