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14 avril 2024 7 14 /04 /avril /2024 06:40

https://www.youtube.com/watch?v=pkhENzSfYRQ

 

 

 

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13 avril 2024 6 13 /04 /avril /2024 15:15

TRIBUNE] Pacte Asile et Migration, la marche forcée d’une submersion migratoire à venir

 
 

Ce mercredi 10 avril, le Parlement européen a émis son verdict sur le sinistre « Pacte Asile et Migrations », élaboré par la Commission européenne. Nonobstant les arguments des macronistes, qui l'ont présenté comme une occasion de « répondre efficacement au défi migratoire », son adoption sonne le glas d'un drame sans équivoque.

En réalité, ce pacte, prétendument conçu pour maîtriser l'immigration, constitue plutôt une tribune pour les idéologues du Parlement européen, visant à établir un cadre légal pour une gestion plus ordonnée des flux migratoires. Loin de proposer une réduction tangible et chiffrée de l'immigration, l'Union européenne entend désormais imposer à ses États membres une accélération de l'accueil, de la régularisation et de la répartition des migrants à travers l'Europe, assortie de sanctions financières le cas échéant.

La Commission européenne enfreint ainsi les traités de l'Union européenne, qui confèrent aux États la compétence en matière d'immigration. Cette mise sous tutelle des États membres est insupportable et constitue un affront à notre souveraineté.

Opposition RN et assentiment macroniste

Il va de soi que l'ensemble des députés français du Rassemblement National se sont opposés à ce Pacte et ont voté contre cette marche forcée vers une submersion migratoire plus importante encore. Quant à nos adversaires macronistes, derrière le masque d'une bien-pensance exacerbée, ils ont massivement approuvé cette initiative. Ils seront responsables de l’intensification de la pression migratoire et des tensions aux frontières extérieures de l’Europe, laissant des territoires comme Chypre, la Grèce, les Canaries ou Malte entièrement démunis face à l’invasion à venir.

Pour rappel, les pays de l'Union européenne, ainsi que la Norvège et la Suisse, ont enregistré près d'un million de nouvelles demandes d'asile en 2022, marquant une augmentation de plus de 50 % par rapport à l'année précédente. Même si l'année 2023 porte les stigmates des tensions géopolitiques en Europe orientale et au Moyen-Orient, qui se traduiront par une augmentation des demandes d'asile régulières mais aussi des entrées irrégulières sur notre sol, ce pacte Asile et Migration représente une incitation massive pour les populations du monde entier à envisager l'Europe comme terre d'accueil. On se souvient des propos de la commissaire européenne aux affaires intérieures suédoise Ylva Johansson : « L'Europe a besoin d'un million de migrants supplémentaires par an. » Pour toute cette caste de technocrates européens, l'immigration n'est pas un problème, c’est un projet !

Frontex est désormais un outil migratoire

Le message envoyé par l’Union européenne est explicite : « Migrants du monde entier, violez nos lois, franchissez nos frontières, et la Commission européenne, avec l’aide des ONG, vous répartira sur l’ensemble du territoire européen. » En effet, le rôle prépondérant des ONG pro-immigration dans ce processus ne saurait être sous-estimé. À cet égard, ces entités bénéficient de l'appui de « moniteurs des droits fondamentaux », fervents disciples de la doctrine sacro-sainte des droits fondamentaux, et infiltrent l’agence Frontex, entravant ainsi l'action de ses agents en favorisant à tel point les droits des migrants que toute procédure d'expulsion devient illusoire. Ainsi, la Commission européenne, en étroite collaboration avec ces ONG, a détourné Frontex de son rôle initial pour en faire des acteurs du sauvetage en mer, quasiment complices de l'afflux migratoire en ramenant les migrants vers les côtes au lieu de protéger efficacement nos frontières contre cette marée infernale.

Le Rassemblement national a toujours adopté une position claire sur la question de l'immigration : une approche humaniste, mais ferme, visant à protéger l'Europe. Depuis des années, nous réclamons la mise en place de contrôles des demandes de visas en dehors des frontières de l'Europe, dans les pays d'origine, ainsi que la création d'une double frontière : une à l'extérieur des frontières de l'Union européenne et l'autre aux frontières nationales. Ces mesures représentent les seules solutions efficaces pour endiguer les vagues migratoires destructrices auxquelles l'Europe est confrontée depuis des années. Si vous vouliez une raison de plus pour voter pour la liste de Jordan Bardella, le 9 juin, vous en avez une !

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13 avril 2024 6 13 /04 /avril /2024 14:35

[STRICTEMENT PERSONNEL] Le grand ensauvagement

 
 

Les plus hautes autorités publiques de ce pays, ces autorités, aussi inefficaces que légitimes, dont la langue, quoi qu’elles puissent dire, tremble moins que le bras, nous l’ont répété à satiété ces dernières semaines, comme pour mieux s’en convaincre : « l’école est un sanctuaire ». Avec, parfois, une variante qui n’avait pas tout à fait le même sens : « L’école devrait être un sanctuaire. »

« Un sanctuaire » ? Vraiment ? Doutant malgré tout, mais doutant de mon doute, je me suis tout bêtement et tout simplement reporté au dictionnaire, qui m’a sans équivoque donné la réponse qu’hélas je redoutais. SANCTUAIRE : nom masculin. 1. Édifice religieux, plus généralement lieu saint. 2. Lieu protégé contre toute agression.

Qui, de bonne foi, pourrait sérieusement le contester ? L’école, en France, en 2024, et en dépit des pieux mensonges de ses plus hauts desservants, n’a plus rien d’un sanctuaire. L’école est un champ de bataille où s’affrontent, à armes inégales, les défenseurs de ce dernier rempart, de ce donjon longtemps inviolé, aujourd’hui attaqué, assiégé, mis à mal par ceux qui refusent, qui récusent, qui rejettent la société qui a eu l’imprudence, la légèreté, la naïveté de les accueillir et se révèle aujourd’hui aussi inapte à les intégrer que de les expulser.

Ce « sanctuaire » mal desservi

Un sanctuaire… C’est à la sortie du collège de Conflans-Sainte-Honorine où il enseignait que Samuel Paty a été décapité, il y a trois ans, par un Tchétchène venu vivre, mourir et tuer en France.

Un sanctuaire… C’est dans l’enceinte du lycée où il enseignait, à Arras, que Dominique Bernard a été poignardé, il y a six mois, par un autre jeune Tchétchène à qui la France avait cru devoir et pouvoir donner un asile, un abri et une éducation.

Un sanctuaire… À Montpellier, c’est à la porte de son collège que Samara, une jeune fille de quinze ans qui croyait pouvoir s’habiller, se conduire et se comporter « à l’européenne », a été attaquée, tabassée et laissée pour morte par quatre « camarades » qui entendaient lui donner une bonne leçon de morale coranique-ta-mère. C’est à deux pas de l’établissement scolaire dont il suivait les cours, à Viry-Châtillon, à vingt minutes de Paris, que Shemseddine, quinze ans lui aussi, a été mortellement poignardé par des crétins préhistoriques qui n’ont rien appris depuis Néandertal et rien oublié depuis Cro-Magnon. (Et encore, je me demande si, ce disant, je ne calomnie pas nos lointains ancêtres.)

L'impossible vivre ensemble

Chaque jour s’allonge, à l’extérieur comme à l’intérieur de la « communauté éducative », la longue liste noire de ces faits divers qui sont aussi des faits de société et qui témoignent, par leur modus operandi autant que par leur nature même, de l’existence, de la dangerosité et du refus de s’assimiler d’une minorité allogène et allergique à notre civilisation, à notre culture, à nos lois et à nos mœurs.

À quelle époque, en quel siècle, dans quel pays vivons-nous et nous font vivre ces assassins que nous côtoyons chaque jour, ces tueurs à la balle et surtout au couteau qui ne visent pas à nous libérer d’on ne sait quelle occupation mais à nous faire revenir quelques siècles (quelques millénaires ?) en arrière ?

Ce n’est pas à La Mecque, il y a douze cents ans, mais à Bordeaux (à Bordeaux !) qu’un Afghan, à tous égards égaré parmi nous, a poignardé à mort, l’autre soir, deux Algériens qui violaient le ramadan en consommant de l’alcool. Ce n’est pas en Corse ou en Sicile il y a deux siècles mais à Viry-Châtillon qu’ont sévi les deux « grands frères » bas du cerveau qui s’étaient institués garants et gardiens de la vertu, de la virginité, des fréquentations et de la « réputation » de leur jeune sœur. Crime d’honneur ? On voit bien où est le crime. On ne voit pas où est l’honneur.

À Viry, à Bordeaux, à Romans-sur-Isère, tout près de Crépol, des rixes anachroniques opposent des bandes de jeunes qui s’affrontent au couteau. La « Belle Époque » serait-elle revenue où les Apaches qui faisaient trembler Paris réglaient à coups de surin leurs comptes sur les Hauts de Belleville ou sur les fortifs et la « zone » ?

Il y a 25 ans, les sauvageons...

La place d’un couteau est à la cuisine, à table, dans un tiroir ou au vestiaire, pas dans le cartable des écoliers ou des lycéens. Les mères attentives qui sommaient, le matin, leurs enfants de bien mettre leur chandail ou de bien nouer leur cache-col sont-elles condamnées à les adjurer, le matin, de ne pas oublier leur couteau ? Notre pays est en passe de se muer en coupe-gorge. Au sens le plus littéral.

Il y a un quart de siècle, Jean-Pierre Chevènement suscitait une polémique en donnant une acception nouvelle au mot « sauvageon ». Il ne s’agit plus de sauvageons mais bel et bien de sauvages. Ceux qui, contre l’évidence, contre les faits, contre les chiffres, ont successivement nié le Grand Remplacement puis le grand déclassement que vit la France sont-ils conscients du fait que nous sommes entrés dans l’ère du grand ensauvagement ? S’ils ne sont ni assez lucides pour l’admettre ni assez courageux pour en tirer les conséquences, d’autres le feront pour eux. Et, bien sûr, sans eux.

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13 avril 2024 6 13 /04 /avril /2024 12:26


Attentat de Moscou : «il n’y a plus aucun doute sur l'implication directe de l'Ukraine», selon Nebenzia

RT en Français, 12 avr 2024, 17:14

Lors d’une réunion du Conseil de sécurité des Nations Unies ce 12 avril, le représentant permanent de la Russie auprès de l’ONU a évoqué les résultats de l’enquête préliminaire sur l’attentat du Crocus City Hall. Le diplomate a déclaré qu’il n'y avait plus aucun doute quant à l’implication de Kiev dans cette attaque terroriste qui a fait 144 morts.

«Les traces des commanditaires ukrainiens sont aujourd’hui évidentes au-delà de tout doute raisonnable», a lancé ce 12 avril Vassili Nebenzia, lors d’une réunion du Conseil de sécurité des Nations Unies. Mettant en avant les résultats de l’enquête préliminaire, le diplomate russe a déclaré qu’«à cette étape il n’y a plus aucun doute sur le fait que l’Ukraine est impliquée dans cet attentat».

«Des faits irréfutables ont été révélés lors de l’enquête, des faits qui témoignent de la trace ukrainienne dans cet attentat, des liens entre les terroristes et les renseignements ukrainiens», a insisté Nebenzia. Celui-ci est alors revenu sur les instructions qu’auraient reçues les terroristes : à savoir se rendre dans la région de Briansk frontalière de l’Ukraine, incendier leurs véhicules dans une forêt, et en informer leurs commanditaires qui devaient alors les faire passer du côté ukrainien de la frontière, a détaillé le diplomate.

«Le même modus operandi avait été appliqué lors des assassinats de Daria Douguina et de Vladen Tatarski», a-t-il déclaré, avant d’évoquer l’analyse faite par les enquêteurs des données des téléphones des terroristes. «Là aussi la trace des renseignements ukrainiens est évidente», a déclaré Nebenzia, avant d’évoquer des versements «notamment en cryptomonnaie, provenant d’Ukraine».

Des «incohérences» avec la piste islamiste

Autre élément souligné par l’ambassadeur russe à l’ONU, le fait que la piste de l’attentat islamiste ait été reprise par les médias occidentaux «comme la version officielle, la seule version crédible» à la suite de la revendication de l’EI. Nebenzia a alors mis en avant des «incohérences», à commencer par le fait que la revendication d’un attentat par un groupe terroriste ne fait pas foi d’authenticité, Daech s’étant par le passé attribué des attentats qu’il n'avait pas commis.

Le diplomate a également souligné l’absence de la «signature des mouvements islamistes» dans cet attentat. «Les groupes extrémistes islamistes, en général, commettent des attentats par conviction idéologique et non pour recevoir des sommes d’argent», soulignant que les terroristes du Crocus City Hall avaient «lâchement tenté de fuir». «Il ne faut pas être un expert pour bien comprendre que cela n’a rien à voir avec le modus operandi des extrémistes radicaux.»

Le 22 mars au soir, des hommes armés ont ouvert le feu dans la salle de concert du Crocus City Hall, située à Krasnogorsk en proche banlieue de Moscou, avant de mettre le feu à la salle. En tout, 144 personnes sont mortes et 551 autres ont été blessées, selon le dernier bilan du ministère russe des Situations d'urgence.

Après avoir arrêté les «exécutants», la Russie s’intéresse aux «commanditaires»

11 suspects ont été arrêtés dans cette affaire, dont quatre citoyens du Tadjikistan qui, selon la commission d'enquête, sont les auteurs directs de l'attaque terroriste. En outre, le 1er avril, quatre étrangers ont été arrêtés au Daghestan pour avoir participé au financement des criminels qui ont attaqué la salle du Crocus City Hall et leur avoir fourni des armes. Le 4 avril, trois autres ressortissants d'Asie centrale soupçonnés d'être impliqués dans l’attentat ont été arrêtés à Moscou, Ekaterinbourg et Omsk.

Le groupe État islamique au Khorassan (EI-K) a revendiqué l'attentat. Le 28 mars, le Comité d'enquête avait indiqué que les auteurs de l'attaque avaient reçu de l'argent venu d'Ukraine et le 5 avril, des photos pro-ukrainiennes ont été découvertes sur les téléphones des terroristes. Kiev, de son côté, nie toute implication.

Le secrétaire du Conseil de sécurité russe Nikolaï Patrouchev et le directeur du FSB Alexandre Bortnikov avaient affirmé dès le 26 mars que l’Ukraine pourrait être impliquée dans l’attaque. Ces affirmations vont dans le même sens que les propos tenus la veille par Vladimir Poutine, qui avait déclaré que l'attentat avait été commis par «des islamistes radicaux», tout en déclarant s’intéresser aux «commanditaires».

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13 avril 2024 6 13 /04 /avril /2024 11:15

Le 9 juin, le vote “utile”, c’est le vote pour la liste de Marion Maréchal…

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Nous l’avons dit et redit, nous l’avons écrit : nous ne nous faisons plus aucune illusion sur l’avenir, ni même sur la raison d’être, de l’Union européenne. L’UE, telle qu’elle est aujourd’hui, n’est plus réformable. Elle est devenue une structure technocratique et supranationale, un véritable marchepied vers la gouvernance mondiale… Pour sauver la France, il faut donc en sortir et, autant que faire se peut, au plus vite.

Cela étant dit, cette nécessité ne se réalisera pas avant le 9 juin, date du prochain scrutin européen.  Alors, que faire ?

Lorsque nous sommes confrontés à un problème, le seul choix qui doit s’imposer, c’est celui qui sert l’intérêt national.

Certains, par pureté idéologique ou par refus des carcans bruxellois, pensent qu’il faut snober cette échéance en se réfugiant dans l’abstention ou le vote nul. C’est oublier la maxime « qui ne dit mot, consent ». Qu’on le veuille ou non, s’abstenir dans le système démocratique, c’est servir les intérêts de nos adversaires. C’est-à-dire ceux des partis de l’anti France qui vont de l’extrême gauche islamo-wokiste aux résidus de la pseudo droite, dite “républicaine”, d’antan.

Le choix ne peut se faire qu’entre les différentes listes se réclamant du courant national. Et, à ce jour, elles sont pléthore…

Il y a bien sûr les listes de souverainistes, comme celle des Patriotes de Florian Philippot, celles de nationalistes, telle la liste  du courageux avocat toulousain Maître Pierre-Marie Bonneau, auxquelles il faut en ajouter quelques autres, comme celles de l’UPR de François Asselineau ou de l’Alliance royale (Nicolas Dupont-Aignan s’étant, pour sa part, retiré récemment de la compétition). Mais aucune d’entre elles, aussi sympathiques soient-elles, ne peut espérer passer la fameuse barre des 5% leur permettant d’avoir des élus. Par conséquent, les deux seules listes qui peuvent jouer un rôle sont celles du Rassemblement national, menée par Jordan Bardella, et celle de Reconquête, conduite par Marion Maréchal. Rappelons que pour la France, il y a 79 sièges à pourvoir et que leur répartition se fait en fonction des résultats des différentes listes qui passent la barre fatidique.

L’intérêt national, c’est qu’il y ait un maximum d’élus nationaux le 7 juin.

À quelques semaines du scrutin, si l’on s’en tient aux sondages, la liste du RN arrive largement en tête, avec près de 30% des intentions de vote, et celle de Reconquête oscille entre 5 et 7%. Le total des deux listes tourne autour de 40%, ce qui équivaut, à peu près, au score de Marine Le Pen au second tour de la dernière présidentielle (2022). Tenons-nous en à cette hypothèse…

Avec 30% des suffrages exprimés, la liste RN peut espérer avoir une trentaine d’élus. Si la liste de Marion Maréchal fait plus que 5%, elle en aura quatre ou cinq (en dessous, elle n’en aura aucun).

J’entends parfois, ici et là, des amis qui ont soutenu Éric Zemmour lors de la présidentielle, éblouis peut-être par les sondages actuels, me faire part de leur intention de voter “utile” aux européennes en donnant leur voix à la liste RN. Font-ils le choix de l’efficacité ? Si la finalité est d’avoir un maximum d’élus nationaux au Parlement européen, permettez-moi d’en douter…

Je ne remets pas en cause leur sincérité mais, par manque d’information, ils ne connaissent pas tous les rouages de ce type de scrutin. Je les invite donc à réfléchir sur les cas de figure suivants :

• Dans la perspective la plus vraisemblable évoquée ci-dessus, si 1% des électeurs potentiels de Marion se reporte sur la liste RN, plaçant ainsi Reconquête en-dessous des cinq points, cela fera peut-être un élu en plus pour le RN mais cela fera surtout aucun élu pour Reconquête et donc, à l’arrivée, au mieux trente-et-un élus nationaux au lieu de trente-quatre ou trente-cinq… Est-ce un bon calcul ?

• Second cas de figure : la liste de Marion Maréchal dépasse les 5%. Cela ne fera pas un élu en moins pour le RN, mais cela fera quatre ou cinq élus de plus pour le courant national. Ce qui, bien sûr, ne peut être que bénéfique pour la France !

Le parti Reconquête sera-t-il l’instrument permettant au RN et à la droite nationale dans son ensemble de sortir de son isolement ?

Vous le savez, à Synthèse nationale, notre préférence va plutôt à la liste conduite par Marion Maréchal. Il en a été de même, il y a deux ans, lors de la présidentielle, avec Éric Zemmour. Nous avons à maintes reprises exposés nos critiques à l’encontre de ce qu’est devenu le Rassemblement national, ces dernières années. Néanmoins, nous considérons que ce parti, malgré ses dérives “dédiabolisatrices”, sa quête de “respectabilité” et ses votes douteux à l’Assemblée nationale, fait partie de notre courant de pensée. Nous n’allons donc pas nous plaindre de le voir progresser comme c’est le cas actuellement.

En revanche, le problème qui a toujours été celui, d’abord du Front national, puis du RN, c’est l’impossibilité, faute de partenaire(s) conséquent(s), de pouvoir contracter des alliances. Or, en France, c’est un fait, il est impossible d’arriver seul au pouvoir (le PS s’est allié avec le PC, le RPR avec l’UDF, Macron avec le Modem…). Bref, jusqu’à aujourd’hui, en dehors de quelques alliances ponctuelles avec des groupuscules éphémères, le FN/RN est demeuré cloîtré dans une solitude certaine. L’émergence de Reconquête, qui clame sa volonté de voir se réaliser l’union des droites, est peut-être la chance historique de notre famille politique. Mais encore faut-il que cette émergence se confirme et se consolide… Espérons aussi que, d’un côté comme de l’autre, au cours de cette campagne, on mette de côté les rancunes et les invectives inutiles…

Les prochaines élections européennes sont donc cruciales pour l’avenir de la droite nationale et, plus encore, pour l’avenir de la France. Voilà pourquoi, le 9 juin, nous vous invitons à voter pour la liste Reconquête conduite par Marion Maréchal !

Roland Hélie

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13 avril 2024 6 13 /04 /avril /2024 10:57
"L'Ukraine pourrait être vaincue cette année"© Unsplash

Fin de l’invasion russe ou déclin de l’Ukraine ? Que réserve 2024 ? 

Les prédictions sont, de manière générale, négatives. De plus en plus de rapports commencent à fleurir, évoquant l’avenir du conflit.

Il y a quelques jours, le général français Vincent Desportes déclarait : “nous ne pouvons pas exclure que les Russes soient à Kiev en septembre et à Lviv en octobre, c'est-à-dire en Ukraine occidentale. Nous sommes dans une situation critique. " En faveur de la Russie. Aujourd'hui, l'industrie russe produit plus d'armes qu'avant la guerre. "

De son côté, le général britannique retraité, Sir Richard Barrons, craint que l’Ukraine ne tombe entièrement aux mains de Poutine cette année. La raison ? “L’Ukraine pourrait avoir le sentiment qu’elle ne peut pas gagner" a confié l’ancien soldat à la BBC.

"Et le moment venu, pourquoi les gens voudront-ils encore se battre et mourir juste pour défendre l'indéfendable ?", souligne Barrons. Même si l’Ukraine n’en est pas encore là, l’armée ukrainienne est actuellement aux prises avec un manque de munitions, de troupes et de défense aérienne. "La contre-offensive de l'année dernière n'a pas non plus réussi à repousser les Russes", poursuit l’ancien général.

Selon lui, les Russes mèneront bientôt une offensive majeure avec l’avantage d’une “capacité supérieure” en artillerie, en munitions et en troupes. Ils utiliseront également des armes plus récentes comme les bombes volantes.

L’offensive russe débutera cet été. "Et si cela se produit, nous courons le risque de voir les forces russes percer", conclut Barrons

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13 avril 2024 6 13 /04 /avril /2024 10:54

Dien Bien Phu, une défaite auréolée de l’héroïsme de nos soldats

Dien Bien Phu, une défaite auréolée de l’héroïsme de nos soldats

“La France est la nation qui a participé au plus grand nombre de guerres et de batailles dans toute l’Histoire de l’Humanité et qui totalise le plus de victoires au monde”.

Mais il faut aussi savoir accepter les défaites et je ne suis pas de ceux qui pensent que Dien Bien Phu fut notre honte. Ne salissons jamais la mémoire des héros tués au combat, ils sont l’honneur d’une nation, dans un univers où la paix n’est qu’une illusion bien éphémère.

Car il est des défaites qui ont valeur de victoire, quand des soldats se battent jusqu’à leur dernier souffle, non plus pour la France et son drapeau, quand tout est définitivement perdu, mais pour honorer jusqu’au bout le sacrifice de leurs frères d’armes qui sont déjà tombés à leurs côtés.

Quand la Légion étrangère célèbre la bataille de Camerone, cette hacienda où 63 légionnaires résistèrent à 2 000 Mexicains avant de succomber en 1863, c’est le courage et l’esprit de sacrifice que vénère la Légion.

Quand les Marsoins célèbrent Bazeilles, où ils perdirent 2 655 des leurs dont 100 officiers en 1870, ils entretiennent le culte de l’abnégation et de l’honneur. Car il n’y a aucun déshonneur à succomber en tirant ses dernières cartouches dans un combat inégal à dix contre un.

Et que dire de la bataille de la Bérézina, où le sacrifice des pontonniers plongés dans les eaux glacées, permit de sauver les restes de la Grande Armée, décimée par l’impitoyable hiver russe. Un indéniable succès militaire où les grognards épuisés tinrent néanmoins en échec les armées du Tsar.

Oui, il y a des comportements héroïques qui illuminent les défaites.

Et la bataille de Dien Bien Phu en fait partie.

On ne compte plus les livres qui ont retracé la tragédie de Dien Bien Phu du 13 mars au 7 mai 1954, soulignant le plus souvent les erreurs fatales du haut commandement français : choix discutable du site, surestimation de sa propre puissance, sous-estimation des forces ennemies et de la stratégie du général Giap, causes qui ont conduit au désastre, comme trop souvent dans les conflits asymétriques.

En passant à Hanoï, il y a quelques années, j’ai pu visiter le musée de l’armée, où la bataille de Dien Bien Phu y est reconstituée. J’ai également lu le livre du général Giap relatant l’essentiel des opérations avant et durant la bataille. Une analyse détaillée faite par le principal artisan de la victoire vietnamienne, livrant la stratégie adoptée face au plan du général Navarre.

Après la débâcle de 1940 qui surprit le monde entier, lequel pensait que le grand vainqueur de 1918 était invulnérable derrière sa Ligne Maginot, la défaite de Dien Bien Phu sonna le glas de l’empire français, ultime vestige de notre puissance. Aux yeux du tiers monde, la France n’était donc plus invincible.

Après Dien Bien Phu, nos paras et nos légionnaires enchaînèrent avec la guerre d’Algérie. Une guerre gagnée militairement mais perdue politiquement, dont les Algériens gardent des séquelles incurables, contrairement aux Vietnamiens qui ne pleurent pas sur leur passé colonial mais regardent le futur. Deux cultures différentes…

A Dien Bien Phu, localité située à la frontière du Laos, le haut commandement français pensait attirer les forces du Vietminh dans une cuvette de 18 km sur 6 pour les écraser une bonne fois pour toutes.

Tous ceux qui ont visité le camp retranché, y compris les généraux américains,  y ont vu une citadelle imprenable, avec ses points d’appui avancés dotés d’une puissante artillerie et disposant d’une piste d’atterrissage permettant l’acheminement de renforts, de munitions et de ravitaillement, ainsi que l’évacuation des blessés.

14 000 soldats, les meilleures troupes d’Indochine, furent engagés tout au long des opérations. En face, contrairement à toute attente, Giap mobilisa 80 000 bô doï, après avoir construit en toute discrétion des routes et des sentiers à travers jungle et montagne, pour acheminer à dos d’homme et en chargeant lourdement des vélos, des munitions et surtout une puissante artillerie que les Français estimaient de faible portée, absolument incapable d’atteindre leurs lignes. 260 000 porteurs ont permis cet exploit titanesque. Nul n’avait envisagé une telle possibilité, ce fut l’erreur fatale côté français. Sans parler du soutien chinois apporté au Vietminh, largement sous-estimé lui aussi.

Camouflés dans les collines boisées, les canons de Giap étaient invisibles, donc indestructibles par notre aviation. Ils pilonnaient le camp retranché tandis que nos artilleurs ripostaient quasiment à l’aveugle.

La bataille s’est déclenchée le 13 mars 1954 sous un déluge d’artillerie inattendu, s’abattant sur le point d’appui Béatrice tenu par les légionnaires. Leur chef est aussitôt tué. Béatrice tombe et le lendemain, c’est au tour du point d’appui Gabrielle.

En 48 heures, la bataille est d’ores et déjà perdue, avec  la piste d’aviation devenue difficile à protéger.

Mais vont suivre 55 jours de combats héroïques et d’actes de bravoure innombrables face à la déferlante des nuées de soldats vietnamiens donnant l’assaut, qui vont faire de Dien Bien Phu une bataille mythique.

Les vagues d’assauts vietminhs vont se succéder, tandis que les renforts français continueront d’affluer, sautant dans la fournaise pour ne pas abandonner leurs frères d’armes, avant l’inéluctable défaite. Pour beaucoup d’entre eux, ce fut leur dernier saut. Mais la fidélité et les liens qui unissent les soldats au combat ne s’explique pas. C’est une réalité, et c’est tout.

Parmi tous ces héros, dont le commandant Bigeard, le soldat le plus décoré de France, figure aussi Geneviève de Galard, infirmière convoyeuse de l’air, “l’ange de Dien Bien Phu”, qui se dévoua jusqu’à la dernière heure pour sauver les soldats blessés et leur apporter un peu de douceur et de réconfort dans cet enfer de feu et de sang. De même, n’oublions pas les prostituées vietnamiennes qui se sont dévouées auprès des blessés et qui méritent toute notre estime.

Le bilan fut terrible.

2 300 morts et 1 000 disparus côté français. 11 000 prisonniers, dont 6 500 mourront durant le long voyage vers les camps vietminhs ou en détention. Un modeste monument honore leur mémoire sur le site de la bataille.

Le général Bigeard ne pardonnera jamais au commandement vietnamien d’avoir laissé mourir autant de prisonniers en les affamant.

Il affirmait que si on avait donné seulement deux bananes quotidiennement à chaque prisonnier, la plupart auraient été sauvés. Il avait raison quand on connait les exceptionnels bienfaits nutritifs de ce fruit qui abonde au Vietnam.

Menée à 12 000 kilomètres de la France, cette guerre d’Indochine très impopulaire, marqua le début du déclin occidental.

Les Américains quelques années plus tard, ont pris la relève pour stopper l’expansion du communisme. Malgré des moyens colossaux, ils n’ont pas fait mieux. Leur écrasante supériorité aérienne leur a évité un autre Dien Bien Phu, mais l’évacuation de l’ambassade de Saïgon en 1975, dans la panique la plus totale, fut une défaite humiliante. Une débâcle absolue, mais sans le panache que nos soldats ont su donner à la bataille de Dien Bien Phu. Américains et Français ne font pas la guerre avec le même état d’esprit.

N’oublions jamais le sacrifice de nos soldats, combattant “jusqu’à la dernière cartouche” sachant que tout est perdu. Pour des raisons qui souvent les dépassent et que nous devons respecter, ces héros ne se battent plus pour une victoire devenue impossible, mais par respect pour leurs compagnons qui les ont précédés dans la mort. C’est ainsi.

( inspiré du Figmag )

Jacques Guillemain

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13 avril 2024 6 13 /04 /avril /2024 07:38

https://lalettrepatriote.com/reportage-jai-suivi-un-jihadiste-remis-en-liberte/

 

 

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12 avril 2024 5 12 /04 /avril /2024 20:47

https://odysee.com/@emanou:a/Bulletin-STRAPOL-N%C2%B0181---Zelenski-repart-%C3%A0-l%E2%80%99attaque,-Lavrov-%E2%80%93-Wang-Yi,-Band%C3%A9ristes-vs-Ukrainiens.-12.04.2024.:a

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12 avril 2024 5 12 /04 /avril /2024 18:42

Après le vote en session plénière le 10 avril du « pacte de migration et d’asile », personne ne devrait plus soutenir que le Grand remplacement, voulu et organisé par des traîtres à notre civilisation et des collabos de l’islamisme conquérant, est un délire d’extrême drouâte.

Pas moins de dix textes législatifs ont été adoptés par le Parlement, visant à réformer la politique européenne en matière d’accueil des étrangers, pour en faire venir encore plus, conformément à une entente crapuleuse passée entre des représentants des États membres en décembre 2023.

Ce nouveau suicide de la civilisation européenne a été adopté par 301 voix pour, 272 contre et 46 abstentions. Il a manqué 9 votes pour rejeter ce texte… Il y avait urgence à renforcer l’irréversibilité de l’invasion au cas où, comme certains sondages l’indiquent, les patriotes, les souverainistes et les nationalistes, s’ils étaient assez intelligents pour s’entendre, pourraient accéder aux postes de décision dès juin 2024.

Les lapins crétins des États félons sont tombés dans le piège

Un lâche soulagement émane des inconscients, subjugués par les fossoyeurs de notre identité, qui prennent au pied de la lettre les compromis cotonneux du « pacte». 

Que les trois grandes familles de la mafia européiste, à savoir le centre fluctuant PPE, les sociaux-démocrates et les libéraux macronards de Renew, se félicitent de ces lois scélérates, on comprend. Trahir leur peuple est dans leur ADN… Que Pustula la Hyène se réjouisse de ce « pas important vers l’unification » (comprendre le fédéralisme de l’UE), rien d’étonnant. Elle y gagne du pouvoir… Mais que l’Italie et la Grèce, aux premières loges pour évaluer le désastre, approuvent… on a du mal à comprendre !

Dans le concert des congratulations mutuelles, deux pays se distinguent. La Pologne, dont le premier ministre Donald Tusk affirme « Mon gouvernement n’appliquera pas le programme de relocalisation des migrants ». Et la Hongrie, dont Viktor Orban dit « Je ne céderai jamais à la frénésie migratoire… On a besoin d’un changement radical à Bruxelles pour arrêter l’immigration. » 

Ces hommes d’État refusent de prendre en charge des migrants dont leurs voisins ne veulent pas, à raison de 30.000 par an chacun minimum, ou d’apporter une contribution financière (euphémisme pour ne pas dire racket) de 20.000 euros par migrant non accepté. 

Quant à Giorgia Meloni, en votant ce texte, elle m’a beaucoup déçu. Une fois de plus. De quoi vous rendre misogyne ! Par contre Jordan Bardella a tout bien résumé : « Bruxelles veut répartir les migrants, nous, nous voulons les faire repartir ! »

Pour faire passer la pilule, on prétend combattre le banditisme et le terrorisme

La plupart de ces nouvelles mesures renforcent les privilèges exorbitants accordés aux migrants extra-européens. De préférence islamistes. Conformément à la capitulation sans combattre de 1975. Date butoir prévue : 2025, 50 ans après, pour rendre toute remigration impossible.

https://www.gloria.tv/post/ATFHGXYECLz93BjCGC8fFEDto#5

Évidemment, pour la forme, on assure qu’il y aura une amélioration de l’identification des migrants à l’arrivée, et des contrôles de sécurité renforcés pour les personnes entrant irrégulièrement dans l’UE.

Comme si on ignorait par quels moyens, les frontières terrestres et maritimes sont franchies chaque jour par des milliers de clandestins. Aidés et cornaqués par des associations islamo-gauchistes, gavées de subventions versées tant par des dirigeants soudoyés par les émirs, que par l’Eurocrature contrôlée par des banksters du Nouvel Ordre Mondial.

Parmi les trompe-l’œil pour duper les électeurs, il y a l’annonce de la création de « centres d’accueil » aux frontières pouvant accueillir 30.000 personnes qui, de toute façon, seront libres de s’en aller sans rien demander à personne. Comme on n’a ni le droit de les arrêter, ni celui de les retenir, il faudra compter sur leur bonne volonté. 

La mauvaise plaisanterie de Eurodac (moins rigolo que Pierre Dac)

Aucun filtrage ni suivi des personnes n’est prévu pour les gens arrivant de pays dispensés de visa ou avec un visa d’étudiant, pour affaires, ou touristique en bonne et due forme. Séjours provisoires ? Une fois qu’on y est, on y reste ! Les contrôler serait une intolérable atteinte aux droits de l’homme. S’ils se plaignent d’avoir été surveillés, on leur paye des avocats qui leur obtiendront de juteux versements pour les dédommager.

Pour les personnes arrivant irrégulièrement dans l’UE (à condition qu’on les intercepte, soit une sur dix) on stockera leurs empreintes digitales et leurs images faciales, à partir de l’âge de six ans, dans la base de données biométriques Eurodac.

Un système mis en place en 2023, qui jusqu’à présent s’apparente à une grande passoire… Les autorités pourront également filmer les personnes signalées qui représentent une menace pour la sécurité, ou dans les cas de violence ou de port d’armes, y compris par destination. Et après ça ? On confisque les couteaux et on les laisse repartir tranquilles. 

Dans le genre poudre aux yeux, car on entend ces propos depuis des décennies, les nouvelles lois viseront aussi l’instrumentalisation des migrants, utilisés par des pays tiers ou des acteurs non étatiques hostiles (les salafistes et les wahhabites qui prônent l’amour et la paix, mais faut pas le dire) pour faire pression sur les États. Comme certains Turcs en Allemagne, Pakistanais en Suède ou Maghrébins en France ? Ah non, ça il est interdit d’en parler !

Omerta idem à propos des personnes issues de l’immigration qui intègrent les institutions politiques, les administrations, les partis, les syndicats, l’éducation, les médias. Certaines sont parfaitement loyales envers leur nouveau pays. Mais d’autres sont des allogènes, délibérément hostiles ou manipulés par des provocateurs. Faire le tri serait discriminatoire, nous disent ceux qui veulent ficher les journalistes en fonction de leurs préférences politiques supposées.

L’Eurocrature accentue son racket pour obliger les États à prendre toujours plus d’étrangers

Le discours officiel impose une fois de plus, en l’élargissant, une prétendue obligation de solidarité envers les personnes déplacées. Confondant délibérément les migrants économiques venus profiter de la générosité de nos sociétés, qui sont la majorité, avec les vrais demandeurs d’asile qui risquent leur vie, chaque jour, dans des dictatures du tiers-monde. Où Macronescu va se pavaner sans remords.

Les États membres ont la « liberté » de choisir entre assumer l’entretien des immigrés, apporter des contributions financières fixées par l’Eurocrature ou fournir un soutien opérationnel.

Les provinces vassales de l’Eurocrature devront garantir des normes élevées (que les migrants n’ont pas chez eux) en matière de logement, d’éducation et de santé. Les nouveaux venus dûment enregistrés pourront travailler librement. Mais rien ne les y oblige. Ils pourront profiter indéfiniment, eux et leurs familles, de logements sociaux, revenus de substitution et soins gratuits. L’important est de favoriser leur réinstallation pour qu’ils se sentent bien chez nous. On leur doit bien ça. Ils nous apportent tant par leur culture, leur humanité, leur convivialité et leur amitié. C’est ainsi que les gogols de gauche les décrivent.

Tout le monde va douiller

Malgré des budgets déficitaires et une pression fiscale abusive comme en France, et une incapacité notoire à gérer des mouvements de populations importées qui servent de paravents à quelques délinquants et terroristes, tous les États membres devront raquer. En participant à l’accueil sur leur territoire des étrangers en surnombre ailleurs, et en leur fournissant tous les éléments nécessaires pour mener une existence confortable. Au besoin au détriment de leurs nationaux. 

Et comme ça ne suffit pas de les laisser venir, on va aller les chercher !

En 2023, un million de migrants ont été comptabilisés en Europe. Probablement le double avec ceux qui sont passés sous les radars. Mais cela ne suffit pas pour les fossoyeurs de nos peuples de race blanche et de culture judéo-chrétienne que le NWO a décidé d’éradiquer.

Les nouvelles dispositions sur l’admission et la réinstallation humanitaire obligeront non seulement les États membres à accueillir tous les prétendus réfugiés… Mais en outre à organiser leur transfert dans les conditions de voyage les plus confortables possibles. Bientôt des paquebots de croisière iront les embarquer chez eux ? On n’en est plus très loin.

Les États membres disposent d’un délai de deux ans pour introduire ces modifications dans leur législation nationale. En cas de mauvaise volonté, ils seront durement sanctionnés. Le seul espoir d’éviter cette catastrophe génocidaire pour tout un continent est de bien voter le 9 juin. Pour opposer ensuite notre force d’inertie à ces mesures scélérates. Pour les Français, il y a urgence. Car la situation serait irréversible. Le conseil anti-constitutionnel a toujours bloqué les projets de référendum sur l’immigration. Dans notre démocrature, neuf politicards cooptés décident à la place de 45 millions d’électeurs.

Christian Navis

 

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