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2 octobre 2019 3 02 /10 /octobre /2019 07:10

https://www.youtube.com/watch?v=_ciTpHQwpAg&feature=youtu.be&utm_source=sendinblue&utm_campaign=Morandini&utm_medium=email

 

cliquez sur le lien  ci-dessus pour écouter la video de Frigide Barjot! 

Voir la version en ligne

 

 

 

 

JE FAIS UN DON

 

 

 

Mardi 1er octobre 2019

 

 

 

 

JE FAIS UN DON

 

 

« Science sans conscience n'est que ruine de l'âme.

Moi je voudrais conscientiser sur ce qui va arriver :

un marché eugénique.

Donc un peu de conscience pour fortifier notre âme et rester tous nés d'un homme et d'une femme. »

Virginie Tellenne - Frigide Barjot le 25 septembre sur CNEWS

 

 

 

JE FAIS UN DON

 

 

DÉCOUVREZ LES PROPOSITIONS CONCRÈTES
DE VIRGINIE TELLENNE

EN CLIQUANT CI-DESSOUS

 

 

 

 

FACE À LA PMA POUR TOUTES

SANS PÈRE BIOLOGIQUE

NOUS N'AVONS QUE NOS CONSCIENCES :

SOUTENEZ NOMBREUX

NOTRE PROPOSITION ALTRUISTE
de PMA POUR TOUTES

AVEC PÈRE BIOLOGIQUE

 

 

 

Chers amis,

 

Le 25 septembre dernier, jour de son anniversaire et lendemain de l'ouverture des débats sur la loi de bioéthique à l'Assemblée nationale, Virginie Tellenne-Frigide Barjot était l'invitée de Jean-Marc Morandini sur CNews.

 

Elle a pu développer sa proposition altruiste de coparentalité qui consiste en une PMA pour toutes, mais avec le père géniteur connu avant la fécondation.

Cette Procréation Médicalement Assistée pour toutes devient dès lors une Procréation Naturellement Assistée pour tous.

 

L'objectif recherché est à la fois simple et fondamental pour œuvrer en conscience contre le marché eugénique de la reproduction artificielle. Là où la loi dite de bioéthique, avec l'extension de la PMA sans père biologique, propose d'étendre une procréation artificielle à toutes les femmesL'AVenir pour Tous propose d'étendre en même temps la procréation biologique à tous.

 

Ainsi, en conscience, nous aurons le choix de rester tous nés d'un homme et d'une femme dans la diversité des familles françaises.
 

En conscience, afin de nous aider à informer les Français de cette seule solution qui respecte à la fois les droits de l'enfant et les droits de ses parents, nous vous remercions de soutenir notre proposition pour que nous puissions sérieusement alerter les Français depuis le podium du 6 octobre prochain.

 

 

JE SOUTIENS L'ACTION DE L'AVENIR POUR TOUS

 

 

 

Soutenir par voie postale. Pour effectuer votre soutien par chèque, téléchargez le formulaire de soutien en cliquant sur le bouton ci-dessous.​ Vous pouvez également envoyer votre chèque à L'AVenir pour Tous - 9, rue du Dr Finlay - 75015 Paris, accompagné de vos NOM, Prénom, Courrier électronique et Numéro de téléphone sur papier libre.

 

 

JE TÉLÉCHARGE LE BULLETIN DE SOUTIEN

 

 

 

POUR TOUTE QUESTION

 

 

Virginie Tellenne-Frigide Barjot, déléguée générale

06 09 62 00 31

virginie.tellenne@avenirpourtous.fr


Xavier Bongibault, délégué général adjoint de L'Avenir pour Tous
06 69 51 82 55
xavier.bongibault@avenirpourtous.fr

 

 

 

 

Cet email a été envoyé à ma.rousset@wanadoo.fr.

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2 octobre 2019 3 02 /10 /octobre /2019 07:02
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1 octobre 2019 2 01 /10 /octobre /2019 23:00
 
 Madame, Monsieur,
 
Lundi 7 octobre, les députés vont débattre sur l’immigration.
 
En lançant ce débat, Macron fait mine de s’occuper de la question.
Vous pouvez vous engouffrer dans cette brèche pour lui montrer votre façon de penser :
 
Invitez-vous à l’Assemblée nationale avec votre nouvelle Arme de Mobilisation Massive !
 
Cette fenêtre de tir exceptionnelle ne dure que quelques jours.
Profitez-en dès maintenant ! Cliquez ici :
https://damocles.co/ecrire-email-mon-depute/immigration-france-stop/
 
Vous le savez :
  • 75 % des Français estiment qu’il y a trop d’immigrés dans leur pays [1]. 
  • 72 % pensent que l’immigration « est un processus inquiétant qui menace à terme notre mode de vie » [2].
  • 76 % souhaitent un référendum sur l’immigration [3].
  • Et seulement 11% des Français trouvent que l’immigration a un impact « positif » [4].
Que leur faut-il de plus, à Macron et aux députés, pour deviner ce que veulent les Français ? Il leur faut un dessin ?
Il suffit de regarder les faits pour comprendre le ras-le-bol des Français :
  • Deux tiers des crimes et délits en France sont dus à des délinquants et criminels issus de l’immigration [5]
  • + 50 % d’immigrés illégaux en 6 ans profitent de l’Aide Médicale d’Etat (AME) : de 200 000 en 2011 à 300 000 en 2017… et ce ne sont que les chiffres officiels ! [6]
  • Il y a 3,8 fois plus de bénéficiaires du RMI chez les immigrés extra-européens et ils sont 2,2 fois plus dépendants des aides au logement. [7]
 
Macron veut du débat ?
Il va être servi.
 
Grâce à la détermination des Damoclésiens, en 5 jours bien remplis, nous avons codé la première version de l’Arme de Mobilisation Massive.
Il y avait urgence !
 
Pour vous, le principe est très simple : il suffit d’envoyer un email aux députés de votre département.
 
Vous cliquez sur ce lien : https://damocles.co/ecrire-email-mon-depute/immigration-france-stop/
 
  • Vous entrez votre code postal,
  • en un seul clic, vous copiez le texte proposé dans l’email (que vous pouvez ensuite modifier à votre guise) et vous le collez dans un email vierge.
  • Vous copiez de la même façon l’objet et les adresses emails des députés.
Tout est expliqué pas à pas.
 
Une fois que vous aurez envoyé votre email, vous pourrez confirmer votre action en cliquant sur le gros bouton de la même page “C’EST FAIT”, pour que le compteur se mette à jour.
 
Nous avons fait en sorte que pour vous ce soient des opérations faciles.
 
Voici les 5 mesures à prendre d’urgence sur l’immigration que vous allez pouvoir exiger à votre député :
  • La suppression du regroupement familial.
  • L’expulsion de tous les délinquants étrangers.
  • La déchéance de nationalité pour les djihadistes et pour de nombreux délinquants.
  • La suppression du droit du sol.
  • La préférence nationale pour les allocations sociales.
La puissance de cette Arme de Mobilisation Massive consiste dans la coordination des dizaines de milliers de Damoclésiens, qui écrivent à leur député en même temps.
 
Aussi, je vous invite également à transmettre cet email à vos proches, pour qu’ils écrivent eux aussi à leur député.
 
Vous n’avez plus que quelques jours pour agir et vous inviter dans le débat.
 
Alors cliquez sur le bouton et dites aux députés et au gouvernement Macron votre façon de penser !
 
Pour la France !
 
Samuel Lafont et l’équipe Damoclès

---
sources :
[1] CNCDH, 2014
[2] Ifop, 2017
[3] Ifop, 2018
[4] Ipsos, 2016
[5] Laurent Obertone, La France Orange Mécanique
[6] L’Express, 18/09/2019
[7] Insee, 2006
 
Damoclès — Premier Média de mobilisation
 
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1 octobre 2019 2 01 /10 /octobre /2019 14:40

Propos de Zemmour sur l'immigration et l'islam: le parquet de Paris annonce l'ouverture d'une enquête

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Le polémiste Eric Zemmour à la "Convention de la droite" à Paris, le 28 septembre 2019

©Sameer Al-Doumy, AFP

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Zemmour: une charge contre l'islam et l'immigration qui ne passe pas

AFP, publié le mardi 01 octobre 2019 à 13h16

Le parquet de Paris a annoncé mardi l'ouverture d'une enquête pour "injures publiques" et "provocation publique à la discrimination, la haine ou la violence", après des propos du polémiste Eric Zemmour ayant visé l'immigration et l'islam.

Les investigations ont été confiées à la Brigade de répression de la délinquance contre la personne (BRDP). Dans ce discours, prononcé lors de la "Convention de la droite", Eric Zemmour s'en était pris samedi, entre autres, aux immigrés "colonisateurs" et à "l'islamisation de la rue".

L'enquête a été ouverte pour "injures publiques en raison de l'origine ou de l'appartenance ou de la non appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée" et "provocation publique à la discrimination, la haine ou la violence, à l'égard d'une personne ou d'un groupe de personnes à raison de leur origine ou de leur appartenance ou non appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée".

Le polémiste a prononcé ce discours, diffusé en direct par la chaîne d'informations LCI, au cours de la "Convention de la droite" organisée à Paris par l'ancienne députée d'extrême droite Marion Maréchal et ses proches.

Celui qui a été condamné récemment pour provocation à la haine religieuse a également cité l'écrivain Renaud Camus, théoricien du "grand remplacement" de la population blanche et chrétienne par une population immigrée musulmane, et ironisé sur les tenues de la porte-parole du gouvernement Sibeth Ndiaye, "sommet de la distinction française".

Interrogé par l'AFP, le Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA) avait indiqué avoir reçu "près de 400" saisines liées à cette diffusion.

Ces déclarations ont suscité un tollé, jusqu'au sein du gouvernement, le Premier ministre en personne, Édouard Philippe, condamnant des discours "nauséabonds et profondément contraires à l'idée que nous nous faisons de la France et de la République".

LCI a reconnu de son côté une "erreur d'appréciation". "La diffusion du discours dans l'état n'était pas le format approprié pour notre chaîne", a indiqué dimanche la direction de la chaîne du groupe TF1 dans un communiqué. "Il y a bien eu contradiction et déconstruction des propos d'Éric Zemmour, mais c'était après-coup".

 

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1 octobre 2019 2 01 /10 /octobre /2019 14:34
 
 
Un ennemi nous a quitté : Jacquot la Fripouille
Accueil » Actualité » Actualité française » Un ennemi nous a quitté : Jacquot la Fripouille
 

UN ENNEMI NOUS A QUITTÉ : JACQUOT LA FRIPOUILLE

 
 

Le seul Président de la République Française à avoir été condamné le 15 décembre 2011 à deux ans de prison avec sursis pour abus de confiance, prise illégale d’intérêts et détournement de fonds publics. Il n’interjettera pas appel de cette sentence.

Cette condamnation concerne une double affaire d’emplois fictifs qui remonte aux années 1990 et pour laquelle les avocats de J.Chirac ont tout tenté pour obtenir une prescription.

Mais la Justice rend son verdict après un réquisitoire très argumenté dans lequel « Chichi » apparait comme le concepteur, l’auteur et le bénéficiaire du dispositif délictueux dans lequel de nombreux militants du RPR servaient une cause partisane, tout en étant payé par les deniers de la Mairie de Paris, où ils n’avaient jamais mis les pieds.

Adepte des enveloppes de billets issus de l’argent noir, et grand ordonnateur de la prévarication et des trafics d’influence, nous ne le regretterons pas.

Comme Premier Ministre du Président Valéry Giscard d’Estaing, ce fut aussi Jacques Chirac qui signa le 29 avril 1976, avec le ministre du Travail Michel Durafour, le décret autorisant le regroupement familial (auquel ne peuvent pas prétendre les familles algériennes). 43 ans plus tard, on peut en constater les conséquences partout dans l’Hexagone et au quotidien.

Notre devoir de mémoire nous rappelle également que Jacquot la Fripouille, radical socialiste affirmé, fut un ennemi acharné de la cause nationaliste et durant de très nombreuses années l’inventeur du « cordon sanitaire ». Cette fameuse invention qui interdisait à tout bon « démocrate » d’argumenter ou de s’allier avec les représentants, cadres ou élus du Front National. En quelque sorte, une fatwa qui excluait les nationalistes de la vie politique.

Doté d’un bagout exceptionnel et d’un sens inné de la formule (« abracadabrantesque », « pschitt » ou « le bruit et les odeurs ») Chirac fut aussi surnommé « Super Menteur » par les guignols de l’info à cause d’innombrables promesses électorales qui « n’engagent que ceux qui y croient » selon le ministre Charles Pasqua.

Non, décidément, nous ne le pleurerons pas, ni maintenant, ni demain.

Pieter KERSTENS

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1 octobre 2019 2 01 /10 /octobre /2019 08:26

 Monsieur Ferrand est un honnête homme

Par William Clamecy

Tout le prouve, qui pourrait en douter ?

Monsieur Ferrand a fait louer par l’entreprise qu’il dirigeait des locaux achetés à crédit par sa compagne, permettant ainsi à celle-ci de devenir propriétaire sans débourser un centime. Certains pourraient trouver cela plus que douteux. Mais M. Ferrand nous dit que tout est normal dans cette affaire, et M. Ferrand est un honnête homme.

On apprend que M. Ferrand avait oublié d’informer plusieurs administrateurs de ses liens particuliers avec la propriétaire des locaux en question. On pourrait trouver cela étrange. Mais M. Ferrand nous dit qu’il n’y a pas lieu de se formaliser de cela, et M. Ferrand est un honnête homme.

Ferrand a fait financer par l’entreprise qu’il dirigeait plus de 100 000 euros de travaux dans les locaux acquis par sa compagne. Des esprits chagrins pourront s’étonner de ce que ce soit le locataire qui paie ce type de travaux. Mais M. Ferrand affirme qu’il n’y a rien là d’anormal et, nous le savons, M. Ferrand est un honnête homme.

« Je suis un homme honnête »

Ferrand a affirmé devant la presse qu’il n’était ni marié ni pacsé avec sa compagne. Médiapart a démontré qu’au moment de cette déclaration, il était en fait pacsé avec elle depuis trois ans. D’aucuns appelleraient cela un mensonge éhonté. Mais M. Ferrand nous dit que non, et nous ne doutons pas de ce que M. Ferrand est un honnête homme.

Ferrand, alors qu’il était député, percevait en même temps de l’argent de la part des Mutuelles de Bretagne et participait épisodiquement à une commission parlementaire dans laquelle il défendait les intérêts de ces mutuelles. On pourrait voir là un conflit d’intérêts, sinon plus. Mais M. Ferrand nous jure qu’il n’y avait rien de répréhensible dans cette situation, et M. Ferrand n’est-il pas un honnête homme ?

Hier, président de l’Assemblée nationale, M. Ferrand déclare voté un amendement qui l’arrange sans trop compter les votes, et devant les doutes exprimés refuse de recourir à un mode de scrutin qui lèverait toute ambiguïté. Certains pourraient voir là un abus de pouvoir et une manœuvre frauduleuse. Mais M. Ferrand nous affirme que non, et comment pourrions-nous douter de ce que M. Ferrand soit un honnête homme ?

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1 octobre 2019 2 01 /10 /octobre /2019 08:17
 
Frederic Legrand - COMEO / Shutterstock
 
 

Interrogé par nos confrères du Figaro, Fabrice Luchini, qui vit dans le 18ème arrondissement, explique :

C’est d’une saleté sublime, comme une ville du Moyen-Orient. Roland Barthes écrivait : “Je n’aime une ville que quand elle est habitable.”

Mme Hidalgo a réussi à faire de Paris une ville qui n’est absolument plus habitable pour n’être plus que visitable. Mais elle va être réélue car elle plaît aux bobos.

Cette femme a réussi à éteindre 1.5 million d’automobilistes, réduits en agneaux qui n’avancent plus. L’agressivité est passée au scooter, ce nouveau monstre polluant et sonore qui sème le chaos. Sans compter la trottinette et le vélo, le summum du danger

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30 septembre 2019 1 30 /09 /septembre /2019 14:29

Discours de Zemmour sur LCI : des centaines de saisines du CSA

Discours de Zemmour sur LCI : des centaines de saisines du CSA
Éric Zemmour prononçant son discours devant la "Convention de la droite" le 28 septembre 2019 à Paris

AFP, publié le lundi 30 septembre 2019 à 14h29

Plusieurs centaines de téléspectateurs ont saisi le CSA après la diffusion samedi sur LCI du discours particulièrement violent prononcé par Éric Zemmour lors de la "Convention de la droite", dans laquelle il s'en est pris, entre autres, aux immigrés "colonisateurs" et à "l'islamisation de la rue", a-t-on appris lundi auprès du régulateur.

"Tous nos problèmes aggravés par l'immigration sont aggravés par l'islam", avait notamment affirmé samedi le polémiste Éric Zemmour, lors de cette réunion organisée à Paris par les proches de l'ancienne députée d'extrême droite, Marion Maréchal. Un discours qui était intégralement retransmis sur LCI, la chaîne d'info du groupe TF1.

Celui qui a été condamné récemment pour provocation à la haine religieuse a également cité l'écrivain Renaud Camus, théoricien du "grand remplacement" de la population blanche et chrétienne par une population immigrée musulmane et ironisé sur les tenues de la porte-parole du gouvernement Sibeth Ndiaye, "sommet de la distinction française".

Interrogé par l'AFP, le Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA) a indiqué avoir reçu "près de 400" saisines liées à cette diffusion.

Ces déclarations ont suscité un tollé, jusqu'au sein du gouvernement, le Premier ministre en personne, Édouard Philippe, condamnant des discours "nauséabonds et profondément contraires à l'idée que nous nous faisons de la France et de la République".

 

 

L'ancien président François Hollande a quant à lui déploré lundi une trop grande "porosité" des médias à l'égard de l'extrême-droite et des thèses relayées par le polémiste.

"Éric Zemmour travaille dans des organes de presse et pas n'importe lesquels. Si l'on pense qu'il tient des propos qui dépassent toutes les limites et qui franchissent toutes les digues, il y a bien un moment où il faut prendre des responsabilités", a-t-il estimé sur France Inter.

LCI, qui avait diffusé le discours en direct, avait reconnu de son côté une "erreur d'appréciation". "La diffusion du discours dans l'état n'était pas le format approprié pour notre chaîne", a indiqué dimanche la direction de la chaîne du groupe TF1 dans un communiqué. "Il y a bien eu contradiction et déconstruction des propos d'Éric Zemmour, mais c'était après-coup".

La Société des journalistes de LCI a elle-même condamné cette démarche. "La SDJ se désolidarise de la décision de notre direction de diffuser en direct et en intégralité un discours d'Éric Zemmour, définitivement condamné pour provocation à la haine raciale le 17 septembre", avait-elle protesté sur Twitter.

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30 septembre 2019 1 30 /09 /septembre /2019 14:26

’IVG : une priorité dont il faut garantir l’accessibilité !

 

Encore une triste affirmation… Depuis quatre ans, maintenant, nous sommes contraints, tous les 28 septembre, date proclamée de LA journée mondiale pour le droit à l’avortement, d’assister au pitoyable spectacle de célébrations et d’annonces gouvernementales, toujours plus tonitruantes et permissives, de mesures de facilitation d’accès à l’IVG. L’édition 2019 s’inscrit dans cette tradition mortifère.

En 2015, pour inaugurer la Journée mondiale pour le droit à l’avortement, souvenons-nous que Marisol Touraine avait annoncé la création d’un Numéro Vert d’appel pour informer (désinformer !) les femmes sur l’IVG. Le ministre s’était alors fait tatouer symboliquement le bras, arborant ce slogan des années 60 : « IVG, mon corps, mon choix, mon droit ! » Depuis, chaque année, nos ministres se sentent obligés de surenchérir, ajoutant mesure sur mesure, pour améliorer l’« offre » !

Ainsi, c’est sans surprise que, cette année encore (tradition oblige), notre ministre de la Santé, Mme Agnès Buzyn, s’est emparée de cette journée pour franchir un pas de plus vers le « toujours plus » d’avortements… Vendredi soir, en effet, elle a annoncé une série de mesures pour faciliter l’accès des femmes à l’interruption volontaire de grossesse, quelle que soit leur région.

Parmi ces nouvelles mesures :
– La possibilité de réaliser des IVG instrumentales dans des centres de santé. L’inscription prioritaire de l’IVG dans la formation continue des médecins et des sages-femmes.
– La mise en place d’un annuaire de l’offre d’IVG dans chaque région.

A contrario, on remarquera qu’aucune aide n’est apportée aux femmes enceintes en détresse qui souhaiterait éventuellement garder leur enfant mais qui vivent une situation matérielle ou morale difficile.

En favorisant ainsi toujours plus l’accès à l’avortement, Agnès Buzyn ne semble visiblement pas se satisfaire des 40 millions d’avortements annuels recensés par l’Organisation mondiale de la santé ni du nombre croissant et alarmiste d’interventions pratiquées en France, révélé par la dernière étude de l’INSEE. Elle préfère souligner, dans son communiqué, qu’elle restera « toujours attentive à l’accès à l’IVG », qu’elle qualifie de « droit fondamental », avant de poursuivre : « Les femmes doivent pouvoir être accueillies et suivies dans les conditions de sérénité et de sécurité dont elles ont besoin. »

Aucun mot de notre ministre ne laisse penser qu’elle envisage cet acte comme un drame, loin de là. Aucun objectif de réduction du nombre d’IVG n’est affiché… Ne rêvons pas. Encore un refus caractérisé de prendre en compte la réalité de l’avortement et son cortège de conséquences tragiques. Le triste constat demeure : aucune politique de prévention n’est mise en place pour limiter le nombre d’avortements et faire face à la triste réalité, l’expansion inexorable d’un véritable problème de santé publique.

Il y a pourtant une autre option politique, mais qui n’intéresse personne.

À travers l’antenne d’écoute de Choisir la vie « SOS Femmes enceintes », nous constatons quotidiennement que les femmes qui hésitent à garder leur enfant n’ont nullement besoin qu’on leur propose la solution de l’IVG. Elles ont besoin d’écoute, d’attention, d’affection, de conseils, d’aide. Elles ont besoin que nous comprenions leur détresse. Nombreuses sont celles qui ne veulent pas avorter mais se rendent finalement à l’hôpital ou chez le médecin comme un animal irait à l’abattoir. Certaines nous avouent même qu’elles n’ont pas le choix, en raison de la pression exercée par leur compagnon ou leur famille. Elles espèrent, au fond d’elle, trouver des personnes qui les aident à choisir la vie. Mais seule leur est offerte la « liberté » de choisir la mort. À qui veut-on faire croire que la loi sur l’avortement a rendu la femme plus libre ?

Notre gouvernement serait plus inspiré de s’attaquer prioritairement aux vraies causes de l’avortement (soucis matériels, pression du conjoint, problèmes d’éducation affective et sexuelle) plutôt que de précipiter toujours plus les femmes vers ce drame… Il faut éviter l’avortement à tout prix en prenant en considération les drames personnels qui en découlent et en aidant les femmes à faire le choix de la vie. Leurs droits, compatibles avec ceux de l’enfant à naître, peuvent être défendus et garantis (aide matérielle et psychologique, accompagnement dans la durée, accouchement sous X…). C’est le seul chemin politique valable pour une société humaine digne de ce nom. Mais veut-on seulement s’en donner la peine ?

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30 septembre 2019 1 30 /09 /septembre /2019 07:07

Afrique du Sud: " Les étrangers dehors !", "trop, c'est trop !", la fièvre xénophobe sème le chaos à Johannesburg

 

(photo : un policier, seul pour protéger un magasin d' "étrangers" des émeutiers...)

France info a parlé - le mercredi matin 4 septembre, au matin - de ce sujet, traité deux jours avant par RFI.

On attend avec intérêt (avec gourmandise ?) la réaction de SOS Racisme, de la Ligue des Droits de l'Homme, de Marlène Schiappa, de Bernard-Henry Lévy...

Car, à Johannesburg, on n'y va pas de main morte : c'est, carrément, "TROP, C'EST TROP ", "LES ETRANGERS DEHORS !" et les "migrants sont attaqués, pourchassés, volés, tués pour certains (deux cents morts depuis un an)...

De qui occasionner un étouffement collectif à BFM/TV et dans toutes les radios du même style : pourtant, bizarrement, étrangement : rien ! Vous en aviez entendu parler, vous ? Franchement ?

En Afrique du Sud, des noirs attaquent, pillent et tuent des étrangers, des migrants, et personne ne dit rien ? Mais où sont donc passé les pseudo humanitaires ? Où est l'intelligentsia bobote du politiquement correct immigrationniste ? Où est BHL ?...

Et surtout : où est Lilian Thuram ? Pardon, saint Thuram, vous savez, celui qui parle de "les blancs"/"les noirs" et qui explique que "les blancs" sont racistes : là, on a "des noirs" qui tuent "des noirs" (trois à peine pour le moment immédiat, mais deux cents tout de même l'an passé...). Comme le dirait Fernand Reynaud, dans un sketch resté célèbre "Allo, Tonton (Thuram) ? Pourquoi tu tousses ?..."

Avis de recherche : comme on disait autrefois, si vous apprenez quelque chose, appelez le journal, qui transmettra...

Voici le scripte de l'émission de RFI.

Edifiant (si l'on peut dire !)...

En Afrique du Sud, ces dernières heures ont été marquées par la violence contre les ressortissants étrangers (africains). Depuis dimanche 1er septembre, des centaines de magasins ont été vandalisés et on compte trois morts, selon les autorités, à Johannesburg. Ce lundi, la journée de mobilisation de certains Sud-Africains, qui veulent se débarrasser des étrangers, continue. Ce mouvement de contestation a été lancé par les chauffeurs routiers, qui arrêtent depuis plusieurs semaines les conducteurs étrangers et brûlent leurs cargaisons. Le mouvement s'était amplifié la semaine dernière dans le centre de la capitale Pretoria, avec le pillage de nombreux magasins tenus par des migrants.

C’est un mouvement national lancé par plusieurs corporations. Deux en particulier : les chauffeurs de poids lourds ainsi que les associations de taxis. Comme la semaine dernière à Pretoria, ce sont les chauffeurs de taxis de la ville de Johannesburg qui sont allés brûler des dizaines de magasins appartenant à des étrangers.

Ces violences ne sont pas récentes. Depuis un an, les conducteurs étrangers, Zimbabwéens, Congolais ou Zambiens sont persécutés sur les routes car accusés de voler le travail des locaux. Deux cents sont morts dans ces violences depuis un an.

Aujourd’hui, c’est donc l’heure d’en découdre, selon les conducteurs sud-africains, qui ont installé des barrages informels sur de nombreuses routes du pays. Mais en réalité, le gros des violences se concentre jusque-là dans au moins sept quartiers de Johannesburg depuis dimanche soir, où de simples citoyens viennent détruire, piller et brûler.

Aucun magasin sud-africain n’a été vandalisé

Dans le sud de Johannesburg, dans le quartier de Turffontein, plus de 500 habitants s’en sont pris à une dizaine de magasins, pillant tout sur leur passage. Il est très clair que les établissements visés appartiennent à des étrangers, des Pakistanais, Somaliens ou Nigérians. Aucun magasin sud-africain n’a été vandalisé. C’est le cas du magasin de Sebastian qui, lui, est Sud-Africain. « Ils ont décidé de cibler les magasins des migrants, des Congolais et des Pakistanais. Ils n’ont pas touché aux Sud-Africains. C’est injuste, car ces gens travaillent dur. Regardez, si vous jetez un œil, c’est vide maintenant », constate-t-il.

Sivuyile Nama est porte-parole de la communauté, responsable des pillages. Il explique l’action des criminels et le ras-le-bol de ses concitoyens. « L’Afrique du Sud accueille un nombre impressionnant de migrants. Peut-être même le plus de réfugiés dans le monde ! Donc, qui est supposé s’occuper d’eux ? », interroge-t-il avant de pointer du doigt le gouvernement. « Les gens veulent du travail et le gouvernement ne nous donne aucune solution. Et on a besoin d’une sortie de crise très rapidement dans ce pays », ajoute-t-il.

Est-ce alors une nouvelle vague d’attaques xénophobes ? Du côté des autorités, on calme le jeu. Le ministre de la Police, Bheki Cele, préfère parler de criminalité. « Pour moi, c’est de la simple criminalité. Les gens volent mais pour le moment, il n’y a rien qui me fasse dire qu’il y a un conflit entre Sud-Africains et les étrangers. On parle de criminalité, pas de xénophobie », dit-il.

Pourtant, le motif des manifestants était clair. Leur communiqué disait : « Trop c’est trop. Les étrangers dehors ! ».

Les étrangers, des boucs émissaires

La situation est extrêmement tendue dans le reste de la métropole. Les boutiques du centre-ville sont fermées pour la plupart. Les policiers sont accusés d’inaction par la société civile. En fait, ils sont complètement dépassés par ces rassemblements spontanés. Ils n’ont pas pu empêcher la mort de trois personnes la nuit dernière. Trois personnes brûlées dans leur magasin, juste après avoir vu des dizaines de Sud-Africains casser la vitrine et voler leurs produits. 

Cette léthargie n’étonne pas Johan Burger, un spécialiste des questions policières, à l’Institut d’études de sécurité de Pretoria : « On affirme parfois que la police est sur place mais qu’elle reste les bras croisés. Dans le passé, la police a déjà répondu à cette accusation, expliquant qu’elle ne peut pas se permettre de prendre en chasse chacun des pilleurs, parce que les policiers risqueraient d’être entraînés dans des quartiers difficiles où ils pourraient être agressés et même tués par des bandes criminelles. Je rappelle que peu de pays au monde sont plus dangereux pour un policier que l'Afrique du Sud. La police est sous pression, mais force est de constater qu'elle n’est pas à la hauteur. Les policiers ne sont pas assez nombreux et n’ont pas assez de moyens pour apporter une riposte, disons professionnelle, à ces incidents. Mais il faut garder à l’esprit que la violence xénophobe n’est qu’un des multiples visages de la violence en Afrique du Sud ».

Joint par RFI, Sheikh Amir, président d’une association de Somaliens d’Afrique du Sud, considère que les étrangers servent actuellement de boucs émissaires. « J’ai vu des magasins incendiés et pillés. L’intimidation, les insultes et le harcèlement, nous, les migrants, nous avons l’habitude. Mais en ce moment, il s’agit de crimes. Des bandes circulent en minibus. Elles pillent des magasins et les incendient. On ne parle pas d’intimidation. Des policiers sont sur place, mais ils ne font pas grand-chose. Nous sommes même portés à croire que la police et les autorités sont les instigateurs de cette violence. Dès que l’économie commence à ralentir, les migrants servent toujours de boucs émissaires. Le sentiment anti-migrants qui est très fort, est propagé, depuis un mois, de la base au sommet de la classe politique », souligne-t-il.

Pour un premier bilan, ce lundi 2 septembre, on compte une cinquantaine de magasins vandalisés, plus de soixante arrestations et donc trois morts pour le moment. Un policier confiait à RFI que le bilan devrait rapidement monter compte tenu du chaos qui règne dans les rues de Johannesburg. 

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