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27 novembre 2023 1 27 /11 /novembre /2023 09:05

Police et racailles agressent les patriotes : nous n’avons plus le choix…

Hier soir à Romans-sur-Isère, la ville d’où venaient les tueurs de Thomas, a eu lieu une manifestation de jeunes identitaires. Entre 50 et 100 manifestants qui ont eu le courage d’aller manifester au cœur même de la cité de « La Monnaie ».

Et que croyez-vous qu’il arriva ?

On a vu la police, pas n’importe quelle police… l’élite de la police antiémeute, la célèbre CRS8, être envoyée sur place par Darmanin pour s’opposer aux manifestants, les disperser brutalement et procéder à des arrestations. Environ une vingtaine, qui sont en garde à vue.

Et comme si cela ne suffisait pas, on vit aussi, de manière absolument symbolique, les racailles de cette cité s’attaquer également aux manifestants, en attraper un, l’agresser et le blesser gravement. Il est à l’hôpital dans un état grave, heureusement sans que sa vie soit en danger.

Les racailles et la police de Darmanin, ensemble, contre les Français qui défendent leur pays et son peuple. Quel symbole !

Ce message d’un jeune identitaire résume parfaitement les choses :

https://twitter.com/chris_jonescj/status/1728673280444207347

Avec l’assassinat de Thomas, il s’est passé quelque chose qui est en train de changer radicalement la donne.

Les Français sont en train de comprendre que si nous laissons faire, notre disparition est proche.

Depuis l’affaire Merah, à chaque acte anti-français ou attentat terroriste, quasiment tous réalisés par des islamistes, on nous a dit : « pas d’amalgame », « pas d’islamophobie », mettez des nounours et des bougies, faites des marches blanches, dites « vous n’aurez pas ma haine ». Mais ne vous révoltez pas contre les auteurs, sinon c’est raciste et islamophobe.

Les Français sont tombés par centaines. Environ 1 000 en 10 ans depuis Mohammed Merah.

À Crépol, une fois de plus, un jeune Français est tombé… sous les coups de couteau d’un « Français, habitant en centre-ville » ont dit les autorités, la plupart des journalistes, les bien-pensants et la « gauche ».

Mais le « Français de centre-ville » et ses complices ont tous des noms «nord-africains» et il se trouve qu’après leur crime ils ont été arrêtés à Toulouse, en train de fuir vers l’Espagne direction le Maghreb.

Drôles de Français en vérité.

Des « Français de papier », présents sur notre sol pour les avantages que cela procure mais détestant notre pays ainsi que son peuple et n’hésitant pas à poignarder au passage certains habitants, comme Thomas.

J’avoue être très étonné de l’incroyable clarté de la situation. Ceux qui ne voient pas les choses, c’est juste qu’ils ne veulent pas les voir.

Au plan général, notre société telle que nous la connaissions quelques décennies en arrière est en train d’agoniser, ravagée par les conséquences de son américanisation depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale.

Nous étions le pays de la cuisine la plus raffinée. Nos nouvelles générations sont éduquées à « bouffer » du Mc Do et ne comprennent plus rien à la « bonne cuisine » et aux « bons vins ».

Nous étions le pays de la galanterie et des mœurs courtoises vis-à-vis des femmes. Nous sommes aujourd’hui un pays où tant de femmes vomissent leur haine des hommes et de la galanterie, hommes qui sont devenus l’ennemi à abattre.

Nous étions un pays où la famille était une institution traditionnelle et respectée. Nous sommes aujourd’hui un pays où cette institution est devenue le symbole de ce qu’il faut détruire : le patriarcat avec sa figure de proue, l’homme blanc, hétérosexuel de plus de 50 ans.

Nous étions un pays au passé glorieux et fier de lui, qui comptait dans le monde. Nous sommes aujourd’hui un pays qui pleurniche et se lamente en permanence, demandant pardon à tout le monde et votant même des Lois « mémorielles » pour graver dans le marbre notre repentir et notre déchéance.

Nous étions un pays où l’on aidait, grâce à la science, les couples ayant des difficultés à avoir des enfants (Amandine). Nous sommes maintenant un pays qui est en train de sombrer dans des pratiques n’ayant plus aucune éthique ni morale (avortement jusqu’aux derniers jours pour raisons psychologiques, PMA et bientôt GPA).

Nous étions un pays où les homosexuels n’étaient pas persécutés. Nous sommes aujourd’hui un pays persécuté par les LGBTQIA+ qui nous imposent une dictature des minorités.

Nous étions un pays cultivé et amoureux des beaux arts. Nous sommes aujourd’hui un pays qui en est à vérifier qu’il y a bien des « Noirs » – et en nombre suffisant – dans un ballet, dans un orchestre ou dans un film, une publicité ou un spectacle. Quant aux Blancs, ils sont insultés, salis, vilipendés et même agressés simplement parce qu’ils sont blancs. Bref nous avons sombré dans un racisme anti-blanc.

Nous avons adopté toutes les tares de la société américaine et sa dégénérescence, incarnée par le wokisme qui se repend et se développe partout comme un cancer qui métastase.

L’Union européenne soutient entièrement cette dérive mortifère et même l’encourage largement. En sa qualité de structure mondialiste, elle fait la promotion de tout ce qui va dans le sens de la destruction des nations, des peuples, des identités, c’est-à-dire de notre civilisation.

C’est pour cela qu’elle fait la promotion de l’islam, du voile islamique, des LGBTQIA+ et du wokisme. C’est pour cela qu’elle a comme projet sa transformation prochaine en État européen en lieu et place de nos nations, dont certaines comme la nôtre sont millénaires.

Les seuls pays d’Europe qui ont échappé à cette incroyable dégringolade, ce sont les pays de l’ancien bloc soviétique. Ceux qui étaient à l’Est du « rideau de fer » ont échappé à l’américanisation de notre société.

Les valeurs qui étaient les nôtres sont encore les leurs. Ils y tiennent d’ailleurs et les défendent.

Ils résistent et n’acceptent pas que l’Union européenne les oblige à se transformer comme nos malheureux pays qui ont eu la mauvaise idée de se trouver à l’Ouest du « rideau de fer ».

Jusqu’à présent, la règle de l’unanimité était de rigueur au sein de l’Union européenne. Elle permettait à un pays jugeant telle ou telle disposition contraire à ses intérêts de la bloquer. Le projet de transformation dont j’ai parlé dans mon article d’hier sur l’Europe va changer la donne. La règle de l’unanimité va sauter. Il suffira d’une majorité et tous ces pays qui aujourd’hui résistent et s’opposent vont devoir adopter cette américanisation et leur déchéance programmée.

À moins qu’ils ne s’insurgent et se révoltent…

C’est exactement comme nous en France. Le meurtre de Thomas vient de donner un coup de projecteur qui fait que tout le monde a vu la réalité crue.

Tout le monde a vu qu’il n’y a pas eu de minute de silence pour Thomas à l’Assemblée nationale.

Tout le monde a vu que M’Bappé n’a pas dit qu’un « petit ange nous a quittés ».

Tout le monde a vu qu’Antoine Dupont, rugbyman et capitaine comme Thomas, n’a pas fait de déclaration. Il avait dit en 2022 qu’il fallait faire barrage au fascisme, mais en 2023 il ne dit pas qu’il faut faire barrage à l’immigration et aux tueurs qui en viennent.

Tout le monde a vu que la FFR a mis plus d’une semaine avant de faire respecter une minute de silence ou d’applaudissements au début de chaque match de rugby du top14.

Tout le monde a vu que très rares ont été les hommes politiques qui ont condamné l’assassinat de Thomas.

Tout le monde a vu qu’ils étaient légion à dire qu’il s’agissait d’une simple rixe.

Tout le monde a vu qu’ils étaient fort nombreux à dire que les auteurs étaient « français », cachant soigneusement les identités et les origines des agresseurs.

Tout le monde a vu que le Premier ministre a appelé à la « décence » et donc à ne pas manifester sa colère face à cet acte révoltant.

Tout le monde a vu… et c’est justement ce qui a changé.

En Irlande aussi ils ont vu. Ils ont vu un homme algérien « planter » à coups de couteau deux personnes et trois enfants à la sortie d’une école.

Et ils se sont révoltés. Une manifestation spontanée s’est dirigée vers le quartier d’où venait le tueur. Des affrontements ont eu lieu.

Les médias et de nombreux commentateurs ont eux vu, à la place de la population irlandaise en colère, des extrémistes de droite. Mais bien sûr…

Tout comme à Romans hier, nombreux ont été ceux qui ont vu « l’ultra-droite » manifester. Ce qui prouverait que la France est en danger. Pas du fait de l’immigration folle et des tueurs qui en sortent. Non le plus grave danger c’est que des Français se lèvent pour dire STOP. Des gens d’extrême droite qui menacent la France du fascisme.

Tout cela ne marchera plus très longtemps. Depuis des années les gens sont culpabilisés par ceux qui veulent qu’on accepte sans rien dire. Pendant des années, les gens se sont laissé influencer et ont accepté ces arguments culpabilisants. Ils se sont tus.

Mais depuis la mort de Thomas, il y a eu un déclic. Les gens ont vu et cette fois les gens ont compris. Les gens savent que tout ce qu’on leur dit ne vaut pas tripette.

À Romans comme en Irlande, comme au Danemark et en Suède, comme en Hollande et dans tant d’autres pays d’Europe, les peuples se lèvent et se révoltent. Ils en ont assez de subir et refusent de disparaître.

Ils ont tous compris que le choix est simple : se laisser envahir, se laisser voler, agresser et poignarder en acceptant de se taire, se laisser remplacer, laisser notre pays, notre culture, notre identité disparaître… ou refuser et se révolter.

Ohé Damien Rieu, ne vois-tu pas que les « petits gars en noir » manifestant à Romans nous montrent leur courage, leur patriotisme et la voie à suivre ? Ne vois-tu pas que nous devons nous mettre tous ensemble dans ce combat pour sauver notre pays, son peuple et sa civilisation ? Sans écarter personne dans le camp patriote.

Ohé Marine, ohé Jordan, ne voyez-vous pas qu’innombrables sont les Français qui attendent que, même si vous avez des divergences, vous fassiez l’unité avec les autres patriotes (Reconquête, Debout la France, Les Patriotes, le Parti de la France…) afin de chasser toute cette classe politique au pouvoir qui fait depuis des années et des années le malheur de la France et l’emmène inexorablement vers sa perte ?

Quant aux Français, l’heure a sonné.

Il faut répondre à tous les appels à la mobilisation. Il faut, comme en Irlande, au Danemark et en Suède, dire stop à cette immigration délirante, stop à toutes ces violences dont nos compatriotes sont victimes, stop aux projets de l’Union européenne qui veulent détruire nos nations.

Mobilisons-nous… l’heure a sonné.

Bernard GERMAIN

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27 novembre 2023 1 27 /11 /novembre /2023 08:53
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27 novembre 2023 1 27 /11 /novembre /2023 08:44

Meurtre de Thomas : 6 mises en examen mais toujours pas de motif raciste antiblanc retenu…

 

Une semaine après le meurtre de Thomas à Crépol, dans la Drôme, neuf personnes soupçonnées d’avoir participé à l’attaque mortelle le soir du bal du village ont été mises en examen par un juge d’instruction de Valence, samedi soir, pour différents chefs dont « meurtre en bande organisée », « tentative de meurtre » ou « violences volontaires commises en réunion ». Les six majeurs se nomment Chaïd A., Yasir, Mathys, Fayçal, Kouider et Yanis.

 

Six personnes dont deux mineurs ont été incarcérés en détention provisoire par le juge des libertés et de la détention. Trois personnes dont un mineur ont été placées sous contrôle judiciaire.

Selon Le Figaro : « La grande partie des suspects sont originaires de la petite cité de la Monnaie, à l’est de Romans-sur-Isère. Ils feraient tous partie de la même bande d’une trentaine de jeunes qui compte en son sein des amateurs de rodéo urbain et des petites mains de dealers. »

Mais la circonstance aggravante du motif raciste de l’attaque et du meurtre ne semble toujours pas être retenue contre les mis en examen…

  • Malgré les récits des témoins de l’assaut contre la salle des fêtes de Crépol :

« J’ai vu mon pote Thomas se faire poignarder, j’ai eu peur, je suis retourné dans la salle. J’ai vu un autre pote à moi se faire planter dans le dos, j’ai compressé sa blessure pour faire un garrot, il a été touché au rein. C’était l’horreur. Les agresseurs ont dit : « On est là pour planter des Blancs ! » (Le Dauphiné Libéré)

« Ils étaient une trentaine, d’après les amis de ma fille, raconte une habitante des environs. Ils criaient : « On va tuer du blanc ». (Paris Match)

  • Et malgré vingt enquêteurs de la section de recherche de Grenoble mobilisés, qui ont procédé à près de 140 auditions et déjà plus d’un millier de procès-verbaux ; et que neuf personnes auditionnées ont fait état d’avoir entendu « des propos hostiles aux Blancs » :

Des cris et des insultes sont entendus : neuf témoins ou victimes entendent des propos hostiles « aux blancs ». Douze témoins ou victimes relatent avoir entendu « ça plante », cinq évoquent des menaces de morts. (francetvinfo.fr)

Et il s’agit d’une « omission » parfaitement assumée par le parquet chargé des poursuites (donc le ministère de la Justice avec à sa tête Dupont-Moretti…), puisque le procureur de la République Laurent de Caigny  a déclaré le 25 novembre au Parisien :

« Le scénario même des passages à l’acte, les mobiles et l’identification de tous les auteurs des faits ne sauraient se résumer à des dénonciations sans preuve, des spéculations ou des interprétations hâtives »

Et :

« À ce stade de la procédure, alors que les mobiles et les motivations des agresseurs ne sont pas clairement établis, les éléments recueillis ne sont ni suffisants ni déterminant juridiquement pour retenir que les faits ont été commis « à raison de l’appartenance ou sa non-appartenance, vraie ou supposée, à une prétendue race, une ethnie, une nation ou une religion déterminée » précise le procureur de Valence.

Le racisme antiblanc, le seul racisme jamais poursuivi. Les victimes blanches, les seules victimes jamais reconnues comme « victimes du racisme ».

Pas un genoux à terre ! Justice pour Thomas et toutes les victimes du racisme antiblanc !


Voir aussi :

Crépol : « On est là pour planter des Blancs ! » Foutons-les dehors !

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25 novembre 2023 6 25 /11 /novembre /2023 11:46
- Le bulletin nmr 163 sur le bras de fer OTAN-Russie en Ukraine de Xavier Moreau. "Zélenski et le 7ème chaudron". La Russie reste maître du jeu et des horloges. On se croirait presque dans un épisode d'Astérix avec le titre de cet épisode.
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24 novembre 2023 5 24 /11 /novembre /2023 14:13

Lettre ouverte, à Madame la Préfète de la région Auvergne-Rhône-Alpes,

Madame,

Une absurdité technique* empêche de vous écrire, depuis le site internet institutionnel de votre région. Donc avec la déférence due à votre fonction de représentante de l’État, mais sans langue de bois, je vous faire part de ma colère et de mon indignation.

ICI

Vous avez interdit le rassemblement prévu mercredi 22 novembre à 19 heures à Lyon, en hommage au jeune Thomas. À Crépol, dans la Drôme, faisant partie de votre région, ce jeune homme a été assassiné par une horde de déchets nazislamistes, cherchant à imiter leurs idoles sanguinaires nuisant au sud d’Israël. Heureusement, là-bas, les Israéliens se sont enfin décidés à les détruire, jusqu’au dernier, n’en déplaise au président de la République.

Vous motivez cette interdiction par crainte de désordres et de slogans racistes. Madame, en juin dernier, suite à l’éradication d’une racaille à Nanterre, le pays a subi cinq jours d’émeutes, quantité de blessés, et des milliards d’euros de dégâts. Par-dessus le marché, ceux chargés de représenter les citoyens français à l’Assemblée nationale se sont couverts de honte en faisant une minute de silence, “en hommage” à la racaille éliminée. Cette racaille multirécidiviste, aurait dû se trouver en prison. Mais elle était laissée en liberté par des …** Quels que soient les crimes commis, ces… sont d’une mansuétude hors norme pour les congénères de la racaille en question, mais ils sont toujours d’une extrême sévérité contre ceux qui se plaignent précisément des racailles. Or, contrairement aux émeutiers de juin, ceux qui réclament des sanctions plus sévères contre les criminels et les assassins sont des citoyens respectueux de l’ordre public. Pourtant, vous avez fait déployer un imposant service d’ordre pour parer au non-respect de votre interdiction.

Comment ne pas être perplexe, euphémisme, alors que dans votre région, en particulier à Lyon, nous avons régulièrement écho de débuts d’émeutes causées par des extra-Européens. Quoique, faute de vouloir réprimer les manifestations interdites, le pouvoir les a “courageusement” autorisées. C’est ainsi qu’en l’honneur de l’atroce pogrom du 7 octobre, des dizaines de milliers de supporteurs des déchets nazislamistes ont pu hurler leur haine antijuive dans plusieurs villes de France. Sans doute l’antisémitisme est-il un fléau moins important que ladite “islamophobie”, tant redoutée par le pouvoir que vous représentez. C’est ce que laisse penser le président de la République, ne s’étant pas rendu à la marche du 12 novembre. Madame la Préfète de région, je vous pose la question, mais je la pose à tous les dirigeants de la France : “Depuis l’automne 2000, combien de musulmans ont-ils été assassinés en France par ceux que la vermine propagandiste appelle “extrémistes de droite” ? J’ai trouvé le nombre “zéro”. Pourtant, c’est toujours cette fantomatique “extrême droite” qui fait l’objet du maximum de mesures répressives. A contrario, depuis la même date, combien de citoyens français ont-ils été assassinés par des déchets nazislamistes ? Serait-ce indécent d’énumérer les assassinats, certains de masse, Nice, Bataclan, etc. Certes, les … et les propagandistes peuvent continuer à les appeler “déséquilibrés”, “loups solitaires”, ou ce qu’ils voudront, ils sont et ils restent des déchets nazislamistes qui n’ont légalement (OQTF) pas le droit de polluer notre pays.

Bien sûr, votre fonction vous oblige à exécuter les directives du pouvoir. Mais vous obligeait-elle, en 2016, dans le Pas-de-Calais, à évoquer la tradition culturelle pour expliquer les incendies qu’allumaient les clandestins ?

ICI

Madame le Premier ministre s’est exprimée sur cette attaque tragique. Son principal souci c’est, en effet, d’éviter la récupération. Récupération par qui ? Certes, les propagandistes des médias, formatés depuis un certain 30 septembre 2000, réduisent cet acte raciste, anti-Français, à un simple fait divers. Et eux le disent, ils veulent éviter la récupération par l’extrême droite. Madame la Préfète, depuis ce fameux 30/09/2000, tous ceux qui remarquent à haute voix l’origine extra-européenne, ou plus franchement, l’origine musulmane des très nombreux criminels, sont systématiquement qualifiés “d’extrême droite” par les propagandistes. C’est pour cette raison que je les appelle “propagandistes”. L’audiovisuel public et un quotidien du soir qui fit référence (il y a plus de soixante ans) sont à la pointe des mensonges servis à nos concitoyens. En omettant les tabloïds scabreux, et les télévisions confidentielles, destinés aux endoctrinés confirmés.

Madame la Préfète, le peuple argentin vient d’élire un président qui appelle les choses par leur nom. En particulier, les assassins nazislamistes. Nos voisins Néerlandais ont élu, il y a quelques heures, le parti PVV et son président, Geert WILDERS. Depuis 2001 (avec le documentaire “Fitna”), il dénonce le nazislamisme. Si vous aimez votre pays, pourquoi en douterais-je, dans la mesure des possibilités de vos fonctions, en attendant d’avoir enfin de pareils dirigeants en France, évitez d’accabler ceux qui se plaignent des nazislamistes.

Avec l’expression de ma haute considération,

Charles DALGER

*Le formulaire exige de choisir un thème dans une liste, mais la liste est vide
**Je refuse d’appeler “juges” ces individus malveillants qui suivent leur idéologie perverse à l’encontre de l’équité et même du droi
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24 novembre 2023 5 24 /11 /novembre /2023 13:38

Crépol. Faux quartiers populaires contre vrais bals populaires

 

 PAR POLÉMIA | 22 NOVEMBRE 2023 | SOCIÉTÉ

Par Pierre Boisguilbert Les faits se sont déroulés vers 1 h 30 dans la nuit de samedi à dimanche, à la salle des fêtes de Crépol, dans la Drôme. « Au milieu de la nuit, un groupe d’individus extérieurs à Crépol » ont cherché à rejoindre « une soirée privée » dans la salle des fêtes de la commune, dont ils se sont vu interdire l’entrée par un vigile, a expliqué à l’AFP le procureur de Valence, Laurent de Caigny. France Bleu évoque « une bande d’une dizaine de jeunes ».

« Le Paraguay n’est plus ce qu’il était », chante Sardou dans un titre magnifique et peu connu… Quant aux « Bals populaires », l’un de ses plus grands succès du début de carrière, on voit à Crépol-Douce France ce qu’ils sont devenus. Même dans notre hymne national, on voit que, quand on entend dans les campagnes l’égorgement des fils et des compagnes, c’est le pays qui est en danger. On en est là.

Les bals de village sont de moins en moins nombreux en France, certaines localités y ont renoncé face à la multiplication des rixes. Mais, là, il ne s’agit pas d’une rixe entre jeunes du coin éméchés, mais d’une attaque d’une salle des fêtes par une bande organisée avec un plan pour tuer. C’est un vrai bal populaire à la française, admirablement ringard sans doute, qui a été la cible d’égorgeurs déterminés. La cible de jeunes venant d’une ville voisine. On parle de jeunes issus de quartiers populaires. Les quartiers populaires ne sont plus ce qu’ils étaient, eux non plus. Ils sont une expression de la novlangue pour désigner des quartiers où le peuple d’origine est chassé ou remplacé par une pullulation souvent française, d’ailleurs, mais issue de l’immigration arabo-musulmane. De faux quartiers populaires attaquent de vrais bals populaires, un résumé de notre situation. Dans ce bal, « une bande est venue pour tuer des gens », a déploré Mme le maire de Crépol, Martine Lagut, dans les colonnes du Dauphiné libéré. « Ils n’étaient pas venus pour s’amuser mais pour faire du mal », a-t-elle ajouté. « Au début, j’ai cru que c’était une attaque terroriste », a témoigné dans le même journal une retraitée vivant à côté de la salle des fêtes.

On ne peut pas vraiment parler de terrorisme, mais sans doute de crime de haine. De crime de haine de la France charnelle, traditionnelle, du rugby et pas du foot, du flonflon et pas du rap, de la campagne où l’on travaille pour survivre et pas du béton dont l’on soutient les murs entre deux séances de musculation payées par la commune et de vente de stupéfiants en quasi-impunité.

Pour les faits eux-mêmes, il faut rester prudent. Pour autant, précise le parquet, rien ne permet de dire que les suspects sont une bande organisée venue d’un seul et même endroit. « Il est cependant faux d’affirmer que le groupe hostile serait composé d’individus tous originaires de la même ville et du même quartier », avance le procureur de Valence, précisant que les liens entre les suspects possibles et en cours d’identification ne s’apparentent pas à une « logique de territoire ». Trois jours après le drame, nombre d’habitants, proches de Thomas et élèves qui le côtoyaient au lycée du Dauphiné affirment que les auteurs viennent du quartier de la Monnaie, une cité située à quelques encablures du lycée et souvent théâtre de trafics et règlements de comptes.

Quoi qu’il en soit, le jeune Thomas est mort victime d’un crime de haine qui touche de plus en plus de jeunes Français, victimes des coups de lames en bandes organisées. Entendez-vous dans nos campagnes…

Pierre Boisguilbert
22/11/2023

 

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24 novembre 2023 5 24 /11 /novembre /2023 01:52

«On est là pour tuer les Blancs» : dans le Dauphiné libéré, des amis de Thomas racontent le raid mortel à Crépot

 

 

Des amis de Thomas racontent le raid mortel à Crépol© Figaro Live

 

Deux heures du matin. La dernière musique est lancée dans la salle des fêtes de Crépol (Drôme). «Thomas était dehors en train de fumer. Il était juste sorti parce que c’était la fin de la soirée. Thomas, ce n’était pas forcément celui qui danse avec nous», se souvient une adolescente. Le jeune homme de 16 ans a été tué dans la nuit du samedi 18 au dimanche 19 novembre, dans l’attaque d’un bal de village. L’adolescent, joueur de rugby, a été poignardé et est décédé de ses blessures alors qu’il était en route pour l’hôpital de Lyon (Rhône). Dix-huit personnes ont été prises en charge dont quatre blessées arme blanche. Deux ont été hospitalisées en urgence absolue à l'hôpital de Lyon, mais leur état s'est stabilisé lundi à la mi-journée. Mardi, neuf individus, soupçonnés d'avoir débarqué armés dans la fête de village, ont été interpellés et placés en garde à vue. Parmi eux, le meurtrier présumé. Dans un podcast diffusé par Le Dauphiné Libéré , de jeunes participants à la soirée, en grande partie des amis de Thomas, reviennent sur cette nuit tragique

«Nous étions entre copains pour s'amuser à un bal, rigoler, chanter, boire au bar. On ne pensait vraiment pas que ça tournerait comme ça. Des individus sont venus, tard, un peu avant la fin», raconte le premier à prendre la parole qui présente Thomas comme son «meilleur pote»«Ici, tout le monde se connaît. Mais personne n’a su reconnaître les assaillants»«entre 15 et 20», affirme une adolescente. Selon certains témoins, ils viendraient du quartier de la Monnaie, à Romans-sur-Isère, commune située à une quinzaine de kilomètres du lieu du drame et où était scolarisé Thomas.

Selon d’autres témoignages, deux jeunes de la Monnaie seraient arrivés tôt au bal. Une altercation aurait éclaté entre ces adolescents et un joueur du club de rugby. Les agents de sécurité seraient alors intervenus et auraient expulsé les jeunes de la Monnaie après avoir découvert qu’ils avaient des couteaux sur eux. Ils seraient revenus se venger avec d’autres amis de la cité. «Ils ont encerclé la salle des fêtes, ils nous attendaient», affirme un adolescent.

«J'ai vu mon pote se faire tuer devant moi»

Un des témoins assure avoir entendu les assaillants dire «on est là pour tuer les Blancs, on est là pour planter les Blancs»«Je suis allé dehors, je suis sorti de quelques mètres, je voyais du sang, je voulais savoir ce qu'il se passait, et j'ai vu mon pote se faire tuer devant moi, se prendre des coups de couteau», poursuit-il. Un autre précise : «En sortant de la salle, sur la gauche, j'ai vu Thomas se battre avec un mec. Un gars m'a frappé avec une pierre derrière l'épaule. J'ai reculé. Je me suis retourné et j'en ai vu un autre arriver sur Thomas. Et il l'a planté. Je l’ai vu partir... Thomas était encore debout. On a essayé de les faire partir. L'un d'eux nous a balancé une pierre dessus, je l'ai esquivé et elle est arrivée sur le crâne de quelqu'un derrière moi, ça l'a séché, il est tombé devant moi. Ils ont commencé à nous insulter, l'un des gars a baissé son pantalon et nous a dit : ’’Je vous pisse dessus’’».

Un autre témoin raconte lui aussi s’être pris un coup de couteau au niveau de la poche de son pantalon. «J'ai réussi à esquiver. Je me suis fait taper dans le dos. Je suis vite rentré, j'ai eu peur. J'ai vu un autre pote se faire planter dans le dos. J'ai mis mes mains dessus pour faire garrot. J'avais du sang partout dans les mains. C'était l'horreur.» Pour lui, aucun doute : «C'était clairement un attentat.» «J'ai vu mon ami entrer dans la salle après avoir pris un coup de couteau dans le dos, ajoute une jeune femme au micro du quotidien local. Son t-shirt était blanc de base, et là il était rouge de sang. Il y avait du sang partout dans la salle. Ça giclait. Ses mains étaient pleines de sang. Même nous, on était plein de sang.»

À l’intérieur de la salle des fêtes, fermée à clé par les vigiles, le «chaos» règne, racontent les témoins. «Je me rappelle avoir entendu des gens crier : ’’Y'a des couteaux, y'a des couteaux’’», se souvient l’une, des sanglots dans la voix. «Dans la salle, c’était la terreur. Des groupes d’amis se battaient entre eux car certains voulaient sortir se battre et d’autre non», se remémore l’une des témoins. «Des gens aux t-shirts pleins de sang entraient, demandaient de l'aide, nous disaient que des gens dehors étaient à moitié morts», ajoute une autre. Une énième conclut : «Il y avait du sang partout. On ne comprenait pas. Ce n'était pas quelque chose à vivre à 16 ans.» Au même moment, «dans une petite salle, j'ai vu Thomas en train de se faire réanimer», assure un adolescent.

«On n'ose même plus sortir»

«Pour nous, dit une témoin en pleurs, Thomas était un pilier. On a grandi avec lui.» La victime, dernier d’une fratrie de trois enfants, «était un garçon sans histoire, un enfant du village que tout le monde connaissait, qui ne ratait aucune soirée, qui n’a jamais fait de problème, n’avait aucun ennemi». Cet été, Thomas, fils de restaurateur, avait écumé les bals de la région avec ses amis. «Il y avait des bagarres, mais là, ce n’était pas une bagarre. C’est un attentat», précise un adolescent.

Tous ces adolescents sont «traumatisés»«C'est une histoire qui nous rend fou. On ne sent pas en sécurité, on n'ose même plus sortir. Nous, on veut faire entendre que c'est un attentat. Ils ont tué notre ami», déclare l’un d’eux. Une autre résume : «Nous sommes sous le choc. On ne réalise pas. On sait ce qui est arrivé, les images tournent en boucle dans nos têtes, on ne peut pas oublier. Le décès de Thomas, personne ne l'accepte, on est dans le déni.» Les obsèques de Thomas se tiendront vendredi 24 novembre à Saint-Donat-sur-l'Herbasse.

 

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23 novembre 2023 4 23 /11 /novembre /2023 14:52

Victoire écrasante du PPV anti-immigration de Geert Wilders aux législatives aux Pays-Bas

 

La Rédaction

Le PVV est crédité de 35 des 150 sièges parlementaires, devant l’alliance travaillistes-écologistes dirigée par l’ancien Commissaire européen Frans Timmermans, qui obtiendrait 25 sièges. Le Parti libéral (VVD) du Premier ministre sortant Mark Rutte, qui a présenté sa démission en juillet, se classe troisième avec 24 sièges. 

Cet écart est bien plus important que ne le laissaient anticiper les enquêtes d’opinion. Les sondages de sortie sont traditionnellement fiables dans le pays, avec une marge d’erreur d’à peine deux sièges, ce qui laisse à penser que Geert Wilders aura effectivement la charge de former un nouveau gouvernement. 

Au cours d’un discours de victoire, le chef de file du PVV, anti-Europe et anti-islam, a promis mercredi soir de mettre fin “au tsunami de l’asile et de l’immigration”, déclarant qu’il allait “rendre le pays aux Néerlandais”.

Le premier ministre nationaliste hongrois Viktor Orban a salué sur X (anciennement Twitter) « les vents du changement » après la victoire annoncée de Geert Wilders. La présidente du groupe Rassemblement national à l’Assemblée nationale française, Marine Le Pen, a félicité Geert Wilders et son parti pour « leur performance spectaculaire ».

 

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22 novembre 2023 3 22 /11 /novembre /2023 14:49

À 17 km de Crépol, Romans-sur-Isère, cette petite cité qui connaît l’enfer

Sabine de Villeroché 21 novembre 2023Ensauvagement Crépol Romans sur Isère

 5 minutes de lecture

 

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Ainsi donc, ce mercredi, c'est à Romans-sur-Isère qu'aura lieu une marche blanche organisée par la famille de Thomas, assassiné à Crépol. C'est dans ce chef-lieu de canton situé à 17 kilomètres des lieux du drame que Thomas allait au lycée et jouait au rugby, et c'est peut-être - selon toute vraisemblance - de là, aussi, que venaient certains, au moins, de ses agresseurs. Une petite ville de 33.000 habitants qui, comme bien d'autres en France, se gangrène, rongée par les violences, l'insécurité et l'immigration.

Après Montélimar et Valence, Romans-sur-Isère est classée 3e ville du département de la Drôme où règne le plus d'insécurité. Le risque moyen statistique d'y être victime d'un crime ou d'un délit est estimé à 45 pour mille, soit 4,54 %. L'ensauvagement y progresse : en un an, entre 2021 et 2022, les services de police et de gendarmerie estiment que la délinquance a augmenté de 11,6 % avec, en détail, +35 % de coups et blessures enregistrés en un an, +46 % de coups et blessures volontaires et +78,9 %, de vols violents et +35,4 % des plaintes pour violences sexuelles.

Des chiffres qui classent malgré tout ce chef-lieu de canton à la 207e place sur 373 villes de plus de 22.500 habitants de France qui subissent le plus de crimes et de délits par habitant. C'est dire de la douceur de vivre en France...

Bien entendu, Romans-sur-Isère comme les autres a connu ses nuits d'émeutes après le décès du petit ange Nahel. Des stigmates qui perdurent encore dans le quartier de la Monnaie où bon nombre de commerces saccagés n'ont, à ce jour, pas encore rouvert. Le taux d'immigration de cette ville de plus de 33.000 habitants avoisine les 12,4 %. C'est plus que la moyenne nationale (9,9 %), moins qu'à Nantes (10,9 %), mais on n'est pas à Saint-Denis non plus (38,3 %). Les habitants de la Monnaie, ce territoire soupçonné d'abriter bon nombre des tueurs de samedi soir (même si, précisait, lundi soir, le procureur, « il n'y a pas de logique de territoire »), témoignent au micro d'Europe 1</em : « On n'est pas tranquille… Il y a quatre mois, pendant les émeutes, tout a été détruit, les toits et les poubelles brûlés… Il y a de la drogue partout. Moi, ce qui me fait rester là, c'est le prix du loyer ! Sinon, je n'ai aucune raison de rester là, c'est trop dangereux, ça fait peur » et, au Figaro : « C'est un vrai ghetto. L'hiver, quand il y a de la neige, les jeunes s'amusent à caillasser les voitures passantes avec des boules de neige chargées de cailloux ».

L'enquête progresse vite. Ce mardi 21 novembre après-midi, Gérald Darmanin annonce l'interpellation de sept personnes. Nous allons bientôt en avoir le cœur net, savoir quel est le point commun entre ces agresseurs qui, un soir de novembre, ont déferlé sur la campagne tranquille pour sectionner les doigts d'un vigile, attaquer au couteau 17 victimes et assassiner Thomas. Savoir si, selon les déclarations du procureur, il est « faux d’affirmer que le groupe hostile serait composé d’individus tous originaires de la même ville et du même quartier », et savoir aussi s'ils étaient venus là « pour planter des Blancs », comme affirment l'avoir entendu deux témoins au moment du drame.

En attendant, rien n'empêche de faire ce petit devoir de mémoire : le 4 avril 2020, Romans-sur-Isère était le théâtre d'un attentat terroriste perpétrée par Abdallah Ahmed-Osman, réfugié soudanais de 33 ans. Une agression à l'arme blanche - une de plus - qui a fait sept victimes, dont deux personnes décédées. Impuissant, le maire de Romans-sur-Isère, Marie-Hélène Thoraval, avait alors interpellé les autorités « au sujet des MNA (mineurs non accompagnés) qui arrivent dans une ville, sont logés par l'intermédiaire d'associations sans jamais que le maire ne soit informé ». Elle réclamait « l'état d'urgence contre le terrorisme », demandant « l'accès pour les maires au renseignement territorial français », déplorant n'avoir elle-même pas été informée de la présence d'Abdallah Ahmed-Osman, pourtant hebergé par une association sur sa commune.

Et depuis ? Rien n'a bougé, les maires n'ont pas été entendus. Ils sont toujours soumis au bon vouloir du préfet qui décide ou non de les informer de la présence de fichés S sur leur territoire. L'affaire de l'attentat d'Arras a fait ressurgir le problème, et puis c'est tout. C'est toujours aux dépens des victimes que l'on découvre la carence des pouvoirs publics. À l'heure où les bougies et les couronnes sont prêtes pour les marches blanches.

 

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22 novembre 2023 3 22 /11 /novembre /2023 10:01
  • RISMarion Maréchal : « C’est le racisme anti-Blancs qui a tué Thomas. Il est temps d’y répondre fermement avant que la vie en France devienne un enfer ».

mercredi 22 novembre 2023

Chacun sait qu’on ne peut attendre une réelle fermeté du Régime actuel.

Marion Maréchal, qui semble avoir enregistré cette vidéo sous le coup d’une émotion toute personnelle, l’a présentée en ces termes (Extrait) :

« Je ne me remets pas du meurtre ignoble du jeune Thomas, samedi soir au bal du village de Crépol, un village paisible de la Drôme.

Ce qui s’est passé là-bas n’est ni une rixe ni une bagarre de sortie de boîte de nuit, mais l’exemple de trop de la haine et du racisme anti-Blancs. 

Samedi soir, une bande de racailles, armées de couteaux longs de 25 centimètres, a délibérément pris pour cibles des jeunes Français. Les témoignages des amis de Thomas, rapportés par le Dauphiné Libéré, sont terrifiants : 

« Pour moi, c’était clairement un attentat. Les agresseurs

ont dit qu’ils étaient là pour planter des Blancs.»

Il est temps d’y répondre fermement avant que la vie en France, dans nos villes, dans nos villages, ne devienne un enfer. » 

Marion Maréchal demande à ses amis de partager cette vidéo sur leurs réseaux sociaux. Elle a raison !   

 

Marion Maréchal

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