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24 novembre 2020 2 24 /11 /novembre /2020 10:44

1. Pourquoi le boycott de CNews par Décathlon "fait un bide" énorme : ce lundi matin, à 7h30, la rubrique "médias"' du jour, sur France info, est consacrée à Décathlon, qui a retiré ses spots publicitaires à CNews. Et la journaliste, honnête sur ce coup, rappelle que CNews atteint maintenant 1,8% de parts de marché, qu'elle a dépassé BFM dans l'ensemble grâce au créneau horaire 19h/21h (Zemmour puis Praud) et que, de toutes façons, la chaîne ne met pas de pub pendant ces deux interventions-là.

Ensuite, avantage du succès, CNews peut se payer le luxe de mettre moins de pub mais en la faisant payer plus cher ! Du coup, en "emmerdant" moins les gens (le mot est du Président Pompidou...) la chaîne engrange 25% de recettes supplémentaires ! Mais, nous, nous n'oublierons pas de

BOYCOTTER LES BOYCOTTEURS COLLABOS DE L'INVASION MUSULMANE !

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1 BIS. Et vous savez quoi ? Corse matin nous apprend que le yacht de l'héritier de Décathlon  a été saisi dans le port d'Ajaccio. Ce bateau, le M/Y IDOL est la propriété de Thomas Leclercq, fils cadet de Michel Leclercq, fondateur de Décathlon. "...L’équipage ne bénéficiait pas de protection sociale et de cadre légal concernant le temps de travail. Le propriétaire, par le biais de montages, ne déclarait pas le personnel... L’équipage serait payé entre 1 500 et 2 500 euros en fonction du poste à bord, et grâce à la coopération du capitaine, le planning de certains marins (notamment les hôtesses à bord) variait entre 70 et 85 heures par semaine sans compensation financière ni jour de repos..." !

En somme, "ces gens" sont pourris jusqu'au trognon, et ils prétendent donner des leçons de morale, et nous dire qui nous devons écouter, lire, regarder etc... ou pas !

https://actumaritime.com/2019/11/22/le-yacht-de-lheritier-de-decathlon-saisi-dans-le-port-dajaccio/

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24 novembre 2020 2 24 /11 /novembre /2020 08:56

Ma dernière lettre très ouverte a été adressée en poste restante à un certain Yann, dont j’ignore le patronyme, mais dont je sais qu’il officie pour la communication de la maison «Décathlon» qui commercialise comme chacun sait les articles destinés aux sportifs ou à ceux qui voudraient tenter de conserver la forme comme l’auteur de ces lignes. C’est dans ces conditions que j’ai été conduit à faire la connaissance du précité qui twittait le 20 novembre à 18 heures 04:

«Bonjour, en effet nous avons retiré nos publicités de C News en cette fin d’année. Bonne fin de journée, Yann.»

Je reproduis ci-après pour mes lecteurs partie du gazouillis que j’ai été conduit à adresser lorsque j’ai compris que Décathlon avait cédé aux pressions de ces Géants Endormis qui sont censés traquer tous les «discours de haine» selon la haute idée que ces activistes gauchistes bas de plafond se font de la détestation.

«Très Cher Yann de chez Décathlon, vous pourriez peut-être regretter bientôt votre message. Quand, après les fêtes de fin d’année et le boycott insensé d’une télé au mépris de la liberté d’exprimer, vous ferez les comptes des hidjabs athlétiques et des burkinis aquatiques que vous vendez et des baskets qui vous resteront sur les bras, il se pourrait que le coureur de Décathlon connaisse le sort de celui de la bataille de Marathon.

Bonne fin de journée.». Rien de tel qu’un courrier bien senti pour commencer son lundi.  


Gilles-William Goldnadel est avocat et essayiste. Son récent ouvrage, Névroses Médiatiques. Le monde est devenu une foule déchaînée, est paru chez Plon.

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23 novembre 2020 1 23 /11 /novembre /2020 14:55

Le général de Villiers : combien de divisions ?

 
 
 

C’est la question que l’on doit se poser anxieusement dans bien des chaumières, en ce moment. Celle de la rue du Faubourg-Saint-Honoré, évidemment, chez les LR qui ne savent plus très bien où ils en sont de leurs périodes glaciaires, et, bien sûr, au RN.

Le seul fait que l’irruption de cette personnalité issue de la société civile, comme on dit, fasse jaser dans ces trois écuries qui pensent que la course pour  leur ait réservée est une réussite. Réussite, car les chaumières de France, via le sondage de Valeurs actuelles, ont répondu qu’elles seraient prêtes, à 20 %, à voter pour  s’il était candidat. 20 %, ce n’est pas rien, surtout après un petit galop d’essai médiatique d’un mois. C’est le niveau de qualification. La cour des grands.

En effet, l’événement Pierre de Villiers constitue aussi un révélateur de la situation politique à droite, au sens très large, et d’abord de son marasme, de ses divisions, de l’obsolescence de ses partis. Avec ses 20 % gagnés en une campagne, quand les leaders patentés de la droite peinent à les rassembler depuis dix ans, il montre l’ampleur des attentes insatisfaites. Du centre droit aux électeurs du RN en passant par les LR, sa candidature est capable de ratisser sur tout l’axe, du macronisme au lepénisme. Alors, se poser la question des divisions – structures, parti – du général de Villiers n’a plus grand sens quand le macronisme, LR et RN, qui ont pourtant pignon sur rue, peinent, eux, à attirer le chaland (voir les dernières municipales).

Cela a été dit, et cela est ressenti par une grande part de l’électorat : Pierre de Villiers dispose de nombreux atouts face à ses éventuels rivaux. Face à , d’abord. Une phrase du gilet jaune Jérôme Rodrigues citée par Valeurs actuelles dit tout et pose le cadre du combat, si c’est celui-là qui devait avoir lieu : « C’est le premier qui a osé dire merde à Macron. » Le général a été, dès juillet 2017, le premier révélateur de la personnalité d’Emmanuel Macron. Effectivement, un tel étendard peut rassembler beaucoup de Français, et au-delà de la droite. Face à Marine Le Pen, le général de Villiers coche les cases qui lui sont constamment opposées : l’expérience de la haute administration, les réseaux et une capacité à rassembler et à rassurer.

Enfin, Pierre de Villiers est un révélateur tout aussi cruel des carences de LR : trahisons, absence de ligne claire et de convictions. S’il parvient à mobiliser des électeurs de ces trois droites, c’est qu’il incarne mieux qu’eux ce que ces chefs devraient être. C’est cruel pour eux, mais d’une redoutable efficacité pour lui : il peut non seulement les distancer, mais se les rallier, au besoin. On voit mal un parti LR résiduel donné à 8 % ne pas se ranger derrière lui. Même chose du côté d’un macronisme qui ne ferait plus recette. Et même, par son profil de militaire et de « frère de », il rallierait facilement la part villiériste du RN. Voilà pour l’état des lieux et la haie d’honneur.

Néanmoins, une petite musique hostile monte des réseaux sociaux de la « droitosphère ». Pour Damien Rieu, le général de Villiers serait « de gauche ». Pour Jean-Yves Le Gallou, ce serait « le général Rantanplan » avec des idées d’il y a quarante ans sur les questions d’immigration et d’intégration : « C’est parce qu’il est à côté de la plaque que le brave général #Rantanplan est promu par les médias » (tweet du 20 novembre). L’un comme l’autre dénoncent son positionnement rassembleur et centriste. On dit, d’ordinaire, qu’un candidat doit d’abord cliver pour se lancer, puis rassembler. Le théorème est vrai pour un homme politique qui a besoin de sortir du lot et du flot de compromissions qu’il traîne. Mais pour un général, c’est plus discutable : il a d’abord des gages à donner, aux médias, au centre, et même à la gauche. La France est ainsi faite. Et, vu le résultat du sondage, la stratégie ne fut pas mauvaise.

Quelle que soit la suite de l’aventure, le général de Villiers a montré qu’il était possible de rassembler largement à droite, que les divisions étaient bien là, mais que c’est le chef qui manque.

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23 novembre 2020 1 23 /11 /novembre /2020 11:55

Rudy Giuliani : « Je peux prouver que Donald Trump a gagné ! »

Rudy Giuliani : « Je peux prouver que Donald Trump a gagné ! »

 PAR  | 20 NOVEMBRE 2020 | POLITIQUE, SOCIÉTÉ

Par Jean-Patrick Grumberg ♦ Ce jeudi, l’équipe légale chargée par Donald Trump de démontrer la fraude démocrate a organisé une conférence de presse au cours de laquelle de nombreux éléments de preuve ont été avancés. Le tout sous les regards évidemment méprisants de journalistes américains et français incapables de se focaliser sur le fond de cette conférence de presse.
Voici une traduction de quelques uns des passages les plus intéressants réalisée par Jean-Patrick Grumberg pour le site Dreuz Info.
Polémia

Voici les extraits significatifs de la conférence de presse, qui a duré 1 h 30. Je dois dire qu’avant cette conférence, j’avais une opinion mitigée sur Giuliani. J’ai trouvé que cet homme, qui a lui tout seul a décimé la mafia NewYorkaise dans les années 70 quand il était le procureur de l’État, se vantait beaucoup mais qu’il accomplissait peu. Son intervention me l’a présenté sous un angle plus rassurant et solide.

Le point général de Rudy Giuliani

La conférence de presse de l’équipe des avocats de Trump en deux mots : époustouflante, incroyable ! Jamais je n’aurais pu croire l’étendue de ce que j’ai entendu et vu.

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Dreuz a suivi en direct la conférence de presse des avocats que le président Trump a sollicités pour dénoncer et faire annuler la fraude massive de l’élection 2020.

Dreuz a rapporté en détail toutes les accusations de fraude, jour après jour, comme je pense aucun autre média, en langue française ou en anglais, ne l’a fait.

La réalité est même au-delà de ça.

Certains médias nient totalement l’existence des fraudes.
D’autres affirment qu’elles ne reposent sur aucune preuve – en faisant mine d’ignorer les centaines de déclarations sous serment de témoins visuels. L’ancien maire de New York et avocat Rudy Giuliani, qui dirige l’équipe des avocats de Trump, a déclaré lors de cette conférence qu’une déclaration sous serment est une preuve, en droit. Elle peut être acceptée ou rejetée par le juge, mais c’est une preuve. En disant qu’il n’existe aucune preuve, les journalistes montrent qu’ils ne connaissent rien au sujet, qu’ils ignorent totalement le droit, qu’ils ne savent pas de quoi ils parlent – mais je ne vous apprends rien en vous disant cela.

Voici les extraits significatifs de la conférence de presse, qui a duré 1 h 30. Je dois dire qu’avant cette conférence, j’avais une opinion mitigée sur Giuliani. J’ai trouvé que cet homme, qui a lui tout seul a décimé la mafia NewYorkaise dans les années 70 quand il était le procureur de l’Etat, se vantait beaucoup mais qu’il accomplissait peu. Son intervention me l’a présenté sous un angle plus rassurant et solide.

Lorsque nous avons commencé cette enquête, ce qui est apparu est une fraude dans de nombreux États, selon presque le même schéma partout. C’était comme un seul plan pour exécuter une fraude électorale dans des grandes villes, des grandes villes contrôlées par les Démocrates, des grandes villes contrôlées par les Démocrates avec une longue histoire de corruption.

Pennsylvanie

La marge est de 84 000 voix pour Biden. Mais 687 000 bulletins de vote ont été acceptés sans contrôle : il s’agit de bulletins de vote par correspondance. C’est ce qu’a dit Carter il y a 20 ans. Même le NYT a écrit sur le danger du vote par correspondance.

Ils ont triché mais ils ont fait des erreurs :

– L’une de leurs erreurs a été d’expulser les inspecteurs. Dans d’autres parties des États-Unis, il y avait des inspecteurs. Pas là.
– Autre erreur : si vous avez fait une faute sur votre bulletin et que vous vivez à Philadelphie ou à Pittsburgh – des villes à majorité Démocrates, vous étiez autorisé à la réparer. Si vous viviez dans une zone « pro-Trump », vous n’aviez pas eu cette possibilité. C’est illégal. Des centaines de témoins ont témoigné sous serment. Ce sera facile à prouver devant les tribunaux.

Puis il y a 17 000 bulletins provisionnels. 16 000 sont illégaux. Qu’est-ce qu’un bulletin provisionnel ?

– Je me présente ici pour voter aujourd’hui.
– On me dit « mais vous avez déjà voté ».
– « J’ai voté moi ? Non, je n’ai pas voté ! »
– « Vous avez voté par procuration ».
– « Non, je ne l’ai pas fait ! »

C’est arrivé 16 000 fois à Pittsburgh. Autant de gens avec une mauvaise mémoire à Pittsburgh ?
Pourquoi ? Quand ils avaient une erreur sur un bulletin, les Démocrates ont dit « signez-le pour quelqu’un d’autre, le gars pourrait ne pas se présenter ». Et 16 000 se sont présentés.

Pourquoi ne pas autoriser les gens à inspecter ? Parce qu’ils savaient qu’ils allaient utiliser ces bulletins de vote pour faire monter Biden. La seule façon de le faire, c’était en trichant. Même les inspecteurs Démocrates n’étaient pas autorisés, parce qu’ils avaient peur qu’eux aussi dénoncent la fraude. Et c’est ce qu’ils ont fait.

Nous avons perdu des avocats dans cette affaire parce qu’ils ont été menacés.

Michigan

J’ai le témoignage sous serment d’une personne qui a été assignée au vote. Elle a déclaré : « On m’a demandé d’antidater dater les votes par procuration plus tôt que la date limite ». Elle dit ça sous serment.
Vous [la presse] pouvez dire qu’elle ment, mais vous ne pouvez pas dire qu’il n’y a pas de preuves. La prochaine fois que vous le direz, vous mentirez. Vous pouvez la contre-interroger, mais c’est une preuve.

Autre chose : pourquoi ne demandaient-ils pas de pièces d’identité ? Parce qu’ils savaient que les personnes qui ne sont pas autorisées à voter voteraient.
Ils n’ont pas fait ça dans les endroits neutres, dans des villes Républicaines, seulement dans des villes corrompues.
Cela signifie qu’ils n’ont pas tenu compte de l’ordre de la Cour suprême.

Vous, la presse, c’est votre travail de lire les déclarations sous serment, pas de dire qu’elles n’existent pas.

300 000 votes que nous pouvons identifier sont des fraudes dans le Michigan [l’écart est de 150 000 votes pour Biden]. C’est une affaire très importante, qui a été soulevée par un individu.

Wisconsin

Petite marge pour Biden, 20 000 votes. Leurs plans étaient similaires : à Milwaukee, Madison, des inspecteurs non autorisés à inspecter.

Le Wisconsin n’autorise pas le vote par correspondance. Il est illégal d’envoyer du courrier, vous devez en faire la demande personnellement.

60 000 votes à Milwaukee et 40 000 à Madison qui n’ont pas de demande. Cela ne s’est produit dans aucune autre région du Wisconsin. Si vous comptez simplement cela, c’est Trump qui a gagné.

Le sur-vote

Qu’est-ce que le sur-vote : c’est si 200 % des personnes inscrites votent. Cela signifie que quelqu’un a voté deux fois, ou une personne hors de l’État a voté. Ce sont des votes illégaux. La plupart des comtés n’ont pas 100 % des votes. La norme maximum habituelle, c’est 80 %. Nous avons plus de 300 % de votes dans certains comtés.

L’une des raisons pour lesquelles le bureau n’a pas certifié c’est parce que c’était le cas : il y a eu un grand nombre de votes excédentaires, de sur-votes.

Géorgie

Un grand procès sera intenté demain. Mêmes problèmes. Nous avons de nombreux doubles votes, des électeurs hors de l’État, des intimidations. Etc.

Arizona : nous allons intenter un procès, nous en sommes en train de rassembler des preuves.

Nouveau-Mexique et Virginie : cela va vous surprendre. Ils suivront probablement.

Nous avons de quoi plus que doubler l’avance de Biden en termes de preuves. Nous avons au moins un millier de témoignages. Nous en recevons tous les jours plus.

Toute cette fraude était prévue à l’avance, la même chose s’est présentée dans plusieurs villes, en même temps.

Nous avons utilisé une machine à voter vénézuélienne pour compter notre vote !

Biden est en tête à cause des bulletins de vote illégaux utilisés après l’élection.

Sidney Powell évoque une autre partie du scandale

La plupart de nos bulletins de vote sont comptés en dehors des Etats-Unis.

L’argent des communistes s’est immiscé massivement dans le processus : Venezuela, Cuba, Chine.

Les machines comptaient 0.7 voix par vote pour Trump et 1.25 pour Biden. Ainsi sur 10 votes Trump en était compté 7. Sur 10 votes Biden 12.5 ! Un glissement algorithmique faussant les résultats de plusieurs millions de voix. Une fraude massive. [Note de la rédaction : il faut bien comprendre que prouver cela prend du temps, et que cela a peu de chances de tenir devant un juge : c’est devant l’opinion publique que Trump devra remporter ce procès là, pas devant la cour, aussi il doit poursuivre cette enquête statistique jusqu’au bout]

Nous avons un témoin très fort, il a travaillé pour Smartmatic (Dominion). Il a intenté un procès. Il était avec Hugo Chavez et l’a vu opérer les machines de vote Smartmatic.

Le logiciel peut retourner les votes, prendre les votes de Trump pour les donner à Biden. C’est pourquoi ils ont arrêté le comptage au milieu de la nuit.
La fraude est visible avec des statistiques et elle est corroborée par des témoignages.
Les dirigeants de Dominion ont déménagé du jour au lendemain, on ne les trouve nulle part.
Les dirigeants de Smartmatic sont associés au gouvernement vénézuélien de Maduro.
Nous avons la preuve que 345 000 votes en faveur de Biden ont été injectés à 20 minutes d’intervalle dans la machine.
Il y a des algorithmes pour changer les résultats, des algorithmes pour détruire les votes.
Il existe des vidéos montrant comment un ado avec un téléphone portable peut pirater les machines de vote.
Une enquête criminelle à grande échelle doit être immédiatement menée par le gouvernement fédéral et les États.
Le Texas a rejeté les systèmes du Dominion. Il a été utilisé pour frauder d’autres élections dans d’autres pays.
C’est stupéfiant, déchirant, exaspérant et anti-patriotique. Et nous ne nous laisserons pas intimider, nous en avons assez, et nous allons prouver que Trump a gagné l’élection.

Nous ne serons pas intimidés. Nous n’allons pas reculer. Nous allons nettoyer ce gâchis, maintenant. Le président Trump l’a emporté haut la main. Nous allons le prouver et nous allons reconquérir les États-Unis d’Amérique pour les personnes qui votent pour la liberté.

Jenna Ellis sur les Fake News

Ce dont nous avons parlé aujourd’hui, c’est ce que vous pouvez vous attendre à voir au tribunal. C’est ce que cachent les Fake News.

S’adressant aux journalistes : ceci est le tribunal de l’opinion publique. À cause des Fake News, si vous étiez membres du jury, je vous rejetterais à 100 %.

Et de nombreux employés de Dominion nous ont contactés pour dénoncer la fraude.

Rudy Giuliani sur les Fake News

Nous sommes frustrés par ce que nous lisons dans la presse, quand vous dites que nous n’avons pas de preuves. Le témoignage sous serment est une preuve.
Nos votes sont comptés en Allemagne et en Espagne par un allié de Chavez. C’est un problème majeur. Mais nous avons suffisamment de preuves pour renverser l’élection.

S’adressant à la salle remplie de journalistes, qui ne semblent pas du tout concernés, comme si on parlait de banalités : « Mon Dieu, que devons-nous faire, pour que vous disiez la vérité au peuple ! »
De quoi avez-vous besoin de plus pour faire votre travail et informer le peuple américain !

Je connais le crime, je le sens. Je peux prouver que Trump a gagné.
Notre but est de contourner le rideau de fer de la censure. Il y a des faits, tout cela est arrivé. Les déclarations sous serment sont vraies. Vous les cachez.

Sidney Powell

Notre pays a vu son vote compté dans un pays étranger, par des associés à un pays étranger hostile. Que devons-nous faire pour que le FBI se réveille ! C’est le 1775 de notre génération.
Un journaliste lance à Powell : « Kraken ? »
Powell : « Nous ne devrions plus jamais utiliser la machine de Dominion et Smartmatic dans ce pays. »

Rudy Giuliani

C’est une attaque massive contre l’intégrité de la Démocratie. Ce n’était pas une idée individuelle. Ils ont fait la même chose dans dix grandes villes corrompues. Ils ont choisi les endroits où ils pouvaient le faire. Ils ont choisi des villes où ils ont des juges, des élus, et un shérif qui refusera d’exécuter une ordonnance du tribunal.

Ne pas inspecter des bulletins de vote de 700 000 personnes est stupéfiant.

Je ne sais pas si Biden est au courant ou non, je ne sais pas s’il décide ou combien est décidé pour lui.

Dans le Michigan, la secrétaire d’État n’a rien dit sachant que les votes sont envoyés en Allemagne par une société vénézuélienne ? Peut-être sont-ils incompétents, ou qu’ils ne veulent pas savoir. Vous pensez qu’elle est crédible ?
C’est honteux ce qu’ils ont fait aux citoyens du Michigan.

Si j’étais encore au gouvernement, il y aurait beaucoup de gens arrêtés à l’heure actuelle parce qu’il y a beaucoup de causes prouvables.

Autre chose : nous n’avons pas un seul procès qui a été rejeté. Aucun. C’est une Fake News. Des procès engagés par des personnes privées ont été rejetés, et à juste raison parce qu’ils n’avaient pas présenté de preuve. Trump, nous, n’avons aucun procès rejeté.

La censure est presque aussi dangereuse que la fraude.

Conclusion

Faire honnêtement son métier de journaliste consiste à rapporter les informations, les faits, et les commenter. Pas à faire des plans sur la comète et des spéculations sur le futur. Ne comptez donc pas sur moi pour déborder de mon rôle et faire comme mes confrères, ces incapables crétins qui vous disent ce que sera demain en vous faisant croire que c’est de l’information.

Ne me demandez pas de vous dire si les actions en justice vont aboutir et si Donald Trump va remporter l’élection.

Jean-Patrick Grumberg
20/11/2020

Source : Dreuz Info

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23 novembre 2020 1 23 /11 /novembre /2020 09:27

Decathlon… Le mot d’ordre patriote, c’est le boycott !

 
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22 novembre 2020 7 22 /11 /novembre /2020 11:35

L’espoir de vaccin n’a réglé, pour l’instant, que les problèmes des Bourses

 
 
 

L’espoir de vaccin a permis la remontée des Bourses et d’entrevoir la fin de la crise sanitaire en 2021. À , le CAC 40 a grimpé de plus de 20 % depuis le début du mois de novembre, et aux États-Unis, le FANG, index des grandes valeurs technologiques, a plus que doublé (de 2.500, en mars, à 5.560, le 20 novembre). Les espoirs de vaccins ont, pour l’instant, eu pour effet de régler les seuls problèmes boursiers, alors que de nouvelles aides vitales et immédiates sont toujours jugées nécessaires par les économistes, tant en Europe qu’aux États-Unis, où l’épidémie est en phase exponentielle, avec 200.000 nouveaux cas et 1.750 morts en 24 heures, le jeudi 19 novembre.

Il est raisonnable de faire l’impasse d’une surprise désagréable pour tous ces vaccins sortis en un temps record, ce qui n’est malheureusement pas impossible, suite à l’absence d’un recul suffisant. Réjouissons-nous donc de l’euphorie planétaire, des sommets historiques sur tous les marchés, de la Bourse d’Athènes à Wall Street. L’indice VIX de la peur à Wall Street est passé de 40, fin octobre, à 23, soit une baisse significative de 45 %. L’écroulement n’aura donc pas lieu en 2021, mais quid du problème de l’hyper-endettement irremboursable ou de l’apparition possible de nouveaux cygnes noirs dans le monde, suite à des crises politiques internes ou géopolitiques, des mouvements sociaux violents, de cruels et inacceptables attentats islamistes faisant exploser la colère rentrée des peuples européens ?

Quelle est la réalité immédiate vécue actuellement aux États-Unis ? 12 millions de chômeurs perdront leurs allocations fin 2020 si le CARES Act (Coronavirus Aid, Relief, and Economic Security Act) n’est pas prolongé. Les 5,5 millions de dossiers en attente d’expulsions de locataires, suite à des mesures fédérales, vont bientôt expirer, tout comme l’interruption momentanée de remboursement des prêts étudiants. Les banques alimentaires sont actuellement prises d’assaut, tandis que 40 % des Américains ont connu le problème de la sécurité alimentaire, que 37 % ont sauté des repas afin de pouvoir nourrir leurs enfants.

Sur le plan économique, les intérêts sont toujours proches de zéro et le programme de rachats d’actifs par la Fed continue au rythme de 120 milliards de dollars par mois. Suite à la victoire espérée de Joe Biden, la Fed va, aussi, bientôt pouvoir évoquer le prétexte du climat pour injecter davantage de liquidités en prétendant que tout va bien. L’année fiscale 2020 s’est terminée, à fin septembre 2020, avec un déficit record de 3.100 milliards de dollars, soit le triple du déficit de 954 milliards en 2019. Le déficit record du mois d’octobre s’est élevé à 284 milliards, soit le double du plus gros déficit de ce mois pendant les dix dernières années. Les démocrates demandent toujours un plan de reprise de plus de 3.000 milliards de dollars. En cas de reprise économique, l’inflation devrait faire son apparition.

En France, l’endettement empêche les patrons de dormir, tandis que 300.000 commerçants sont menacés de faillite et que le chômage sera bientôt de 10 % minimum. Le drame, c’est qu’en même temps, les finances publiques continuent de se dégrader d’une façon accélérée. Il est loin, le temps du rapport Pébereau de 2005 demandant que toute dépense publique supplémentaire corresponde à une remise en cause des dépenses dans d’autres domaines. Selon la BCE, les créances douteuses des banques en zone euro, c’est-à-dire les prêts non remboursés, pourraient atteindre 1.400 milliards d’euros d’ici fin 2021, contre 500 milliards fin 2019.

L’IIF (Institute of International Finance) a calculé que les dettes mondiales devraient atteindre 277.000 milliards de dollars, fin 2020. À la fin du troisième trimestre 2020, la dette globale des pays développés s’est élevée à 432 % du PIB, contre 380 % à fin 2019. Pour les pays émergents, le ratio est proche de 250 % ; il est de 335 % pour la Chine. Les Bourses montent, se moquant des lendemains, en oubliant que les dettes sont irremboursables.

On sortira probablement de la crise sanitaire en 2021, mais pas d’un endettement monstrueux et d’une création monétaire démentielle partout dans le monde.

M.Rousset 

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22 novembre 2020 7 22 /11 /novembre /2020 09:41

Decathlon retire ses spots publicitaires sur CNews : et si nous retirions notre confiance à Decathlon ?

 
 
 

Alors que le collectif  vient d’annoncer, sur les réseaux sociaux, que Decathlon retirait ses publicités de , un ancien collaborateur de la chaîne de magasins de sport témoigne.

Decathlon a décidé de retirer ses publicités de CNews en raison des « discours de haine » qui y seraient tenus. Une annonce faite sur Twitter par le collectif Sleeping Giants qui refait surface. Par « discours de haine », la chaîne de vêtements de sport vise les chroniqueurs et présentateurs qui y apportent leur talent et leurs éclairages. Parmi ceux-ci, Éric Zemmour, évidemment, mais aussi Pascal Praud, Gabrielle Cluzel ou Charlotte d’Ornellas.

J’ai toujours considéré que la pire des inélégances, dans la vie, était de cracher dans la soupe qui nous a nourris. Pendant des années, Decathlon était la mienne : j’ai ainsi été cadre au sein de l’entreprise, avec quelques responsabilités de gestion d’équipe dans les locaux du « siège ».

J’ai décidé de démissionner, il y a quelques mois, lassé des implications au quotidien du politiquement correct de cette boîte où le gilet n’est pas jaune mais bleu, où l’on entend façonner une société multiculturelle où, forcément, l’on défend la planète tout en la polluant.

On se souvient de la polémique, en février 2019, autour du « hijab de running », conçu « pour rendre le sport accessible à toutes », mais que la marque finit par renoncer à commercialiser. En interne, on enrageait contre ces Gaulois déjà réfractaires. Mais certains se vengèrent : « Tu as vu, on a mis un skieur noir en couverture de notre magazine », est-on un jour venu se vanter auprès de moi.

Mais ce n’est que l’arbre qui cache la forêt. Tout, chez Decathlon, s’articule autour des principes les plus délirants de l’époque.

La libération d’entreprise voulue par son PDG Michel Aballea et au nom de laquelle toute hiérarchie est perçue comme un autoritarisme rend impossible de faire une remarque à un employé qui arriverait systématiquement en retard (« il ne faut pas mettre trop de pression et puis c’est oublier les jours où il est arrivé à l’heure ! »), d’évaluer les éléments de son équipe (dans celle où j’évoluais, certains éléments obtenaient des chiffres jusqu’à 15 fois supérieurs à ceux des moins productifs), d’inculquer quelques principes nobles et sains, comme l’implication, la responsabilité ou l’esthétisme.

Tout, au bout du compte, est amusement au nom de la « festivocratie ». Des groupes de travail sont conçus pour se pencher sur le bonheur dans l’entreprise. En fait, de ces heures de discussions, je n’ai jamais entendu d’autres propositions que de mettre davantage de plantes et de fleurs dans le cadre de travail ou de créer des pièces où chacun peut aller… se reposer. Pourtant, nulle part ailleurs que chez Decathlon je n’ai vu autant de personnes mal dans leur peau, tantôt frustrées de faire le travail à la place des autres qui se savaient à l’abri dans une boîte « où il faut beaucoup pour se faire virer », tantôt lasses de « pisser bleu », selon l’expression bien connue dans l’entreprise.

Tandis que j’étais pressenti pour prendre des responsabilités dans un autre service, je fus rabroué par une néo-féministe jusque dans le style : « Et pourquoi toujours des hommes ? » Un autre jour, on me fit corriger la revue destinée aux clients, non sans avoir pris soin de me donner un guide en écriture inclusive.

J’ai toujours pensé qu’il ne faut pas faire trop de politique au travail. Je taisais donc mon côté identitaire, réac, conservateur, comme beaucoup d’autres le faisaient. Parfois, les langues se déliaient un peu à la machine à café, mais jamais totalement : cela valait mieux pour notre tranquillité.

Pendant des années, lorsque j’engageais de nouveaux collaborateurs, je vantais cette entreprise où « chacun est libre d’écrire son histoire, où l’on fait du sport, où on a le droit à l’erreur ». Avec le temps, j’y ai de moins en moins cru, à mon tour mal à l’aise de voir que la liberté n’y vaut que pour ceux qui ne s’écartent pas du droit chemin.

Decathlon veut façonner une société qui n’est pas celle que souhaitent une majorité des Français. Si nous ne faisons pas plier ces entreprises qui s’arrogent le droit de décider quels propos ont droit de cité, nous aurons perdu notre combat. À notre tour de montrer notre force collective : soutenons Zemmour, Praud, Cluzel et d’autres, retirons notre confiance à Decathlon !

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22 novembre 2020 7 22 /11 /novembre /2020 08:48

Decathlon retire ses pubs de CNews pour des “discours de haine”

Après le groupe Ferrero, Decathlon cède aussi au militantisme de gauche du collectif Sleeping Giants. La chaîne de magasins de sport va retirer ses publicités sur CNews pour Noël. 

Les Sleeping Giants l’ont eux-mêmes annoncé… Sur Twitter, ils ont déclaré que le groupe Décathlon retirait ses publicités de la chaîne de télévision CNews (groupe Canal+) pour Noël et songerait à le faire « pour tout 2021 ». Ce collectif citoyen – qui a pour but de retirer petit à petit les sources de revenus publicitaires de médias qu’il a identifiés comme des propagateurs de « haine » – a lâché que « l’orientation délétère de CNews ne pouvait plus être ignorée », relaye La Voix du Nord vendredi 20 novembre. Il est aussi écrit : « Parce que de plus en plus de marques ne veulent plus financer la propagation de ces discours. » Le groupe de magasins de sport a confirmé les faits : « Decathlon a bien retiré, en cette fin d’année, ces spots de la chaîne. »

Voilà qui aidera la chaîne à continuer de se muer en une FOX à la française, avec Zemmour pour incarner la voix de la vrai France. L’opposition contrôlée a de beaux jours devant elle.

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21 novembre 2020 6 21 /11 /novembre /2020 09:02
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18 novembre 2020 3 18 /11 /novembre /2020 08:33
 

Son avocat Richard Malka estime que “ces personnes ne savent répondre que par des menaces de mort dès que leur croyance est mise en cause.” Et il interroge : “Que vont devenir ces milliers de personnes … ?”

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