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1 mars 2016 2 01 /03 /mars /2016 00:19
L'ARMEE AUTORISEE A TIRER POUR DEFENDRE LES FRONTIERES! BRAVO, VIKTOR ORBAN !

~~Si les Européens défendaient leurs frontières en Mer Egée et en Méditerranée, , il n’y aurait plus de réfugiés!

L’Australie a montré l’exemple! Depuis il n’y a plus de morts en Australie car plus de migrants!

Avec Napoléon, la crise migratoire, cela lui aurait pris 10 minutes pour règler définitivement le problème!

Avec les cons de droit de l’hommistes, de socialistes qui nous dirigent, cela prend des années pour ne rien faire!

Emploi de la force armée face à une invasion migratoire ! Normal!

La marine de guerre européenne face aux côtes de Libye , de Turquie et vite!

On ne peut pas avoir le beurre et l’argent du beurre!

Une piqure de réalisme, de “Real Politik” ferait le plus grand bien à 80% des élites UMPS inconscientes, décadentes, style Merkel et Hollande qui nous dirigent!

http://www.huffingtonpost.fr/2015/09/21/hongrie-armee-autorisee-tirer-migrants-provocation-viktor-orban_n_8171658.html Hongrie: l'armée autorisée à tirer sur les migrants, nouvelle provocation signée Vicktor Orban Le HuffPost avec AFP Publication: 21/09/2015 18h58 CEST Mis à jour: 22/09/2015 09h59 CEST MILITAIRE HONGRIE

La Hongrie a autorisé son armée à tirer sur les migrants "si nécessaire".

| AFPPartager Tweeter E-mail Commenter 23 INTERNATIONAL - Le premier ministre hongrois Viktor Orban repousse chaque jour un peu plus les limites de sa politique migratoire. Après avoir entrepris la construction d'un mur aux frontières de son pays, il a autorisé "si nécessaire" l'armée à tirer à balles réelles sur les migrants. Présentée par l'administration du populiste Orban, la nouvelle loi, qui nécessitait une majorité des deux tiers, a été adoptée par 151 voix contre 12 et 27 abstentions. Le texte entérine la possibilité de déployer massivement des militaires aux frontières et autorise dans certaines conditions l'armée et la police à ouvrir le feu contre des migrants, à condition que les tirs ne soient pas "mortels". L'armée est également autorisée à procéder à des contrôles d'identité, et à procéder à la garde-à-vue de migrants. Le dispositif, qui complète une législation anti-migrants entrée en vigueur le 15 septembre, permet en outre à la police de perquisitionner tout domicile privé où des migrants sont soupçonnés de se trouver. Ces dispositions s'appliquent dans les zones où a été déclaré l'"état de crise due à une immigration massive", une mesure ad hoc mise en oeuvre dans six départements limitrophes de la Serbie, la Croatie, la Slovénie et l'Autriche. "Nos frontières sont en danger"

Dans un discours prononcé devant le parlement avant l'adoption de la loi, Viktor Orban, un partisan de la ligne dure, a estimé que l'Europe était "submergée" par les migrants, un "danger", selon lui, pour le continent et son "mode de vie". "Nos frontières sont en danger (...) La Hongrie et toute l'Europe sont en danger", a-t-il souligné, à deux jours d'un sommet européen destiné à trouver une solution commune à la crise migratoire. "On ne peut pas laisser entrer ceux qui nous submergent", a-t-il ajouté. La Hongrie a vu transiter 225.000 migrants depuis le début de l'année, qui dans leur très grande majorité ont poursuivi leur route vers l'ouest de l'Europe. Budapest a fait ériger une clôture barbelée sur les 175 km de sa frontière avec la Serbie, et a entrepris de faire de même sur des segments de ses frontières avec la Roumanie et la Croatie. Cette décision avait provoqué un tollé dans les différentes chancelleries européennes.

A deux jours d'un Conseil européen consacré à la question migratoire, le dirigeant hongrois est une nouvelle fois la cible des responsables sociaux-démocrates. Cambadélis veut son exclusion de la droite européenne Ainsi, en France, le patron du PS Jean-Christophe Cambadélis a exhorté la droite européenne réunie au sein du PPE à exclure la formation de Viktor Orban de ses rangs. INTERNATIONAL - Le premier ministre hongrois Viktor Orban repousse chaque jour un peu plus les limites de sa politique migratoire. Après avoir entrepris la construction d'un mur aux frontières de son pays, il a autorisé "si nécessaire" l'armée à tirer à balles réelles sur les migrants. Présentée par l'administration du populiste Orban, la nouvelle loi, qui nécessitait une majorité des deux tiers, a été adoptée par 151 voix contre 12 et 27 abstentions.

Le texte entérine la possibilité de déployer massivement des militaires aux frontières et autorise dans certaines conditions l'armée et la police à ouvrir le feu contre des migrants, à condition que les tirs ne soient pas "mortels". L'armée est également autorisée à procéder à des contrôles d'identité, et à procéder à la garde-à-vue de migrants. Le dispositif, qui complète une législation anti-migrants entrée en vigueur le 15 septembre, permet en outre à la police de perquisitionner tout domicile privé où des migrants sont soupçonnés de se trouver. Ces dispositions s'appliquent dans les zones où a été déclaré l'"état de crise due à une immigration massive", une mesure ad hoc mise en oeuvre dans six départements limitrophes de la Serbie, la Croatie, la Slovénie et l'Autriche. "Nos frontières sont en danger" Dans un discours prononcé devant le parlement avant l'adoption de la loi, Viktor Orban, un partisan de la ligne dure, a estimé que l'Europe était "submergée" par les migrants, un "danger", selon lui, pour le continent et son "mode de vie". "Nos frontières sont en danger (...)

La Hongrie et toute l'Europe sont en danger", a-t-il souligné, à deux jours d'un sommet européen destiné à trouver une solution commune à la crise migratoire. "On ne peut pas laisser entrer ceux qui nous submergent", a-t-il ajouté. La Hongrie a vu transiter 225.000 migrants depuis le début de l'année, qui dans leur très grande majorité ont poursuivi leur route vers l'ouest de l'Europe. Budapest a fait ériger une clôture barbelée sur les 175 km de sa frontière avec la Serbie, et a entrepris de faire de même sur des segments de ses frontières avec la Roumanie et la Croatie. Cette décision avait provoqué un tollé dans les différentes chancelleries européennes.

A deux jours d'un Conseil européen consacré à la question migratoire, le dirigeant hongrois est une nouvelle fois la cible des responsables sociaux-démocrates. Cambadélis veut son exclusion de la droite européenne

Ainsi, en France, le patron du PS Jean-Christophe Cambadélis a exhorté la droite européenne réunie au sein du PPE à exclure la formation de Viktor Orban de ses rangs

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