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14 avril 2022 4 14 /04 /avril /2022 10:32

 

http://penserlafrance.fr/2022/04/13/presidentielle-2022-2eme-tour-barrage-total-a-emmanuel-macron-penser-la-france/

 

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14 avril 2022 4 14 /04 /avril /2022 06:04

Faute de Z, seule l’explosion économique et sociale peut encore sauver la France !

zemmour-declaration.jpg

Que tous les Français prennent la peine de lire ces quelques lignes prophétiques extraites du livre de Lucien Jerphagnon, Histoire de la Rome Antique.
Lucien Jerpaghon nous fait revivre l’attitude insouciante et inconsciente des Romains à la fin du IVe siècle, au début des Valentiniens : « Certes, les invasions définitives ne tarderont pas, personne ne le sait encore, ou presque, mais pour ce qui est des fameuses portes, nous avons pu nous rendre compte qu’elles n’étaient plus guère étanches, et qu’un fameux volume de Barbares les avaient déjà franchies sans trop de peine, avec armes, bagages et famille.

(….) Une réserve inépuisable d’humains habitant des climats abominables, cultivant des terres glacées. Ils descendent en quête d’un mieux-vivre, d’un soleil un peu plus chaud, de terres moins rebelles, d’un commerce moins rudimentaire. Et les uns poussent les autres droit devant eux. Gigantesques vagues de populations. (…) Les lendemains se laissaient déjà deviner aux yeux des plus avisés des habitants de l’Empire. Un Ammien Marcellin, un Thémistios, mais ils ne sont pas nombreux à frémir aux premiers signes du désastre. Dans les villes, on continue de s’amuser, du moins quand on est riche. On espère les prochains jeux ; on se passionne pour les courses et, s’il faut croire Salvien, les bordels ne désemplissent pas. Bref, on vit. Ammien Marcellin déplore la légèreté ambiante dans la Rome où il achève ses jours : « Les uns mettent leur point d’honneur à posséder des voitures plus grosses qu’il n’est d’usage, hé oui ! et d’autres des vêtements si luxueux qu’ils transpirent dessous. Pour personne la fin du monde n’est pour demain. Et pourtant… »

Un trop grand nombre de Français ne sont que des soixante-huitards jouisseurs, matérialistes et individualistes qui ne recherchent que leur confort et leur tranquillité, leurs vacances au bord de mer et se « foutent » complètement de la politique, de l’insécurité, des meurtres, de la violence tant qu’elle ne les touche pas directement. Peu leur importe de se laisser envahir tous les nouveaux quinquennats par un minimum de 2 millions d’immigrés, extra -européens en plus ! Peu importe quand viendra la guerre civile inéluctable, quand les immigrés ou leurs descendants s’entretueront un jour ou l’autre avec leurs enfants et/ou leurs petits-enfants ? Ce n’est pas leur problème ! Il faut jouir et vivre dans l’immédiat ! Ces Français sont des consommateurs hédonistes irresponsables et indignes ; en fait ce ne sont plus des citoyens français responsables de leurs devoirs !

ET puis il y a les Français bien intégrés dans la société actuelle, qui voudraient bien que ça change, mais surtout pas de vagues ! Bref, les trouillards dévirilisés, avec la peur qui leur colle à la peau et aux tripes ! Alors on préfère MLP avec ses chats plutôt que le courageux Zemmour beaucoup trop « clivant » et réaliste, pas assez conciliant et doucereux pour leurs chastes oreilles, alors que cela signifierait en fait inefficacité et démagogie ! Malheureusement, selon le proverbe, on ne fait pas d’omelette sans casser les œufs ! Poutine, lui, pour sauver la Russie n’a pas hésité à déclencher une intervention militaire en Ukraine !

ET enfin, il y a les victimes du syndrome de Stockholm, les naïfs, les idiots et les inconscients décérébrés par les médias, l’inéducation nationale, la justice droit-de-l’hommiste, le droit européen. Ils nient les réalités, le danger migratoire, la décadence économique, sociétale, militaire, la faillite qui se rapproche, l’explosion prochaine de la zone euro, d’autant plus que c’est ce que le Système leur rabâche, matin, midi et soir. C’est pourquoi on assiste à la course actuelle au « quoi qu’il en coûte » démagogique entre Macron et MLP pour s’attirer les voix de la gauche ! Macron revient sur la retraite à 65 ans, qu’il n’a toujours pas réalisée !

De Gaulle avait raison et doit se remuer dans sa tombe ! Les Français non patriotes sont des veaux ! Les musulmans d’origine immigrée, eux, n’ont pas perdu le nord ; ils ont voté en masse Mélenchon, selon les conseils de leurs imams et travaillent pour des lendemains encore plus nombreux qui chantent. Quant aux Français patriotes les plus lucides, les plus courageux, ils ne représentent que 30% des Français dans les urnes, mais 23% d’entre eux sont dirigés par une incapable démagogue notoire depuis des années, qui va perdre une fois de plus face au catastrophique Macron ! Les peuples n’ont que les dirigeants qu’ils méritent !

Nonobstant l ’accession de Zemmour, tel Churchill au pouvoir, seules la catastrophe économique, l’explosion boursière, financière, monétaire et sociale à venir que connaîtra Macron pourront peut-être sauver la France !

Marc Rousset

*Auteur de Comment sauver la France/ Pour une Europe des nations avec la Russie

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13 avril 2022 3 13 /04 /avril /2022 10:57

Didier Maïsto : Vote d’une partie de l’électorat Mélenchon pour Le Pen : « Je comprends cette décision »

 

L'ancien président de Sud Radio et soutien de Jean-Luc Mélenchon revient sur la défaite de ce dernier et sur le second tour qui offre un choix cornélien pour l'électorat « insoumis ».

 

Didier Maïsto. Ce sont des sentiments un peu peinés d’avoir porté aussi haut ce programme. Échouer à quelques voix, c’était infiniment faible comme écart. J’en veux beaucoup aux sondeurs qui ont consciemment minimisé le vote de Jean-Luc Mélenchon. La dynamique des derniers jours était excellente, les meetings étaient pleins, que ce soit dans les grandes villes, dans la France périphérique ou dans les campagnes. Ce n’est pas la même chose de présenter Jean-Luc Mélenchon comme le 2e homme que comme « l’homme qui peut battre Emmanuel Macron ». Évidemment, il y a cette déception-là, mais on a semé des graines, on a un programme certes pacifique, mais révolutionnaire à bien des égards. On a creusé un sillon et, maintenant, il faut continuer à creuser et à avancer dans toutes ces belles choses que nous avons défendues.

Macron, c’est le vote des vieux, et Mélenchon, c’est le vote des jeunes qui voient l’espérance.

M.E. Au soir de sa défaite, Jean-Luc Mélenchon a été beaucoup plus clair qu’en 2017. Malgré tout, une partie de ses électeurs semble décidée à voter Marine Le Pen. Et vous ?

D.M. Je comprends cette décision. Il y a une colère immense dans notre pays. Emmanuel Macron n’a eu de cesse, durant son quinquennat, que de semer la haine dans les mots, les actes et les violences extrêmes. Je rappelle toujours : 32 éborgnés, 5 mains arrachées et des centaines de blessures graves à la tête.

Les gens ne peuvent pas se résoudre à repartir dans ce cauchemar pendant cinq ans. Je m’abstiendrai, parce que je ne peux pas appeler à voter Macron. En 2017, j’avais dit que s’il accédait au pouvoir, nous basculerions immédiatement dans le « fascisme soft ». On me l’avait assez reproché à l’époque. D’un autre côté, je ne vais pas non plus appeler à voter Marine Le Pen, en fonction de tout ce que nous avons défendu durant cette campagne. La sagesse est, pour moi, de m’abstenir. Je fais confiance aux citoyens qui voteront en leur âme et conscience. Cela s’appelle la démocratie.

M.E. Quelles différences fondamentales y a-t-il entre Marine Le Pen et Jean-Luc Mélenchon ?

D.M. Je pense que ce qui les sépare, ce sont des grands mouvements de pensée. Si on regarde les choses socialement, on pourrait trouver des convergences dans le programme de Marine Le Pen et de Jean-Luc Mélenchon. Fondamentalement, il y a la question de l’immigration. C’est un Rubicon infranchissable. De plus, pendant  toutes ces manifestations, tous les groupes politiques n’ont eu de cesse de soutenir les forces de l’ordre. Pendant que les gens se faisaient éborgner, le seul groupe politique à l’Assemblée nationale qui s’est élevé avec vigueur contre ces violences policières a été La France insoumise. Cela a laissé beaucoup de traces. Marine a soigneusement évité certains sujets pendant la campagne. Ce sont des points irréconciliables.

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13 avril 2022 3 13 /04 /avril /2022 07:19
    
 
 
 

Pourquoi l’ouverture de l’enquête du parquet national financier sur McKinsey est largement insuffisante

 
 
 
 

Ce mardi 5 avril, dans Marianne, plusieurs magistrats signaient une tribune où ils indiquaient trouver « anormal que le parquet ne déclenche pas d’enquête » à propos de l’affaire McKinsey. Cette prise de parole publique, anonyme pour ne pas contrevenir à leur devoir de réserve, appelait de ses vœux l’ouverture d’une enquête préliminaire par le PNF ou par le parquet de Paris.

Dans cette tribune, les magistrats anonymes dressent la liste de ce qui devrait attirer l’attention de « tout magistrat du parquet » au sujet de l’« intervention des  dans le champ étatique et public ». Cette liste énumère quatre aspects :

- « la régularité de la procédure d’attribution des marchés au regard du Code des marchés publics et du délit de favoritisme » ;

- le questionnement quant à « la réalité des prestations effectuées par le cabinet » ;

- la question du conflit d’intérêts, car « les éventuels liens directs ou indirects avec les cabinets de conseil ne peuvent qu’interroger sur le processus décisionnel ensuite » ;

- et, enfin, la fraude fiscale de McKinsey, par rapport au non-paiement de l’impôt « au regard de son niveau de transfert ».

Ce même jour, Guillaume Peltier, Sébastien Meurant et Stéphane Ravier, trois parlementaires du parti Reconquête, demandaient, au nom de l’article 40 du Code de procédure pénale, au parquet national financier (PNF) de se saisir de l’affaire.

 

Devant la pression de ces deux actions, le PNF a rendu public, mercredi 6 avril au matin, par un communiqué, le fait qu’il a ouvert « une enquête préliminaire, le jeudi 31 mars 2022, du fait de blanchiment aggravé de fraude fiscale » par le cabinet privé McKinsey. Devant Gilles Bouleau et Anne-Claire Coudray,  s’est réjoui, ce mercredi 6 au soir, en déclarant que c’est « très bien que les contrôleurs fiscaux se saisissent d’une affaire quand on dit qu’il y a une entreprise qui aurait fraudé », avant de rappeler que « la Justice ne se saisit pas de l’usage de cabinets de conseil » et que « si c’était excessif en France, on le verrait »

Afin de le voir,  a contacté plusieurs juristes ayant conseillé les parlementaires  qui ont demandé l’autosaisine du PNF, pour qui l’enquête ouverte est « largement insuffisante ». Ils affirment que « les Français peuvent légitimement espérer une extension de l’enquête, pour d’autres acteurs et d’autres chefs d’accusation : favoritisme dans le système d’attribution des lots et violation des règles de la commande publique, escroquerie pour rapports “copier-coller” ou encore détournements de fonds publics ».

En s’appuyant sur le rapport de la commission d’enquête sénatoriale, ces juristes expliquent que ce qui pose question est « le fait que les cabinets de conseil exercent une influence grandissante dans toutes les décisions importantes de l’État », la commission du Sénat parle même d’« emprise tentaculaire », mais aussi le fait que « dans le même temps, certains cabinets privés sont rémunérés pour des prestations vides de sens bien que hors de prix, peut-être d’ailleurs pour rémunérer des activités différentes accomplies par le passé »

L’attention de ces juristes se porte aussi sur « la porosité entre la sphère publique et la sphère privée car il y a un phénomène d’aller-retour entre les cabinets ministériels et les grandes entreprises privées. Le PNF devrait enquêter sur cette gabegie et ce copinage ! » lancent-ils.

McKinsey étant par ailleurs un cabinet américain, il défend les intérêts américains. « Qu’a-t-il fait des données recueillies pendant le confinement, lui qui était chargé d’organiser les rendez-vous médicaux liés au Covid ? » s’interrogent-ils. Là encore, l’enquête étant circonscrite au blanchiment de fraude fiscale de McKinsey, nous n’en saurons rien.

Le PNF se limite donc à une infime partie de l’affaire, ne mettant en cause que McKinsey, et « le président de la République peut dire que devant la Justice, l’État n’y est pour rien, et se cacher derrière son immunité pénale ». La séparation des pouvoir pose question, car « le PNF étant sous le contrôle de la Chancellerie, il ne jouit pas d’une indépendance totale pour décider des poursuites, la Chancellerie représentant le pouvoir exécutif ».

Ces magistrats ayant signé cette tribune dans Marianne et ces juristes espèrent que l’ensemble des chefs d’accusation seront l’objet d’enquêtes par le parquet national financier. Quand on pense qu'il avait été saisi en 24 heures pour l'affaire Fillon..

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12 avril 2022 2 12 /04 /avril /2022 06:11

Zemmour absent du second tour, la désillusion est rude, surtout après avoir écouté ses discours, marqués par le bon sens, une honnêteté magnifique, une culture éblouissante et un superbe amour de la France et des Français. Mais il faut rebondir. Lui-même le demande.

Les différents épisodes de ce premier tour des élections présidentielles sont vraiment étonnants, à plusieurs titres.

Deux grands partis, par des choix ineptes, se sont sabordés avec constance. On aurait pu espérer mieux de la part de ceux qui se présentaient comme les plus intelligents et les meilleurs.

Il est réjouissant de voir Valérie Pécresse abattue, obligée de faire la manche pour le remboursement des frais de campagne, elle chez qui la prétention le disputait à la sottise, tout au long de sa campagne, gnangnan au possible.

Et dans sa honte, elle rejette la responsabilité de son échec sur Macron, tout en appelant à voter pour lui. Facile et contradictoire. Qui disait que les cons, ça ose tout ?

Et ça vole en escadrilles. Dans la même catégorie joue Anne la Dingo avec son 1,7 % de voix. Qu’elle démissionne donc en vitesse de son mandat de maire de Paris paraîtrait un minimum. Cela permettait d’arrêter le massacre de Paris.

Mélenchon caracole en tête, mais c’est oublier que c’est grâce au vote musulman, qui devient menaçant. Car « ils » se mettent de plus en plus en position de nous gouverner.

Que Mélenchon y prenne garde, car à ce moment là, quand ils auront pris le pouvoir, ce qui ne saurait tarder démographie galopante, et laxisme éhonté obligent, ils le renverront dans ses foyers, dont il n’aurait jamais dû sortir.

Les collabos n’ont jamais inspiré confiance à personne, et certainement pas aux gens dont ils lèchent les babouches.

 

Les politiques jouent là leur rôle habituel hélas depuis quelques décennies, veules, courbant l’échine, prédateurs, et « en même temps », toujours prompts à sortir la tête de l’eau même quand ils devraient se laisser couler au fond, avec une pierre autour du cou.

Mais les plus étonnants, pour ne pas dire révulsants, ce sont les électeurs, qui se renient eux mêmes avec application.

Quoi ! 70 % des Français partagent les idées de Zemmour sur le grand remplacement, sur la menace musulmane, mais cela ne les a pas empêchés de voter le contraire. C’est à n’y rien comprendre.

84 % des Français veulent se débarrasser de Macron, mais 28% ont voté pour lui et encore davantage vont le faire au second tour. Macron fait quatre points de plus qu’en 2017. Quelle incohérence chez ce peuple dit cartésien.

Macron parle de reconstruire la France, alors qu’il a lui-même détruit le pays : de qui se moque-t-il, si ce n’est des Français ? Et ils votent encore pour lui ?

Les Français sont des masochistes. Après cinq années de souffrances, d’humiliations, de dénigrement et de mépris de « ceux qui ne sont rien », de baisse des pensions, de blessures gravissimes infligées aux gilets jaunes, de refus de les écouter…

…Après la connivence irresponsable et exorbitantes pour nos finances avec des cabinets de conseil sulfureux, après la vente douteuse de fleurons de notre industrie déjà à l’agonie, l’asservissement à la finance américaine, l’abandon de notre souveraineté, la gestion calamiteuse de la crise sanitaire etc…

…Macron va achever de ruiner les Français avec la hausse vertigineuse de l’essence, du fuel, du gaz et de l’électricité. Avec l’explosion de la dette, cela fait beaucoup.

Tout cela de la part d’un « adolescent pas fini », heureux de se faire photographier en compagnie de gens crades et pas finis non plus, ou de s’afficher avec Benalla, et qui n’a même pas fait campagne, sûr qu’il était de sa réélection et de son impunité.

Macron, c’est le lobby LGBTQ+azertuyop partout, y compris dans les tests d’anglais d’élèves de troisième.

Macron, c’est la justice-mur-des-cons-Dupont-Yéti, qui emprisonne les victimes, laisse impunis les coupables, et désarme la police, désormais livrée sans défense à la guerre des banlieues.

Et les Français en redemandent ! Ils redemandent des phrases criminelles sur la culture française « qui n’existe pas », sur le colonialisme génocidaire. De la part d’un président de la République, c’est un comble.

Ces Français sont peut-être conduits par l’amour de leur porte-monnaie, favorisé par Macron avec la suppression de l’impôt sur la fortune mobilière.

Car Macron, c’est le parti du fric. Il pique l’argent dans la poche des retraités pour le donner aux riches.

On n’a jamais vu autant de petits vieux, très dignes, expliquer que certains jours ils ont de la chance s’ils se nourrissent avec des coquillettes, et qu’ils se chauffent et se soignent de moins en moins.

Il faudrait créer un front républicain contre Macron, le candidat de l’oligarchie,qui accapare tous les grands médias publics et privés via le pouvoir exécutif et via les financiers milliardaires, qui l’ont désigné pour défendre leurs intérêts.

Candidat de l’oligarchie du fric : c’est cela la définition de Macron.

Les Français sont des veaux, ils auront le président qu’ils méritent. Il n’y a pas un gramme de réflexion ou de patriotisme dans leur vote. Pas d’amour de la France, vouée à disparaître à cause de leur attentisme.

Pourquoi élire coûte que coûte un tel pantin, un tel monstre ? Pourquoi cette mascarade, pourquoi ce crime ? Il faut dire que les Français sont lessivés par les journaleux, les medias, la télé, c’est le grand abrutissement avant le grand remplacement.

Il est impossible de ne pas en vouloir à ces Français là, qui font leur lit de l’islam, du collabo-gôchisme, c’est à dire les favorisent plus ou moins tout en les jugeant néfastes. Le proverbe dit : « tel qu’on fait son lit, on se couche… » Alors, tant pis pour eux, serions-nous tentés de dire !

Cependant il faut malgré tout et surtout malgré eux, aider les Français, continuer à essayer de leur faire comprendre qu’avec Macron c’est le malheur dans tous les domaines, et la guerre assurée avec la Russie.

Avec Macron, c’est le suicide français. C’est le monde à l’envers.

Il faut continuer à se battre, et essayer de persuader les Français qu’il faut voter Marine au second tour. Il faut sauver les meubles, il faut lutter avant la fin de la France. L’échéance paraît proche.

Bientôt, il sera trop tard. Dans cinq ans, nous aurons au moins deux millions de plus de musulmans, entrés contre l’avis des Français, plus tous les petits racailleux islamisés qui ayant pris quelques années, seront en âge de voter.

Aux armes, citoyens !

Sophie Durand

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10 avril 2022 7 10 /04 /avril /2022 06:04

Cabinets de conseil : Macron et McKinsey confondus par le Sénat

 

Par Aliénor Barrière

 

 

 

Le #McKinseyGate fait actuellement scandale, et révèle aussi bien l’impuissance des fonctionnaires à être à la manœuvre que la facilité avec laquelle le gouvernement délègue la gestion publique moyennant des sommes faramineuses.

 

La gestion de la crise sanitaire par les cabinets de conseil a été épinglée il y a quelques mois (facture de plus de 40 millions d'euros, 2 168 euros/consultant/jour), mais le rapport du Sénat (Arnaud Bazin, Éliane Assassi) du 16 mars dernier sur l’influence croissante de ces cabinets sur les politiques publiques révèle qu’il s’agit-là d’une logique systémique mise en œuvre dans tous les domaines de l’action publique.

 

Face à ce phénomène tentaculaire, la commission d’enquête soulève deux principales questions : « Notre vision de l’Etat et de sa souveraineté face à des cabinets privés, d’une part, et la bonne utilisation des deniers publics, d’autre part ». 

 

Suite au premier scandale lié à la gestion de la crise sanitaire, le Premier ministre avait adopté une circulaire le 19 janvier 2022 afin d’encadrer le recours public aux cabinets de conseil.

 

Dans le présent rapport, le Sénat juge les mesure prises aussi tardives qu’incomplètes : non seulement l’objectif de réduction des dépenses n’est que de 15%, mais surtout rien n’est proposé au sujet de la transparence des prestations.

 

Il faut dire que les gouvernements d’Emmanuel Macron sont habitués à travailler avec des cabinets de conseil privé avec une augmentation constante (plus du double !) de 2018 à 2021. Rien qu’en 2021, elle a été de 45% :

 

 


Le copinage entre la Macronie et McKinsey

 

Au micro de Radio Courtoisie (Ligne Droite, 21 mars 2022), le magistrat Charles Prats explique le rôle très important des consultants de McKinsey dans la création d’En Marche : les membres de ce cabinet sont à la fois à l’origine de la Macronie, et dans sa mise en œuvre.

 

Ce qui pose problème, c’est cette interconnexion, la perméabilité de ce cabinet avec la Macronie.

 

Cela dit, c’est aussi le cas de Valérie Pécresse : Alexandra Dublanche, sa chef de cellule riposte, est une ancienne de McKinsey, tout comme son directeur de programme, Frédéric Lemoine.

 

Idem pour Laurent Fabius : le président du Conseil constitutionnel a validé la constitutionnalité du pass sanitaire et vacinal élaboré par… son fils, Victor Fabius, directeur de McKinsey.

 

Matthieu Aron, auteur de Les infiltrés, comment les cabinets de conseil ont pris le contrôle sur l’Etat, tient le même discours et relaie l’analyse d’Alain Minc :

 

« Emmanuel Macron ? C’est l’idole des consultants ! Tout simplement parce qu’il est comme eux. Au ministère de l’Economie, il les fait déjà rêver. Il s’habille comme eux, il pense comme eux, il connait leurs codes, les fondements de leurs métiers… ».

 

Matthieu Aron estime donc que : « Si McKinsey est si puissant, c’est parce que Macron est l’idole des consultants. (…) Il conçoit le monde comme les consultants, avec une approche très pragmatique, qui ne se veut pas idéologique, même si elle l’est. Une manière de concevoir le monde par des « process », une approche stylistique qui ressemble un peu à une approche Power Point ».

 

Le problème est donc politique.

 

Résultat de cet état d’esprit : plus d’un milliard d’euros facturés sur la seule année 2021, tout en sachant que la somme exacte est bien supérieure puisque la Sénat n’a interrogé que 10% des opérateurs.

 

Cette somme concerne principalement cinq ministères : l’Intérieur, les Finances, l’Armée, la transition écologique et les ministères sociaux :

 


McKinsey : un recours systématique qui interroge

 

Le recours à ces cabinets est entré profondément dans les méthodes de travail de l’administration : la Direction interministérielle de la transformation publique (DITP) et la centrale d’achat UGAP ont ainsi conclu des accords-cadres qui permettent aux ministères de piocher dans un vivier de consultants dès que l’envie s’en fait sentir, même si les compétences sont déjà en interne.

 

Le Sénat dénonce un « réflexe », même pour les principales réformes du quinquennat, « renforçant ainsi leur place dans la décision publique ».

 

Il alerte sur la relation de dépendance qui s’installe entre l’administration et les consultants, en particulier dans le domaine informatique.

 

McKinsey s’est ainsi occupé de la partie informatique de la réforme des APL pour près de 4 millions d'euros.

 

Loin de rester cloisonnées au sein des administrations qui y font appel, ces méthodes de consulting s’étendent également aux consultations et aux ateliers citoyens : « Une quinzaine d’exemples ont été identifiés entre 2018 et 2021, pour un montant total de près de 10 millions d'euros : concertation sur l’avenir de l’Europe (Roland Berger, 1,7million d'euros), convention citoyenne pour le climat (Eurogroup,1,9 million d'euros), etc. ».

 

Le rapport sénatorial donne un exemple édifiant de l’utilisation des deniers publics : les cabinets INOP’S et Capgemini sont intervenus sur les Etats généraux de la justice en organisant des « ateliers délibératifs » avec 45 citoyens volontaires.

 

Voilà comment cela se passe :

 

« Les participants doivent déposer un post-it sur un paperboard en répondant à la question : « Qu’est-ce qu’est pour vous la justice idéale ? ». Ils procèdent ensuite à la lecture du « nuage de mots » ainsi constitué. A la fin de la journée, ils votent avec des gommettes vertes, jaunes et rouges sur les thématiques qui leur paraissent prioritaires ».

 

Montant de la facture, près d’un million d’euros.

 

D’une façon générale, le Sénat déplore que le gouvernement et l’administration payent des centaines de milliers d’euros par prestation, même lorsqu’aucune suite tangible ne lui est donnée et que les ministères estiment « qu’il n’est pas possible de déterminer les conséquences directes » du rapport des consultants ».

 

L’opacité des prestations de conseil est renforcée par le fait que les cabinets restent « beind the scene » : lors de la crise sanitaire, McKinsey n’utilise pas son propre logo pour rédiger ses livrables mais celui de l’administration ; même chose pour le guide sur le télétravail dans la fonction publique réalisé par Alixio, un sous-traitant de McKinsey.

 

Une chose au moins n’est pas opaque, c’est le 0 perçu par les impôts français : la commission d’enquête du Sénat dévoile qu’entre 2011 et 2020, McKinsey n’a payé aucun impôt sur les sociétés en France.

 

Une information que notre ministre de l’Economie a découvert en lisant le rapport sénatorial. Pourtant, le cabinet a empoché 12 millions d'euros pour suivre la logistique de toute la vaccination en France, pilotée depuis Santé publique France, et ce tout en conseillant également Pzifer, dans un conflit d’intérêt flagrant.

 

L’entreprise pharmaceutique a d’ailleurs accueilli en août 2021 un nouveau directeur de l’innovation, Aamir Malik, auparavant chez McKinsey et ayant participé à la définition de la stratégie vaccinale…

 

Les sénateurs alertent également sur la faiblesse de l’encadrement déontologique.

 

Sont ainsi courants les conflits d’intérêt : la personne responsable au sein de McKinsey de contracter les marchés avec l’administration française est un proche d’Emmanuel Macron, Karim Tadjeddine, le même qui était incapable de détailler le contenu de la note de 500 000 euros pour réformer l’éducation devant la commission d’enquête du Sénat, et qui a menti en prétendant que McKinsey payait bien ses impôts en France.

 

Il y a également une grande porosité, lorsque les cabinets recrutent d’anciens responsables publics (pantouflage), et la pratique du « pied dans la porte », c’est-à-dire lorsque les consultants interviennent gratuitement (pro bono) pour l’administration, essentiellement l’Elysée et Bercy.

 

Le scandale de McKinsey et de la Macronie révèle un copinage au plus haut sommet de l’Etat, doublé d’une optimisation scandaleuse dont les Français sont en définitive les jouets

 

 

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9 avril 2022 6 09 /04 /avril /2022 12:23

Donbass : plusieurs dizaines de morts après des tirs de missiles sur la gare de Kramatorsk

RT en Français, 8 avril 2022, 12:29

Une trentaine de personnes ont été tuées après des tirs de missiles sur la gare de Kramatorsk, attribués à un Totchka-U ukrainien par la République de Donetsk et Moscou. Kiev accuse pour sa part la Russie d'avoir mené cette frappe.

Au moins une trentaine de personnes ont été tuées et 100 blessées le 8 avril après que deux missiles se sont abattus sur la gare de Kramatorsk, dans le Donbass (est de l'Ukraine), par laquelle des milliers de civils sont évacués depuis plusieurs jours. Le patron de la compagnie ferroviaire ukrainienne Ukrzaliznytsia, Oleksandre Kamychine, a évoqué 30 morts et plus de 100 blessés, dénonçant sur sa chaîne Telegram une «frappe délibérée». Les services de sécurité ukrainiens ont annoncé un peu plus tard 39 morts, dont quatre enfants. Edouard Bassourine, représentant de la milice de la République populaire de Donetsk, avait pour sa part fait état plus tôt d'au moins 27 morts dont deux enfants. De son côté, l'AFP, citant un bilan donné par les services de secours, annonçait au moins 35 morts.

L'intérieur et l'entrée de la gare étaient eux couverts de sang, de longues traces s'étendant par endroits sur le trottoir et des rangées de banc étant carbonisées. Sur le parvis devant la gare, les restes d'un missile — un Totchka-U, d'après plusieurs sources — étaient toujours visibles, sur lequel on pouvait lire en russe «Pour nos enfants», selon des images diffusées sur les réseaux sociaux. 

Accusations mutuelles

Selon l’état-major de la défense territoriale de la République populaire autoproclamée de Donetsk, les forces armées ukrainiennes seraient responsables du lancement d'un missile sur le quartier de la gare de Kramatorsk. D'après l'état-major, les fragments d’un missile Totchka-U sont tombés dans les environs immédiats de la gare. Or, «ce système de missiles soviétique obsolète n’est pas en service dans la République populaire de Donetsk, dans la République populaire de Lougansk ou en Fédération de Russie. Il est activement utilisé par les militaires ukrainiens», affirme l’état-major.

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a de son côté dénoncé une attaque qui aurait été déclenchée par la Russie. «Sans la force et le courage de nous affronter sur le champ de bataille, ils détruisent cyniquement la population civile. C'est un mal qui n'a pas de limite. Et s'il n'est pas puni, il ne s'arrêtera jamais», a-t-il affirmé sur Instagram, en dénonçant des dénonçant les méthodes «inhumaines» des forces russes. Sur Instagram, il a lui aussi affirmé qu'il s'agissait d'un Totchka-U.

L'armée russe a plus tard également démenti avoir effectué une quelconque mission de tir dans la ville de Kramatorsk le 8 avril, dénonçant une «provocation» des forces de Kiev. «Toutes les déclarations des représentants du régime nationaliste de Kiev sur le fait que la Russie a mené une attaque de missile contre la gare ferroviaire de Kramatorsk sont une provocation et ne correspondent pas à la vérité», a en effet réagi le ministère russe de la Défense.

«Nous tenons à souligner que les missiles tactiques Totchka-U dont les fragments ont été retrouvés près de la gare de Kramatorsk et dont les images ont été publiées par les témoins oculaires ne sont utilisés que par les forces armées ukrainiennes», peut-on encore lire dans le communiqué. 

La ville de Kramatorsk, située dans le Donbass, était sous le contrôle de Kiev mais la République populaire autoproclamée de Donetsk (reconnue par la Russie) la considère comme faisant partie de son territoire.

Un missile similaire à celui ayant frappé le centre ville de Donetsk

La République populaire autoproclamée de Donetsk avait déjà mis en cause, mi-mars, le même type de missile dans une attaque attribuée à l'Ukraine sur le centre ville de Donetsk mi-mars.

«Le 14 mars 2022, un missile Totchka-U similaire, tiré par un bataillon de la 19e brigade autonome de missiles des forces armées ukrainiennes a frappé le centre de Donetsk, tuant 17 personnes sur place et blessant 36 autres civils», rappelle ainsi la Défense russe dans son communiqué.

A l'époque, le porte-parole du ministère russe de la Défense avait qualifié l'attaque, dont la responsabilité est contestée par la partie ukrainienne, de «crime de guerre».

 

Source : https://francais.rt.com/international/97662-donbass-plusieurs-dizaines-morts-tirs-missiles-gare-kramatorsk

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8 avril 2022 5 08 /04 /avril /2022 20:06

 

Ce que l’on sait du bombardement russe de la gare de Kramatorsk, dans l’est de l’Ukraine

 

 ce vendredi 8 avril sur la gare de Kramatorsk, dans le Donbass, où les civils se pressaient pour fuir l’est de l’Ukraine, cible des forces russes, un massacre « inhumain » dénoncé par le président Volodymyr Zelensky.

A Borodianka, « si nos soldats ne s’étaient pas battus rue après rue, Kiev serait prise… »

Cette frappe sanglante intervient alors que l’indignation internationale était déjà forte à la suite des images d’atrocités dont a été accusée l’armée russe après son retrait des localités qu’elle occupait autour de Kiev, notamment à Boutcha. « L’Obs » fait le point

Un lourd bilan

C’est la gare de Kramatorsk, « capitale » du Donbass sous contrôle ukrainien, qui a été la cible de l’attaque. Les services de secours ont évoqué au moins 50 morts, dont cinq enfants et 98 blessés, qui ont été hospitalisés. Selon le gouverneur de la région, Pavlo Kyrylenko, 38 personnes ont été tuées « sur place » et 12 autres sont décédées des suites de leurs blessures.

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Des journalistes de l’AFP sur place ont vu au moins trente corps dans des sacs mortuaires devant la gare, utilisée pour l’évacuation des populations civiles de la région.

Dans les faubourgs de Kiev, la désolation et la barbarie dans le sillage de la retraite russe

Des valises abandonnées jonchaient les quais et les alentours de la gare, les trottoirs étaient maculés de traces de sang. Sur le parvis, se trouvaient encore les restes d’un missile, sur lequel on pouvait lire ces mots écrits en russe : « Pour les enfants ».

Une attaque « abominable »

Le président Zelensky a dénoncé un « mal sans limite » déchaîné par la Russie et des méthodes « inhumaines »« Sans la force et le courage de nous affronter sur le champ de bataille, ils annihilent cyniquement la population civile. C’est un mal qui n’a pas de limite. Et s’il n’est pas puni, il ne s’arrêtera jamais », a-t-il écrit sur Telegram.

Le chef de la diplomatie de l’UE Josep Borrell, en route pour Kiev avec la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen, a « condamné fermement » une « attaque aveugle ».

Dans les rues de Boutcha, des scènes de barbarie après le retrait de l’armée russe

Emmanuel Macron a dénoncé sur Twitter l’attaque « abominable » qui a coûté la vie à plusieurs dizaines de personnes à la gare de Kramatorsk, dans l’est de l’Ukraine. « Les civils ukrainiens fuient pour échapper au pire. Leurs armes ? Des poussettes, des peluches, des bagages. Ce matin, gare de Kramatorsk, les familles qui allaient partir ont connu l’horreur. Des morts par dizaines, des blessés par centaines. Abominable », a réagi le président français.

De son côté, le Premier ministre britannique Boris Johnson a annoncé renforcer l’aide militaire britannique à l’Ukraine, avec l’envoi de missiles antichars et antiaériens, après l’attaque « inconsciente » contre la gare de Kramatorsk. « Les crimes de la Russie en Ukraine ne resteront pas impunis », a averti le dirigeant britannique lors d’une conférence de presse avec le chancelier allemand Olaf Scholz, qui a dénoncé de son côté des bombardements « épouvantables ».

Moscou accuse l’Ukraine

Moscou a immédiatement démenti être responsable de l’attaque, affirmant ne pas disposer du type de missile qui aurait été utilisé, et dénonçant une « provocation » ukrainienne. La Russie a accusé les forces armées ukrainiennes d’avoir délibérément tiré un missile sur la gare bondée.

Chars calcinés et obus abandonnés… A Novaya Basan, libérée des Russes par l’armée ukrainienne

« Le but de la frappe orchestrée par le régime de Kiev sur la gare ferroviaire de Kramatorsk était d’empêcher le départ de la population de la ville afin de pouvoir l’utiliser comme bouclier humain », a accusé le ministère russe de la Défense, assurant que le missile avait été tiré depuis la localité de Dobropillia.

Un argument déjà employé pour démentir les accusations d’exactions et crimes de guerre, notamment à Boutcha, à 30 kilomètres au nord-ouest de Kiev, bombardée puis occupée un mois par des soldats russes, et où des dizaines de cadavres vêtus en civil, dont certains les mains liées dans le dos, ont été découverts après leur départ.

Le ministère russe de la Défense avait indiqué plus tôt dans la journée que l’armée russe avait détruit avec des missiles de haute précision « des armements et équipements militaires dans les gares de Pokrovsk, Sloviansk et Barvinkove », localités toutes situées non loin de Kramatorsk.

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8 avril 2022 5 08 /04 /avril /2022 12:43
 
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Depuis des mois, au Rassemblement national, on considère que le candidat qui l’emportera sera celui, ou celle, qui suscitera « le moins de rejet ». Les mêmes ont aussi analysé dès la rentrée 2021, que Marine Le Pen, si elle se qualifie, arriverait au second tour en position nettement plus favorable qu’en 2017, grâce, notamment, à la réserve de voix constituée par l’électorat d’Éric Zemmour. L’analyse des reports de voix entre le premier et le second tour confirme cette tendance : les électeurs Zemmour voteraient bien en majorité pour Marine Le Pen (plus exactement 72 % pour Marine Le Pen contre 9 % en faveur d’Emmanuel Macron et 19 % d’abstention).

Par ailleurs, les reports de voix sont catastrophiques pour le président sortant, notamment à gauche. A peine un électeur « insoumis » sur trois (35 %) – parmi ceux certains de voter le 24 avril – a l’intention de choisir un bulletin Emmanuel Macron. Les « insoumis » seraient 22 % à lui préférer Marine Le Pen au second tour et 43 % à s’abstenir. Les électeurs de Yannick Jadot et d’Anne Hidalgo sont eux aussi très tentés par l’abstention en cas de duel Macron/Le Pen, et un sur deux pensent choisir Macron.

Chez LR, c’est sans appel : seulement 42 % des électeurs de Valérie Pécresse s’apprêtent à voter Macron. Un tiers d’entre eux pourraient s’abstenir et 24 % indiquent préférer voter Marine Le Pen – soit une voix sur quatre d’un électorat déjà largement siphonné par Eric Zemmour. L’institut d’études d’opinion Odoxa résume : “« Il y a cinq ans, le “front républicain” avait déjà pris du plomb dans l’aile par rapport à 2022, mais il existait encore. Désormais il est mort. »”

Autre basculement : les Français qui voteront pour faire barrage à l’une ou l’autre sont désormais plus nombreux à vouloir faire barrage à Emmanuel Macron (19 %) qu’à Marine Le Pen (18 %). Ce n’est qu’un point d’écart, mais il est fort symbolique

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8 avril 2022 5 08 /04 /avril /2022 12:36

https://odysee.com/@STRATPOL:0/bulletin77:c

 

voir absolument ce bulletin  en cliquant ci-dessus si vous souhaitez comprendre ce qui se passe en UKRAINE!  

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