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1 novembre 2020 7 01 /11 /novembre /2020 09:07
 
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Peu à peu, tous les éléments qui peuvent mener à une confrontation interne de type guerre civile se mettent en place. Ainsi, les Français ont perdu toute confiance dans le gouvernement pour les protéger du terrorisme.

C’est ce qu’indique le dernier baromètre sécurité Fiducial/Odoxa que révèle Le Figaro et réalisé après la décapitation du professeur d’histoire-géographie Samuel Paty à Conflans-Saint-Honorine (Yvelines).

Ainsi, seuls 26% de nos concitoyens font encore confiance aux autorités pour les protéger, ce qui représente une baisse spectaculaire de 18 points depuis le mois de juillet et de 7 points en une semaine. «En ce mois d’octobre, le crédit relatif du gouvernement sur la question terroriste s’effondre totalement» concluent les auteurs du baromètre.

Les Français sont donc désormais une écrasante majorité à avoir compris que l’exécutif ne les protègerait pas, et ceci peut avoir des conséquences dramatiques. Si les attentats qui sèment la terreur dans notre pays devenaient de plus en plus fréquents et s’attaquaient à des cibles émotionnellement puissantes, rien ne pourrait alors probablement arrêter la fureur du peuple…

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1 novembre 2020 7 01 /11 /novembre /2020 08:57
 

“Soit nous reculons, soit nous avançons et nous les écrasons. Ils nous considèrent déjà comme le pire ennemi de l’islamisme. Ils ont raison nous sommes le pays de la liberté alors faisons de la France le tombeau de l’islamisme.” – Guillaume Bigot

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31 octobre 2020 6 31 /10 /octobre /2020 13:30

vendredi, 30 octobre 2020

À Paris comme ailleurs, les manifs contre le confinement commencent à s'organiser

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Jeudi soir à Paris, une manifestation s’est organisée contre le confinement. Les restrictions imposées par l’Etat au nom d’une prétendue lutte contre le coronavirus sont jugées de plujs en plus insupportables par un nombre croissant de Français de tous milieux et de tous âges.

Source Medias-presse.info cliquez là

 

12:49 Publié dans Revue de presse | Lien permanen

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31 octobre 2020 6 31 /10 /octobre /2020 13:04

Arrivera le moment où ils devront rendre des comptes...

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UN JOUR VIENDRA !

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31 octobre 2020 6 31 /10 /octobre /2020 13:02

Jeudi soir des centaines de jeunes niçois, patriotes, identitaires, nationalistes ont manifesté dans la ville contre l'islamisation et le terrorisme

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31 octobre 2020 6 31 /10 /octobre /2020 12:59

vendredi, 30 octobre 2020

" Éoliennes, le casse du siècle "

Bande-annonce du documentaire "Éoliennes, le casse du siècle". Pour participer au financement du film rendez-vous sur la page de la campagne de crowdfunding : ICI

la maladie « verte » est mortelle.jpg

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ACHETEZ, LISEZ, FAITES LIRE

ÉOLIENNES UN SCANDALE D'ÉTAT

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31 octobre 2020 6 31 /10 /octobre /2020 12:13

LA PASSOIRE CRIMINELLE SCHENGEN POUR TERRORISTES IMMIGRES!!!!

 

 

Le terroriste de Nice ? Un immigré clandestin tout frais du matin !

 
 
 

Attention, hein, surtout pas d’amalgame ! Pas question de pointer, derrière le drame ignoble qui vient d’endeuiller Nice une nouvelle fois, les conséquences désastreuses d’une immigration incontrôlée. Tout cela serait de la politique politicienne sans rapport avec la vérité des faits. À peine peut-on désigner l’islamisme radical comme source d’inspiration à la barbarie, mais on s’arrête là, c’est promis.

Contentons-nous des faits qui nous sont détaillés par le Corriere della Sera, le grand quotidien milanais. Voilà donc, résumé, le récent parcours de Brahim A., Tunisien de 21 ans descendu du train au petit matin pour se rendre dans la basilique Notre-Dame de l’Assomption, cela, à seule fin d’y égorger deux femmes en prière et le sacristain.

C’est de l’un de ces « barchini » qui débarquent, chaque année, des milliers de clandestins sur les côtes sud de l’Italie que Brahim A. a débarqué à Lampedusa, le 20 septembre. Ce jour-là, nous dit-on, 28 embarcations ont déversé sur le rivage plus de 300 migrants, presque tous Tunisiens. Un pays en paix qui, rappelons-le, a fait, voilà neuf ans, sa révolution de jasmin pour se libérer du « dictateur » Ben Ali.

Ne faisant l’objet d’aucun signalement, les procédures de photo-signalisation de Brahim Aoussaoui réalisées à Lampedusa « se sont déroulées sans heurts ». « Nom, prénom, nationalité, date de naissance, empreintes digitales, photos de visage et de profil, plainte pénale pour “entrée et séjour illégaux sur le territoire de l’État” (délit pour lequel la condamnation et l’exécution du sanction : amende de 5.000 à 10.000 euros), inscription au registre des suspects du procureur d’Agrigente », tout a été fait dans les règles avant de l’envoyer au hotspot de l’île et d’opérer son transfert, le 25 septembre, vers le Rhapsody pour y effectuer la quarantaine réglementaire pour cause de Covid-19.

Quand Brahim A. débarque à Bari, le 8 octobre, quarantaine terminée, ils sont 808 migrants à passer les contrôles en vue du tri « entre les aspirants réfugiés demandeurs d’asile et les immigrants irréguliers à rapatrier ». Brahim A. appartient à la seconde catégorie et devrait reprendre le chemin de la Tunisie. Seulement voilà, la Tunisie nouvelle multiplie les tracasseries.

Ainsi, le lendemain, nous dit le Corriere, « 405 migrants sont descendus du navire pour lequel ces opérations avaient été achevées : 2, arrêtés, se sont retrouvés en prison ; 104 destinés à divers centres de rapatriement (ceux identifiés comme dangereux, avec des précédents ou qui ont suscité des soupçons) ; 177, dont près de la moitié sont mineurs, dans des refuges ; 122 avec le décret de rejet du territoire national signé par le commissaire dans sa poche ».Brahim A. est dans ce dernier groupe, mais comme les 121 autres dont le retour à l’envoyeur devrait être effectif sous huit jours, il est relâché dans la nature avec, en poche, « un certificat d’assistance de la Croix-Rouge et des chèques reçus à bord ».

C’est là où l’on perd la trace du terroriste, jusqu’à sa réapparition, jeudi matin, dans la gare de , deux heures avant la commission de son crime.

Qui a-t-il rencontré ? Qui l’a mandaté ? C’est ce que va – ou pas – établir l’enquête. Une chose est sûre toutefois, comme l’écrit le Corriere della Sera : « Il est difficile d’imaginer qu’il s’est converti au point de passer à l’action et de tuer trois personnes en un peu plus d’un mois ; voire en moins de trois semaines, en supposant que la conversion à l’extrémisme ait eu lieu en France. »

Mais attention, hein, pas d’amalgame ! Tout ceci n’a rien à voir avec cela, et si le terroriste-immigré-clandestin est descendu du train pour aller égorger des chrétiens, c’est un pur hasard

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30 octobre 2020 5 30 /10 /octobre /2020 10:45
 
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J’écris ces lignes alors que le glas sonne dans les églises de France. Le glas, pendant de longues minutes, faisant taire enfin l’inutile logorrhée médiatico-politique. Le glas, qui rappelle à chacun que peu importe la république ; la France, elle, est catholique.

En même temps, j’ai les yeux rivés sur la photo de l’assaillant. Il est au sol. Une femme lui prodigue les premiers secours, alors qu’il git sur le marbre des marches de la basilique, des traces de balles sur le corps. Il s’est pissé dessus ; son caleçon est souillé.

Mais il ne faut pas s’arrêter à l’apparence. Il ne faut pas sous-estimer l’ennemi. Cette banale racaille qui baigne dans son sang n’est pas qu’un voyou. C’est le soldat d’une armée qui n’a qu’un but : notre anéantissement.

Non, ceux qui nous frappent ne nous frappent pas “parce qu’ils n’aiment pas notre liberté”. Non. Ils nous frappent parce que nous sommes “les Croisés”, dans leur mémoire commune. Ils nous frappent aussi parce que nos institutions sont athées – arrêtons de prétendre l’inverse en nous cachant derrière l’hypocrite mot de laïcité – et que cette étrange combinaison de “Croisés” apostats est pour eux doublement l’ennemi.

Ils nous frappent parce que nous sommes la France, et que la France, ce n’est pas n’importe quelle nation. La France, ce sont les soldats les plus valeureux du monde. La France, c’est la Grande Armée de l’Empereur. La France, ce sont – oui – nos royaumes du proche-orient, le krak des Chevaliers, saint Louis. La France, c’est Verdun, où l’homme français résista plus qu’aucune bête ne l’aurait fait, jusqu’à la victoire. La France, c’est cette nation qui n’abandonne jamais, qui tient plus que tout à sa hauteur, à sa noblesse, à sa grandeur.

France, maintenant, relève-toi !

France, regarde l’ennemi qui t’a déclaré la guerre, et monte au front.

France, 1500 ans d’Histoire te regardent et attendent de toi que tu te sortes de la torpeur et que tu cesses d’écouter ceux qui se félicitent que tu sois endormie.

France, n’écoute plus les lâches, héritiers de ceux qui te menèrent à la débâcle de 40. Ce sont des émasculés qui te disent que tu es exemplaire parce que tu ne réagis pas, acceptes tout, courbes le dos.

Le sang de nos aïeux irrigue les sillons de notre terre de France. Ce sang nous oblige. Serons-nous la honte de nos pères, ou allons-nous prendre enfin, nous aussi, nos responsabilités ?

Le pays est blessé, il perd bataille après bataille, mais ainsi que l’Histoire nous l’a appris, c’est la guerre finale qu’il faut gagner.

Clovis, Charlemagne, Saint Louis, Louis XIV, Jeanne d’Arc, Napoléon nous regardent du haut de leurs victoires.

La première de tes armes, c’est le vote. Il serait peut-être temps de lui donner une signification et des conséquences.

Français, il n’est pas trop tard. Maintenant, lève-toi !

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29 octobre 2020 4 29 /10 /octobre /2020 22:17
 
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29 octobre 2020 4 29 /10 /octobre /2020 18:47

Attaque au couteau de Nice: la classe politique entre effroi et ton guerrier

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Jean Castex à l'Assemblée nationale le 29 octobre 2020 à Paris
Jean Castex à l'Assemblée nationale le 29 octobre 2020 à Paris
 
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© AFP, Bertrand GUAY
 

, publié le jeudi 29 octobre 2020 à 17h17

L'attaque à Nice jeudi matin, survenue dans un contexte de crise avec la Turquie et de tensions avec le monde musulman, a saisi d'effroi le monde politique français et conduit la droite et l'extrême droite à durcir leur ton guerrier.

Le Premier ministre Jean Castex a dû quitter précipitamment l'Assemblée après l'annonce vers 9H30, après avoir "appelé l'ensemble de la représentation nationale à l'unité et à la cohésion". Il a dénoncé à son retour devant les députés une "attaque aussi lâche que barbare qui endeuille le pays tout entier".

Même appel d'unité d'Emmanuel Macron qui s'est immédiatement rendu sur place. Il a demandé de ne "pas céder à l'esprit de division" et de "terreur" face à cette "attaque terroriste islamiste". 

"Pour la première fois depuis l'occupation, la France n'est plus libre! Notre pays est en guerre, nous sommes en guerre!": Le député Les Républicains des Alpes-Maritimes Eric Ciotti n'a pas mâché ses mots sitôt l'attaque connue, avant de se rendre aussi sur les lieux de l'attaque.

Plusieurs autres responsables de droite ont embrayé, comme Guillaume Peltier, vice-président du parti: "C'est la guerre: anéantissons l'ennemi, protégeons notre peuple, sauvons notre civilisation".

Dans la salle des Quatre-Colonnes où les députés rencontrent la presse, la présidente du Rassemblement national Marine Le Pen a repris son argument déployé ces derniers jours: "Je ne sais pas combien d'attentats il faudra au gouvernemnt pour prendre conscience qu'il faut se doter d'une législation de guerre pour répondre à la guerre qui nous est menée".


Au Sénat, le patron du groupe LR Bruno Retailleau a appelé le gouvernement à "sortir des demi-mesures": "si vous restez dans le cadre, vous continuerez à faire des discours, nous continuerons à faire des hommages et les crimes se poursuivront", a-t-il lancé à Jean Castex.

Cette nouvelle attaque intervient en pleine tension nationale et internationale, deux semaines après l'assassinat du professeur Samuel Paty qui avait montré des caricatures de Mahomet, sur fond de procès de l'attentat de 2015 contre Charlie Hebdo, hebdomadaire à l'origine de ces dessins contestés dans plusieurs pays musulmans.

En France, la classe politique s'est déchirée après l'assassinat de Samuel Paty, une partie de la gauche se voyant accusée d'"islamo-gauchisme".

Le chef des Insoumis Jean-Luc Mélenchon, qui avait été particulièrement visé, a exprimé son effroi jeudi matin, de même que sa "totale solidarité avec les catholiques de France": "Nous sommes très secoués, pour plein de raisons, le lieu, la foi catholique, l'accumulation d'évènements horribles qui nous perturbent tous et nous font nous interroger sur ce que va être notre vie collective demain", a-t-il dit à la presse.

La sénatrice EELV Esther Benbassa a continué à se défendre des accusations de complaisance: "Dès 2003, et à nouveau en 2015, je me suis battue avec d'autres en faveur d'un dialogue entre juifs et musulmans, ouvert, sans faux semblants, et n'esquivant aucune question difficile. Ils faisaient quoi, eux, pendant ce temps, nos accusateurs à la bonne conscience?"

- "Faire bloc" -

L'ancien Premier ministre Manuel Valls, tenant de l'hypothèse de "deux gauches irréconciliables" sur le sujet, a tweeté jeudi: "Nous sommes attaqués pour ce que nous sommes, la France, un pays démocratique, une république libre, une civilisation tolérante".

L'eurodéputé de Place publique Raphaël Glucksmann a pour sa part appelé à se "hisser au niveau des temps tragiques que traverse notre nation. A travers ses professeurs et ses croyants catholiques, c'est toute la France qui est attaquée par le fanatisme islamiste. Défendons-la. Ensemble. Sans hésiter ni faiblir".

Côté majorité, le délégué général de LREM Stanislas Guerini a appelé les oppositions à "faire bloc", dans un contexte également tendu à l'international. 

Plusieurs pays ont lancé des campagnes de boycott des produits français et des manifestations ont eu lieu dans le monde musulman après la défense par Emmanuel Macron des caricatures du prophète Mahomet, que l'enseignant Samuel Paty avaient montrées en classe. 

L'escalade diplomatique entre France et Turquie, alliés dans l'Otan, a encore été alimentée par la publication et d'une caricature de Charlie Hebdo représentant le président Recep Tayyip Erdogan en slip, bière à la main, soulevant la robe d'une femme voilée en s'écriant: "Ouuuh! Le prophète!"

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