Après le vote en session plénière le 10 avril du « pacte de migration et d’asile », personne ne devrait plus soutenir que le Grand remplacement, voulu et organisé par des traîtres à notre civilisation et des collabos de l’islamisme conquérant, est un délire d’extrême drouâte.
Pas moins de dix textes législatifs ont été adoptés par le Parlement, visant à réformer la politique européenne en matière d’accueil des étrangers, pour en faire venir encore plus, conformément à une entente crapuleuse passée entre des représentants des États membres en décembre 2023.
Ce nouveau suicide de la civilisation européenne a été adopté par 301 voix pour, 272 contre et 46 abstentions. Il a manqué 9 votes pour rejeter ce texte… Il y avait urgence à renforcer l’irréversibilité de l’invasion au cas où, comme certains sondages l’indiquent, les patriotes, les souverainistes et les nationalistes, s’ils étaient assez intelligents pour s’entendre, pourraient accéder aux postes de décision dès juin 2024.
Les lapins crétins des États félons sont tombés dans le piège
Un lâche soulagement émane des inconscients, subjugués par les fossoyeurs de notre identité, qui prennent au pied de la lettre les compromis cotonneux du « pacte».
Que les trois grandes familles de la mafia européiste, à savoir le centre fluctuant PPE, les sociaux-démocrates et les libéraux macronards de Renew, se félicitent de ces lois scélérates, on comprend. Trahir leur peuple est dans leur ADN… Que Pustula la Hyène se réjouisse de ce « pas important vers l’unification » (comprendre le fédéralisme de l’UE), rien d’étonnant. Elle y gagne du pouvoir… Mais que l’Italie et la Grèce, aux premières loges pour évaluer le désastre, approuvent… on a du mal à comprendre !
Dans le concert des congratulations mutuelles, deux pays se distinguent. La Pologne, dont le premier ministre Donald Tusk affirme « Mon gouvernement n’appliquera pas le programme de relocalisation des migrants ». Et la Hongrie, dont Viktor Orban dit « Je ne céderai jamais à la frénésie migratoire… On a besoin d’un changement radical à Bruxelles pour arrêter l’immigration. »
Ces hommes d’État refusent de prendre en charge des migrants dont leurs voisins ne veulent pas, à raison de 30.000 par an chacun minimum, ou d’apporter une contribution financière (euphémisme pour ne pas dire racket) de 20.000 euros par migrant non accepté.
Quant à Giorgia Meloni, en votant ce texte, elle m’a beaucoup déçu. Une fois de plus. De quoi vous rendre misogyne ! Par contre Jordan Bardella a tout bien résumé : « Bruxelles veut répartir les migrants, nous, nous voulons les faire repartir ! »
Pour faire passer la pilule, on prétend combattre le banditisme et le terrorisme
La plupart de ces nouvelles mesures renforcent les privilèges exorbitants accordés aux migrants extra-européens. De préférence islamistes. Conformément à la capitulation sans combattre de 1975. Date butoir prévue : 2025, 50 ans après, pour rendre toute remigration impossible.
Évidemment, pour la forme, on assure qu’il y aura une amélioration de l’identification des migrants à l’arrivée, et des contrôles de sécurité renforcés pour les personnes entrant irrégulièrement dans l’UE.
Comme si on ignorait par quels moyens, les frontières terrestres et maritimes sont franchies chaque jour par des milliers de clandestins. Aidés et cornaqués par des associations islamo-gauchistes, gavées de subventions versées tant par des dirigeants soudoyés par les émirs, que par l’Eurocrature contrôlée par des banksters du Nouvel Ordre Mondial.
Parmi les trompe-l’œil pour duper les électeurs, il y a l’annonce de la création de « centres d’accueil » aux frontières pouvant accueillir 30.000 personnes qui, de toute façon, seront libres de s’en aller sans rien demander à personne. Comme on n’a ni le droit de les arrêter, ni celui de les retenir, il faudra compter sur leur bonne volonté.
La mauvaise plaisanterie de Eurodac (moins rigolo que Pierre Dac)
Aucun filtrage ni suivi des personnes n’est prévu pour les gens arrivant de pays dispensés de visa ou avec un visa d’étudiant, pour affaires, ou touristique en bonne et due forme. Séjours provisoires ? Une fois qu’on y est, on y reste ! Les contrôler serait une intolérable atteinte aux droits de l’homme. S’ils se plaignent d’avoir été surveillés, on leur paye des avocats qui leur obtiendront de juteux versements pour les dédommager.
Pour les personnes arrivant irrégulièrement dans l’UE (à condition qu’on les intercepte, soit une sur dix) on stockera leurs empreintes digitales et leurs images faciales, à partir de l’âge de six ans, dans la base de données biométriques Eurodac.
Un système mis en place en 2023, qui jusqu’à présent s’apparente à une grande passoire… Les autorités pourront également filmer les personnes signalées qui représentent une menace pour la sécurité, ou dans les cas de violence ou de port d’armes, y compris par destination. Et après ça ? On confisque les couteaux et on les laisse repartir tranquilles.
Dans le genre poudre aux yeux, car on entend ces propos depuis des décennies, les nouvelles lois viseront aussi l’instrumentalisation des migrants, utilisés par des pays tiers ou des acteurs non étatiques hostiles (les salafistes et les wahhabites qui prônent l’amour et la paix, mais faut pas le dire) pour faire pression sur les États. Comme certains Turcs en Allemagne, Pakistanais en Suède ou Maghrébins en France ? Ah non, ça il est interdit d’en parler !
Omerta idem à propos des personnes issues de l’immigration qui intègrent les institutions politiques, les administrations, les partis, les syndicats, l’éducation, les médias. Certaines sont parfaitement loyales envers leur nouveau pays. Mais d’autres sont des allogènes, délibérément hostiles ou manipulés par des provocateurs. Faire le tri serait discriminatoire, nous disent ceux qui veulent ficher les journalistes en fonction de leurs préférences politiques supposées.
L’Eurocrature accentue son racket pour obliger les États à prendre toujours plus d’étrangers
Le discours officiel impose une fois de plus, en l’élargissant, une prétendue obligation de solidarité envers les personnes déplacées. Confondant délibérément les migrants économiques venus profiter de la générosité de nos sociétés, qui sont la majorité, avec les vrais demandeurs d’asile qui risquent leur vie, chaque jour, dans des dictatures du tiers-monde. Où Macronescu va se pavaner sans remords.
Les États membres ont la « liberté » de choisir entre assumer l’entretien des immigrés, apporter des contributions financières fixées par l’Eurocrature ou fournir un soutien opérationnel.
Les provinces vassales de l’Eurocrature devront garantir des normes élevées (que les migrants n’ont pas chez eux) en matière de logement, d’éducation et de santé. Les nouveaux venus dûment enregistrés pourront travailler librement. Mais rien ne les y oblige. Ils pourront profiter indéfiniment, eux et leurs familles, de logements sociaux, revenus de substitution et soins gratuits. L’important est de favoriser leur réinstallation pour qu’ils se sentent bien chez nous. On leur doit bien ça. Ils nous apportent tant par leur culture, leur humanité, leur convivialité et leur amitié. C’est ainsi que les gogols de gauche les décrivent.
Tout le monde va douiller
Malgré des budgets déficitaires et une pression fiscale abusive comme en France, et une incapacité notoire à gérer des mouvements de populations importées qui servent de paravents à quelques délinquants et terroristes, tous les États membres devront raquer. En participant à l’accueil sur leur territoire des étrangers en surnombre ailleurs, et en leur fournissant tous les éléments nécessaires pour mener une existence confortable. Au besoin au détriment de leurs nationaux.
Et comme ça ne suffit pas de les laisser venir, on va aller les chercher !
En 2023, un million de migrants ont été comptabilisés en Europe. Probablement le double avec ceux qui sont passés sous les radars. Mais cela ne suffit pas pour les fossoyeurs de nos peuples de race blanche et de culture judéo-chrétienne que le NWO a décidé d’éradiquer.
Les nouvelles dispositions sur l’admission et la réinstallation humanitaire obligeront non seulement les États membres à accueillir tous les prétendus réfugiés… Mais en outre à organiser leur transfert dans les conditions de voyage les plus confortables possibles. Bientôt des paquebots de croisière iront les embarquer chez eux ? On n’en est plus très loin.
Les États membres disposent d’un délai de deux ans pour introduire ces modifications dans leur législation nationale. En cas de mauvaise volonté, ils seront durement sanctionnés. Le seul espoir d’éviter cette catastrophe génocidaire pour tout un continent est de bien voter le 9 juin. Pour opposer ensuite notre force d’inertie à ces mesures scélérates. Pour les Français, il y a urgence. Car la situation serait irréversible. Le conseil anti-constitutionnel a toujours bloqué les projets de référendum sur l’immigration. Dans notre démocrature, neuf politicards cooptés décident à la place de 45 millions d’électeurs.
« Lever le tabou du licenciement » des fonctionnaires c’est la volonté de Stanislas Guerini ministre de la fonction publique qui se heurte bien évidemment déjà à la colère des syndicats, pourtant, le gouvernement a totalement raison.
Si la garantie de l’emploi peut parfaitement se comprendre sur certaines fonctions afin de ne pas subir de pressions malsaines, je pense notamment à la justice ou aux forces de l’ordre, il n’y a aucune raison pour bien des métiers de la fonction publique de garantir l’emploi à vie.
Plus grave, la garantie statutaire de l’emploi n’est pas un permis pour ne rien faire et pour fainéants. Non pas que tous les fonctionnaires soient des feignants, ce n’est ni mes propos ni ma pensée, mais tout le monde doit faire son travail et les tires au flanc doivent pouvoir être sanctionné, y compris par le licenciement comme cela peut se faire dans le privé.
De la même manière il n’est pas logique que les salariés se voient appliquer des jours de carence et pas les fonctionnaires.
Avec 3 100 milliards de dettes, il faut remettre de l’ordre à tous les niveaux, chez les fonctionnaires certes, mais aussi chez les politiques et autant dire que là, cela risque d’être plus compliqué.
C’est un pic, c’est un roc, que dis-je c’est une péninsule.
Haaaa, ces éléments de langage.
C’est insupportable et pour tout dire, c’est nous prendre pour des imbéciles.
Vous remarquerez l’expression « en européen ».
Il faut tout faire « en européen ».
Ils disent tous « en européen ».
C’est le pendant de « en responsabilité ».
En responsabilité et en européen, il faut faire plus la guerre en Ukraine pour avoir la paix, car en européen, l’Europe c’est la paix… et moi je suis le pape.
Je maintien qu’une autre analyse est possible et sans doute même plus juste que celle de nos apprentis sorciers des Palais.
Poutine n’ira sans doute pas plus loin que l’Ukraine, avec une guerre aux coûts humains, financiers et matériels effroyables pour la Russie. Je pense que les ardeurs du Maître du Kremlin ont été largement calmées et il sait quel sera le prix à payer pour aller plus loin. L’Europe n’est pas du tout menacée par les Russes qui n’en ont pas du tout les moyens conventionnels à moins de passer à l’arme nucléaire, mais dans ce cas, ce sera un très mauvais moment pour tout le monde.
Bref, la guerre est l’ultime recours quand tout le reste a échoué. Alors, non, on ne fait pas de guerre préventive au cas où Poutine voudrait aller plus loin. On attend qu’il le fasse et là, et seulement à ce moment-là nous serons légitimes à nous défendre puisqu’il attaquera des pays membres de l’Union Européenne ce qui n’est pas le cas de l’Ukraine rappelons-le.
En responsabilité, le professeur Trouposol à la tête d’un pays qui a 3 100 milliards d’euros de dettes et 3 jours de munitions ferait mieux d’analyser un poil mieux ses capacités réelles.
Le Pacte sur la migration voté : des peuples européens humiliés et contraints
Ce mercredi 10 avril, c’était la séance à ne pas manquer au Parlement européen, celle du vote sur le « Pacte sur la migration et l’asile ». Soit le sujet qui fâche les vingt-sept pays membres depuis près d’une vingtaine d’années.
Ses plus fervents partisans ? Le bloc centriste constitué du PPE (droite), de Renew Europe (centristes et libéraux) et S&D (socialistes et démocrates). Bref, le ventre mou des autorités européennes, mais qui a toujours été assez dur pour imposer sa loi. Seulement, cette fois-ci, la configuration est passablement différente, les députés ayant à se prononcer sur une dizaine de textes et non point sur un document unique.
Un pacte trop répressif pour l'extrême gauche
L’un des bras droits de Jean-Paul Garraud, le chef de la délégation RN au Parlement européen, nous confie : « Pour l’extrême gauche, ce pacte est trop répressif, pour les souverainistes, il est jugé trop laxiste. Des alliances contre-nature ne sont donc pas à exclure. » Ce que paraissait confirmer Fabienne Keller, députée macroniste, citée parLe Figaro : « Ce vote n’est pas acquis. [...] Et si l’un des textes tombe, la cohérence de l’ensemble tombe clairement. »
On notera que plus de 160 ONG exerçaient, au passage, un lobbying intensif contre ce dispositif législatif, Eve Geddie, directrice d’Amnesty International, allant jusqu’à affirmer : « Il est plus clair que jamais que ce Pacte sur la migration et l’asile entraînera une régression de la législation européenne relative à l’asile dans les décennies à venir, ne fera qu’accroître les souffrances et exposera encore plus de personnes au risque de subir des atteintes aux droits humains (sic) à chaque étape de leur parcours. »
Les débats ont donc été houleux. Et perturbés par des manifestants plus proches des No Borders que de l’Action française. Mais le pacte en question a finalement été adopté, ce 10 avril au soir. De justesse, semble-t-il, au grand dam de Marion Aubry, tête de liste mélenchoniste aux prochaines élections européennes : « Nausée. Le Parlement adopte le Pacte Asile & Migration. La détention des enfants, la traque & le rejet des exilés font loi, écrit-elle, sur X. Les socialistes, libéraux & la droite réalisent le cauchemar rêvé par l’extrême droite : l’Europe des barbelés plutôt que l’Europe de la solidarité. »
La volonté des peuples foulée aux pieds
Cette déclaration d’intentions mêlant soi-disant générosité et fermeté devra ensuite être adoptée par les Parlements nationaux, avant d’être éventuellement mise en œuvre à l’horizon 2026. De quoi voir venir ; même s’il y a évidemment péril en la demeure. En attendant, la Macronie promet pour demain le Grand Soir, ou presque. Valérie Hayer, face à Marion Maréchal sur CNews, le 9 avril, jurait que le Pacte asile et migrations signifiait le démantèlement des mafias de passeurs et la fin des entrées illégales ! Des promesses folles à destination des naïfs, de la part d'un parti qui ne cesse de vanter les vertus de l'immigration. Macron et le PPE de von der Leyen ont été les moteurs de ce Pacte qui interdit le renvoi des mineurs (vrais ou faux) et organise la répartition forcée des migrants sous peine d'amende rédhibitoire de 20.000 euros par tête ! Quant aux frontières solides autour de l'Union européenne, l'ancien patron de Frontex Fabrice Leggeri, désormais numéro trois de la liste RN aux européennes, a fait la preuve que la Commission n'en voulait pas. Ce Pacte scelle ainsi une submersion migratoire voulue et organisée, pied à pied, par les lobbies immigrationnistes de l'UE, rangés derrière la fameuse commissaire aux affaires intérieure Ylva Johansson. La volonté des peuples, qui refusent largement cette immigration imposée, est foulée aux pieds. Restent les élections européennes du 9 juin. Les immigrationnistes emportent une bataille, pas la guerre.
Centrale de Zaporojié attaquée: l’Occident craint de reconnaître l’implication de Kiev, dit Moscou
Sputnik News, 10 avr 2024, 09:45
Dès que l'Occident avoue que les frappes contre la centrale nucléaire de Zaporojié sont faites par Kiev, le mythe de l'Ukraine et de Zelensky, qu'il a créé, s'atomisera, selon Moscou
Il est déraisonnable de déclarer que les attaques sur la centrale "ne sont pas liées au régime de Kiev", mais les pays occidentaux ne peuvent pas "accepter l'évident", a indiqué la porte-parole de la diplomatie russe sur les ondes de radio Sputnik.
Les pays occidentaux ont créé un monstre et craignent désormais de s'avouer à eux-mêmes que les conséquences peuvent les toucher, a ajouté Mme Zakharova.
La Russie s’efforcera d’obtenir une réaction de l'AIEA à ces frappes de Kiev, poursuit-elle.
Pour l'instant, Moscou n'a pas entendu de nette évaluation de la situation de la part de cette organisation, poursuit-elle.
Les attaques de drones kamikazes contre la centrale de Zaporojié se sont intensifiées depuis dimanche. La mission de l'AIEA a enregistré des dommages à la couverture d'un réacteur. Par conséquent, la centrale est assez proche d'une panne, selon le directeur général de l'AIEA, Rafael Grossi.
Zelensky fait planer le spectre de Tchernobyl sur l’Europe
Rappelons que cette centrale nucléaire est passée sous le contrôle de Moscou dès le début de la guerre et a déjà subi maintes attaques de Kiev.
L’Occident, toujours prompt à dénoncer les menaces nucléaires de Poutine, se tait misérablement face aux frappes ukrainiennes contre la centrale nucléaire de Zaporijjia, la plus grande d’Europe avec six réacteurs pouvant alimenter une zone urbaine de 10 millions d’habitants.
Pourtant, le directeur de l’AIEA vient de déclarer que suite à la nouvelle attaque menée par Kiev le 7 avril contre la centrale avec de nombreux drones, que“nous sommes passés assez près de l’incident nucléaire”.
Vaincu sur le terrain militaire, il est clair que Kiev et ses alliés, refusant obstinément la défaite, se lancent dans une guerre de la terreur axée sur le terrorisme, pour faire plier Moscou. Mauvaise pioche. Rien ne fera plier le peuple russe qui en a vu d’autres et n’a pas oublié les épreuves terribles du passé.
Ces attaques contre la centrale de Zaporijjia sont irresponsables et menacent d’irradier de nombreux pays en cas de dommages extrêmes. Boris Karpov cite sur Telegram la zone concernée, outre la Russie et l’Ukraine.
La zone à risque de vent et de propagation de substances radioactives est la suivante :
Évidemment, comme pour la destruction de Nord Stream II, comme pour l’attentat de Crocus, Zelensky fait porter le chapeau aux Russes et les accuse de bombarder leur propre centrale et de vouloir provoquer une catastrophe nucléaire sur leurs nouveaux territoires. Qui va avaler cette fable grotesque ?
La vérité est que Zelensky est aux abois et que l’Ukraine ne gagnera jamais cette guerre, même si les élections américaines repoussent l’échéance de l’inéluctable défaite de Kiev et du camp otanien.
En attendant, les Russes progressent sur tout le front et abattent 200 à 300 drones par jour.
Dimanche, Kiev a perdu 890 soldats tués et 1100 blessés
Lundi, les pertes ukrainiennes s’élèvent à 970 tués et 1130 blessés
À ce rythme, je ne suis pas certain que la guerre dure jusqu’aux élections américaines. Mais nul n’est devin…
Le 4 avril 2024, des conseillers de l’Élysée ont informé la presse du fait, qu’à l’occasion du trentième anniversaire du génocide des tutsis au Rwanda (800 000 à un million de morts), le Président de la République allait s’exprimer dans une vidéo pour dire que« la communauté internationale avait les moyens de savoir et d’agir »et que« la France, qui aurait pu arrêter le génocide avec ses alliés occidentaux et africains, n’en a pas eu la volonté. »Mais dans la vidéo diffusée ce dimanche 7 avril à Kigali, le Président de la République n’a en aucune manière confirmé, ni démenti ces propos…
Cette communication hasardeuse, ainsi que l’absence de démenti clair, sont de nature à créer de la confusion sur la position d’Emmanuel Macron et l’action de la France à l’époque ! Alors voici quelques éléments d’éclaircissements fournit par Bernard Lugan, spécialiste incontestable, qui rappelle surtout la responsabilité des forces britanniques, canadiennes et Yankee pourtant mandatées par les Nations-Unies.
Monsieur le président Macron, en avril 1994, c’était aux 2539 soldats de l’ONU commandés par général canadien Roméo Dallaire de s’opposer au génocide…Non aux forces françaises qui avaient quitté le Rwanda depuis le mois d’octobre 1993…
La seule question qui se pose est en effet celle de la responsabilité de l’ONU. Pourquoi le général Roméo Dallaire qui avait tous les moyens de le faire, ne fit-il rien de sérieux pour empêcher le génocide ?
Devant le TPIR (Tribunal pénal international pour le Rwanda), loin du héros médiatique, « capitaine courageux » face à l’indicible génocidaire, c’est tout au contraire le portrait d’un homme désemparé qui est ressorti des longues audiences. Ses fautes de commandement, ses atermoiements, ses hésitations, son absence de décision sur le terrain ainsi que ses initiatives politiques aberrantes, et parfois même incohérentes, prises en violation de la chaîne de commandement de l’ONU, font que nous sommes désormais devant l’alternative suivante :
– Soit le général Dallaire commandant des Forces de la Mission d’assistance des Nations Unies au Rwanda fut dépassé par les évènements.
– Soit, comme l’a écrit son supérieur, M. Booh-Booh[1], il avait reçu pour ordre de faire gagner le général Kagamé et le FPR[2].
En application des accords de paix d’Arusha, l’ONU devait en effet garantir la Transition démocratique. La Résolution 872 (1993) du Conseil de Sécurité du 5 octobre 1993 porta ainsi création de la Mission des Nations Unies pour l’assistance au Rwanda (MINUAR).
Le chef de cette mission était M. Jacques Roger Booh-Booh, nommé Représentant spécial du Secrétaire général de l’ONU au Rwanda. Il avait sous ses ordres le général canadien Roméo Dallaire qui était le chef militaire de la mission. Or, ce dernier était un officier qui n’avait aucune expérience du commandement opérationnel. De plus, il ne connaissait rien de l’Afrique.
Après l’attentat du 6 avril 1994, le général Dallaire ne fit rien pour s’opposer à la reprise des hostilités par les forces du général Kagame.
Alors qu’il se devait de sécuriser au moyen de ses 2539 hommes et de ses blindés, l’axe menant du centre-ville de Kigali à l’aéroport, au lieu de montrer sa force, il la replia tout au contraire dès la nuit du 6 au 7 avril, en commençant par abandonner cet axe vital pourtant sous sa garde et que le FPR coupa…
Plus largement, dès la reprise des hostilités, le général Dallaire aurait dû imposer un couvre-feu et déclarer qu’il ferait tirer sur quiconque le violerait. Le général Kagamé aurait alors hésité à lancer son offensive. Avec la compagnie para-commando belge, il disposait d’une excellente unité qui pouvait sans problèmes majeurs remplir une telle mission. Il lui aurait également fallu, avec ses blindés, occuper en ville les points stratégiques dont la tenue aurait freiné l’extension des massacres et des débordements, ce qu’il n’a pas davantage fait.
Le 7 avril, quand le FPR eut unilatéralement rouvert les hostilités, le général Dallaire ne condamna pas cette violation gravissime des accords d’Arusha. Encore plus insolite, au lieu d’agir sur la partie qui avait déclenché la reprise de la guerre, il somma au contraire les forces gouvernementales de rester dans le cadre des Accords d’Arusha, leur interdisant de fait de simplement se défendre.
Les manquements du général Dallaire qui présida au plus grand échec militaire de l’ONU depuis sa création sont à ce point nombreux qu’il est licite de demander si une telle incompétence est concevable chez un officier général, ou si l’explication de tels errements ne se trouve pas dans l’hypothèse de M. Booh-Booh, à savoir la « connivence » avec le général Kagamé.
Ce général canadien aurait-il donc été nommé à la tête de la MINUAR afin de permettre la réalisation du plan américain visant à évincer la France du Rwanda puis du Zaïre, et pouvoir faire main basse sur les richesses du Kivu ?
Page 123 de son livre qui a pour sous-titre éloquent « Révélations sur les dérives d’un général de l’ONU au Rwanda », J.R. Booh-Booh qui était donc le supérieur hiérarchique de Roméo Dallaire écrit ainsi sans détours que :
« Dallaire n’était pas neutre : il était plutôt de connivence avec le FPR. Voilà la clé qui permet de comprendre cette situation ».
Tant que François Mitterrand eut la capacité de gouverner, ce plan anglo-saxon fut mis en échec. Mais, après les élections législatives de 1993, et la « cohabitation » qui s’en suivit, le suivisme atlantiste des dirigeants français fit que tout fut bouleversé.
Ces évènements provoquèrent même une totale redistribution des cartes en Afrique centrale au profit du Rwanda, principal allié de Washington qui reçut un blanc-seing pour mettre l’est de la RDC (l’ex-Zaïre), à savoir le Kivu, en coupe réglée.
Monsieur le président Macron étiez-vous informé de cela, avant de faire porter la responsabilité des évènements sur votre propre pays et sur son armée… ?
Une fois de plus, l’irresponsabilité des positions et de la communication d’Emmanuel Macron, sur les affaires africaines et notre présence, conduisent à dynamiter la réputation de la France. Pas étonnant que nous soyons éjectés de nos positions historiques en Afrique une à une…
Notes :
[1]Booh-Booh, P-R., (2005) Le patron de Dallaire parle. Révélations sur les dérives d’un général de l’ONU au Rwanda. Paris.
[2]Pour tous les détails concernant l’attitude et les responsabilités du général Dallaire, on se reportera au chapitre VIII de mon livre« Rwanda, un génocide en question »
Le Comité d’enquête russe a annoncé mardi l’ouverture d’une enquête pour « financement du terrorisme » visant l’Ukraine et impliquant les États-Unis et leurs alliés. Sans fournir la moindre preuve, Moscou accuse Washington d’avoir financé des attaques terroristes menées par Kiev par l’intermédiaire d’une société ukrainienne ayant employé le fils du président américain Joe Biden.
« L’enquête examine les sources et les mouvements de fonds s’élevant à plusieurs millions de dollars américains et l’implication de collaborateurs des autorités et d’organisations publiques et commerciales de pays occidentaux », a ajouté cet organisme dans un communiqué, citant le nom de la compagnie gazière Burisma qui avait vu Hunter Biden siéger à son conseil d’administration.
Les enquêteurs affirment, sans présenter les éléments du dossier, que Burisma a servi d’intermédiaire pour des fonds utilisés « ces dernières années pour mener des actes terroristes en Russie et à l’étranger pour éliminer des personnalités ». Depuis le début de l’invasion russe, l’Ukraine fait figure de principal suspect s’agissant d’assassinats ciblés.
Une investigation demandée par des députés russes
La Russie estime aussi que l’Ukraine est impliqué, aux côtés de djihadistes, dans l’attentat du 22 mars contre la salle de Concert du Crocus City Hall, en banlieue de Moscou, qui a fait 144 morts. Kiev et les Occidentaux ont rejeté cette version des faits qu’aucun élément n’est jusqu’ici venu corroborer, d’autant que le groupe État islamique a revendiqué l’attaque.
Selon le Comité d’enquête de Russie, les investigations ont été lancées après une demande de députés russes quant au « financement d’activités terroristes par de hauts fonctionnaires des États-Unis et des pays de l’OTAN ».
Hunter Biden régulièrement pointé du doigt
La collaboration d’Hunter Biden avec Burisma est un des sujets de prédilection des adversaires de la Maison Blanche, dont s’emparent même les élus Républicains. Le fils du président a toujours nié avoir fait quoi que ce soit d’illégal ou même d’immoral, tout comme son père. Et l’enquête n’a pas abouti jusqu’ici.
En février, un ex-informateur du FBI a même été arrêté dans le cadre de poursuites pour avoir fabriqué de fausses accusations de corruption contre Joe et Hunter Biden.
Alexander Smirnov, 43 ans, ancien indic américano-israélien de la police fédérale, est soupçonné d’avoir menti à son officier traitant en 2020, en relayant de fausses informations sur la famille Biden, fournies par les services de renseignement russe.
Il a notamment accusé à tort, le président américain et son fils d’avoir perçu chacun cinq millions de dollars en pots-de-vin pour permettre à Burisma d’échapper à des poursuites.
Viry-Châtillon : l’héritage des « Peace and Love » ? La violence et la haine
Violences à l’hôpital, violences en banlieue, violences à la sortie de l’école, violences dans l’école, violences contre les profs, violences entre élèves, violences anti-flics, violences contre les touristes, les vieilles dames, les enfants… La litanie française, tragique, se poursuit. Shemseddine, 15 ans, sera inhumé ce mardi 9 avril à Viry-Châtillon, selon le maire de la ville. Le jeune garçon est mort vendredi, en fin d’après-midi, des suites de ses blessures après les coups de ses congénères pour des échanges qu'il aurait tenus avec la sœur de deux de ses agresseurs. Une marche blanche (encore !) aura lieu, d’ici la fin de la semaine.
Selon le parquet d’Ivry, quatre jeunes hommes ont été mis en examen pour assassinat, dans la nuit de ce dimanche 7 au lundi 8 avril. Quatre jours auparavant, une collégienne de Montpellier était, elle aussi, passée à tabac.Shannon, violée et poignardée, est décédée à Amiens le 27 avril. On apprend, aujourd’hui, qu’un brancardier de Challans (85) est placé en soins intensifsaprès une violente agression. Il y a eu le drame de Thomas à Crépol, celui de Shaïna à Creil, chantage, viol en réunion, harcèlement puis assassinat d'une adolescente brûlée vive à 15 ans. Combien d’autres, moins médiatiques ?
Des Français conscients
La France Orange mécaniqued’Obertone accélère la cadence. Tous ces faits divers ne font pas une vérité, diront les macronistes et la gauche rompus à l’aveuglement volontaire. Pour eux, les faits divers mentent :CNewset les médias de droite,BVcompris, entretiennent une illusion d’insécurité. Les statistiques d’homicides ne montrent pas d’inflation notable. Et si les chiffres de l’insécurité sont en hausse spectaculaire, c’est simplement parce que les femmes sont incitées à porter plainte contre les attaques sexistes des Français. Circulez, il ne se passe rien.
Les Français, eux, sont conscients.Selon une enquête réalisée par Elabe pour BFM TV et publiée fin novembre 2023, 91 % des Français interrogés sont inquiets de l'escalade potentielle de violences et d’affrontements entre groupes sociaux à l'avenir. Parmi eux, 45 % sont« très inquiets »et 46 %« plutôt inquiets ». Seuls 9 % ne sont« pas inquiets ». Pour eux, le drame de Crépol« n’est ni un fait divers ni une simple rixe »(78 %) : il représente « la faillite générale »(75 %) et « l’ensauvagement »(67 %) de notre société qui...« risque de basculer ».
Les zozos « Peace and Love »
Derrière Shemseddine, derrière ce Roméo et Juliette contemporain version sordide, pas de querelles de familles mais des querelles de civilisation, deux mondes dos à dos sur le même territoire. D’un côté, une civilisation libertaire où toute culture, toute religion et toute morale, toute civilisation ont été moquées, piétinées, ignorées et réduites à néant. Ne pas enseigner, ne pas donner d'ordres, ne pas punir, ne pas imposer le respect, etc. De l’autre côté, une civilisation millénaire, celle de l’islam, jeune, religieuse, dynamique sur le plan démographique : elle entend imposer par le nombre et dans le temps sa culture et ses pratiques. Entre les deux, les espaces croissants de l'ensauvagement.
Le bilan des zozos « Peace and love », qui voulaient faire l’amour mais pas la guerre tout autour d’un monde sans frontières en fumant du hashish, s’impose : ils laissent en héritage non pas l’amour et la paix mais la haine et la guerre, une guerre civile larvée, prête à surgir partout et à tout instant, un monde de rapines, de violences, de gangs et d'influences diverses comme partout où le pouvoir légitime s'affaiblit. La génération gauchiste des années 1970 et suivantes présente chaque jour la facture de ses réjouissances et de ses destructions à ses descendants. Une facture en lettres de sang, promise à une belle inflation, jusqu'au réveil.